lundi 5 avril 2010

Une lettre de Nouar Harzallah, PDG d’EEPAD


« EEPAD n'est pas en faillite". EEPAD tient à apporter des rectificatifs quant aux informations erronées parues dans le journal le quotidien d'Oran du 30 mars 2010 qui, se basent plus sur la "rumeur" que sur des informations confirmées auprès d'EEPAD.
Nous tenons d'abord et tout particulièrement à nous excuser auprès de nos abonnés qui malgré la situation particulière que traverse EEPAD restent toujours en contact avec nos services.

EEPAD rappelle que le différend qu'elle a avec Algérie Télécom est d'ordre strictement commercial et que la justice a confié à une expertise extérieure une mission pour établir la juste évaluation du montant de la dette EEPAD vis-à-vis d'Algérie Télécom en tenant compte des arguments de chacune des parties.

Contrairement à ce qui a été rapporté dans ce même article, l'expertise ne porte en aucun cas sur l'évaluation des biens EEPAD.

Pour ce qui concerne la situation d'EEPAD vis-à-vis des services des impôts, EEPAD n'a pas de problème avec cette institution mais contrairement à ce qui est noté dans cet article, le montant de "l'ardoise" rapporté auprès de votre source est en faveur d'EEPAD et se rapporte au traitement du précompte lié à la TVA.

A l'exception de l'accès ADSL, suspendu depuis le 2 septembre 2009, EEPAD en restructuration n'a pas cessé ses activités liées au téléenseignement (TARBIATIC) et à celui des services à valeur ajoutée et contenus et à leurs applications informatiques et technologiques à l'adresse des PME et PMI.

De nouveaux produits seront lancés dans les prochaines semaines par le biais de ses compétences nationales toujours en place.

EEPAD est toujours en relation avec son partenaire Algérie Télécom de même qu'avec d'autres partenaires nationaux dans le but de trouver une solution acceptable par tous permettant d'assurer à court terme, la pérennité de ses activités.

N. Harzallah
Source : Maghreb Emergent au 05/04/2010

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Eepad bonne connexion presque pas de coupure service qui fonctionnait trés bien et voilà que tout est parti.
Nous sommes nombreux à regretter l'eepad. C'est vrai que télécom nous a repris mais, toujours quelque chose. Un temps fou pour payer la facture. Le personnel de télécom est débordé bien -sur les structures en place laissent à désirer. La gestion qui manque et pour ceci, il faudrait des compétences et ce qui nous manque. Les compétences,on les a mais, on n'a pas su les exploiter.
En Algérie c'est comme ça et tout le monde le dit le privé qui prend de l'ampleur, on le casse.