dimanche 27 février 2011

Les 51% d’Investec à "Orange Tunisie" inquiètent France Télécom

France Télécom tire un bilan positif de l’exercice 2010 dans les pays de la rive sud de la Méditerranée ou le groupe est implanté. Le groupe nourrit de grandes ambitions pour l’année 2011. Il doit cependant réviser ses calculs.

Les 51% d’Investec de Marwen Mabrouk, gendre de Ben Ali, à Orange Tunisie inquiètent le groupe France Télécom qui détient 49%. La chute des régimes de Ben Ali, en Tunisie, et de Moubarak, en Egypte, oblige le groupe à se poser des questions sur l’avenir de son investissement dans ces deux pays. Le premier mois de l’année 2011 a ainsi bousculé les calculs du groupe. Dans l’évaluation annuelle des résultats du groupe , son Directeur général, Stéphane Richard, déclare : «nous avons renforcé la dimension internationale du groupe en 2010 en déployant notre marque en Tunisie, en nous implantant au Maroc avec une prise de participation dans Meditel et en clarifiant nos relations avec notre partenaire en Egypte. Notre objectif de doubler notre chiffre d'affaires dans les pays émergents d'ici à 2015 est d'ores et déjà bien avancé. Ces résultats encourageants nous permettent d'aborder 2011 avec confiance». Le même responsable a admet cependant que le contrôle de l’Internet dans les deux pays au moment ou Ben Ali et Moubarak s’accrochaient à leur pouvoir a affecté les chiffes d’affaires du groupe. La coupure d'Internet pratiquée par l'ancien régime de Hosni Moubarak devrait affecter le chiffre d'affaires de février 2011 », a indiqué le patron du groupe. Le directeur financier du groupe, Gervais Pellissier, a soutenu que «si les autorités ne bloquent pas le système, ce genre d'évènement accroît l'usage de nos outils... En Tunisie et en Egypte, le trafic a augmenté de façon sensible».

Inquiétude post-révolutions

L’avenir du groupe dans ces deux pays est source d’inquiétude. En Tunisie, le groupe a scellé une alliance avec Mabrouk, en joint-venture, « Orange Tunisie », depuis le mois de mai dernier. France Telecom détient 49%. Les 51 % appartiennent à Investec, une filiale du groupe Mabrouk. France Télécom est associé en Egypte avec le premier opérateur mobile du pays, à savoir Mobinil. La satisfaction tirée des bilans de la fréquentation Internet durant l’année 2010 a cédé ainsi la place aux inquiétudes de l’après révolutions. L’inquiétude du groupe est compréhensible vu l’importance du marché, en Egypte, un pays surpeuplé, comme en Tunisie. Les responsables de France Télécom gardent visiblement une oreille très attentive aux nouvelles orientations du gouvernement tunisien. Les liens entre la famille Mabrouk et celle de Ben Ali posent problème. Marié à Cyrine Ben Ali, une des filles de l’ex tyran de Carhage, Marwen Mabrouk a pu constituer un véritable empire opérant dans plusieurs secteurs : les finances, les télécommunications et le commerce. Le gouvernement tunisien peaufine actuellement de nouvelles mesures visant à confisquer les parts que possèdent les différents proches de Ben Ali dans plusieurs secteurs économiques. Une décision, dans ce sens, a été prise lors d’une réunion ministérielle tenue le vendredi 25 février. « Les autorités tunisiennes viseraient le coactionnaire Mabrouk », craignent les responsables de France Télécom. Le secrétaire d’État auprès du ministère de la jeunesse, Mr Slim Amamou - un jeune blogueur promu membre du gouvernement d’union nationale- a indiqué au soir du 25 février que les biens de la famille Mabrouk, qui détient des parts chez Orange Tunisie, seront saisis. Le journaliste tunisien Amine Kochlef, écrit sur son blog, que « la décision sera prise directement par le gouvernement et non par décision de justice pour éviter la possibilité de faire appel ». Marwen Mabrouk va vivre manifestement une suite identique à celle de Sakher El Matri dans le monde des affaires. Les 25 % des parts de Sakher El Matri dans l’opérateur téléphonique Tunisiana ont été récupérés par l’Etat. Interrogé par l’hebdomadaire Challenge.fr, en date du 21 janvier, Marwen Mabrouk s’est défendu. « Parce que je n'ai rien à me reprocher. Je possède un groupe industriel ancien et je n'ai aucun lien - ma femme non plus - avec les malversations de la famille Trabelsi. Sur le plan privé, ma femme est certes la fille de l'ex président, mais elle est issue du premier mariage. Cela n'a rien à voir avec la deuxième famille. Et je suis séparé de ma femme depuis un an».

Source : Maghreb Emergent au 27/02/2011

vendredi 25 février 2011

Consultez TSA sur votre mobile















































































TSA a lancé ce vendredi 25 février sa version mobile. Disponible à l’adresse mobile.tsa-algerie.com, cette version simplifiée du site propose tous les articles de TSA, un accès par rubriques ainsi qu’un moteur de recherche. Cette version est compatible avec tous les téléphones mobiles (écrans classiques et tactiles).
Par ailleurs, pour accompagner la forte hausse de son audience, TSA a mis en place une solution destinée à fluidifier l’accès et la navigation sur le site.

jeudi 24 février 2011

France Telecom retrouve un fonctionnement normal en Tunisie et en Egypte


A l'occasion de la présentation de ses résultats 2010 jeudi 24 février 2011 à Paris, Stéphane Richard, directeur général du groupe France Telecom (45,50 mds€ de chiffre d'affaires en 2010 et 209,6 millions de clients), a fait un point sur ses activités de la rive sud de la Méditerranée.

"Nous avons renforcé la dimension internationale du groupe en 2010 en déployant notre marque en Tunisie, en nous implantant au Maroc avec une prise de participation dans Meditel et en clarifiant nos relations avec notre partenaire en Egypte. Notre objectif de doubler notre chiffre d'affaires dans les pays émergents d'ici à 2015 est d'ores et déjà bien avancé. Ces résultats encourageant nous permettent d'aborder 2011 avec confiance" a-t-il déclaré dans un communiqué.

Après les évènements en Tunisie et en Egypte, la situation serait redevenue normale dans ces pays pour le groupe français. Même si la coupure d'Internet par l'ancien régime d'Hosni Moubarak devrait affecter le chiffre d'affaires de février 2011.

"Si les autorités ne bloquent pas le système, ce genre d'évènement accroît l'usage de nos outils... En Tunisie et en Egypte, le trafic a augmenté de façon sensible." a commenté Gervais Pellissier, directeur financier du groupe.

Inquiétude sur l'alliance avec Mabrouk en Tunisie

L'année 2010 aura vu une hausse des trafics dans ces deux pays.

En Egypte, le groupe français est associé au premier opérateur mobile égyptien Mobinil et en Tunisie, où il est arrivé en mai 2010, il a créé une joint-venture, Orange Tunisie dont il détient 49%, avec Investec filiale du groupe local Mabrouk.

France Telecom dit d'ailleurs rester attentif à d'éventuelles procédures des autorités tunisiennes qui viseraient son coactionnaire Mabrouk. Marwane Mabrouk est un gendre de Zine El-Abidine Ben Ali, l'ancien président tunisien.

Autre pays méditerranéen concerné par la présentation de ces résultats, l'Espagne "poursuit l'amélioration des trimestres précédents et réalise une croissance de 2,8% sur l'année qui reflète à la fois la progression régulière des services mobiles (+3,6% sur l'année) et l'amélioration des services fixes, en hausse de 1,9% au deuxième semestre" indique le groupe dans son communiqué.

mercredi 23 février 2011

Intel Medfield : pour la fin d'année 2011 ?


Intel l'a annoncé au salon MWC 2011 : ses futurs processeurs mobiles Medfield seront bientôt disponibles, avec des livraisons débutant au troisième trimestre 2011.

Le fondeur Intel n'est pas encore au point côté processeurs mobiles mais il y a travaille. Ses processeurs Atom Oak Trail s'invitent doucement sur les tablettes tactiles mais le véritable virage vers la mobilité viendra avec la plate-forme Medfield.

C'est elle qui permettra d'atteindre des niveaux de consommation d'énergie réellement compatibles avec les produits mobiles, de la tablette tactile au smartphone, et qui pourra servir d'alternative aux nombreux processeurs ARM fournis par les fondeurs.

Intel a indiqué lors du salon MWC 2011 que les processeurs Medfield seraient bientôt disponibles. La fenêtre initiale évoquait fin 2011 / début 2012 pour sa disponibilité mais le fondeur a mis les bouchées doubles ces derniers trimestres pour tenter de se positionner au plus vite sur des marchés en forte croissance.

Ultra-dominant sur le marché des processeurs pour ordinateurs et serveurs, Intel n'a pas vu venir la révolution des appareils mobiles, restant longtemps sur le créneau des netbooks sans pouvoir s'attaquer à des terminaux où le ratio performances / consommation d'énergie est primordial.


Premières livraisons de Medfield au troisième trimestre 2011
La plate-forme Medfield, qui doit répondre à ces problématiques, devrait faire son apparition lors de démonstration au salon Computex 2011 de Taiwan, en juin, et les premières livraisons de processeurs Medfield pourraient intervenir dès le troisième trimestre 2011.

La plate-forme profitera d'une gravure en 32 nm ( les processeurs mobiles ARM actuels sont gravés en 45 nm et les prochaines générations, qui seront lancées en 2012, seront gravées en 28 nm ) et bénéficiera des avancées du rachat de la branche modems mobiles d' Infineon.

De quoi tenter de contrer la montée en puissance d' Infineon avec Tegra 2 ( et bientôt Tegra 3 ) et de laisser à distance AMD qui amorce aussi un virage vers la mobilité mais avec encore plus de retard qu' Intel.

Le fondeur américain pourrait donc se replacer dans la course aux processeurs mobiles dès la fin de l'année 2011 et pouvoir se mesurer aux nouvelles plates-formes ARM début 2012.

3G ou 4G ? L’Algérie à la croisée des chemins


La technologie 3G ne cesse de faire parler d’elle depuis quelques mois en Algérie. Qu’il s’agisse des autorités, des professionnels du secteur, des nouvelles technologies ou même des particuliers, tout le monde semble avoir conscience de l’intérêt de ce service, considéré comme étant une technologie à adopter absolument. Plus récemment, un autre sujet a fait parler de lui, celui de la 4G. L’on se demande, désormais, s’il ne vaudrait pas mieux passer à la 4G plutôt que la 3G.

Une façon de rattraper un retard en sautant simplement une étape. Mais au-delà des débats, aucune décision définitive ne semble avoir été prise. La situation est quelque peu floue et avec pour seule conviction le fait de croire que l’Algérie doit adopter une nouvelle technologie permettant aux appareils téléphoniques portables d’être des outils fiables lorsqu’il s’agit de se connecter à Internet. Des sources proches du dossier nous assurent que le passage à cette nouvelle technologie séduit les autorités algériennes mais un certain nombre de difficultés semblent se dresser face à ce choix.

« L’Algérie a décidé d’adopter cette technologie mais nous nous retrouvons actuellement face à un dilemme et il nous faut trancher. Adopter la 3G comporte des risques car elle pourrait devenir obsolète puisqu’elle se fait graduellement remplacée par la 4G dans le monde. Nous allons donc nous retrouver dans une situation où nous aurions investi du temps et de l’argent pour, en fin de compte, nous retrouver avec une technologie dépassée», indiquent nos sources. La solution de la 4G se dégage donc tout naturellement. Nos sources signalent, à ce propos, qu’une « étude en rapport avec ces technologies de nouvelles génération et les possibilités de leur adoption en Algérie est actuellement en cours ». Cette étude devra vraisemblablement donner suffisamment d’éléments d’information pour permettre une prise de décision réelle.

Une question de contenu

Cependant, les choses ne sont manifestement pas aussi simples, puisque, outre le choix de la version à introduire en Algérie, d’autres questions doivent trouver des réponses. Il s’agit de la question très épineuse du contenu algérien. Beaucoup hésitent en ce qui concerne l’adoption de la 3G ou même de la 4G, considérant que le préalable devra être l’enrichissement du contenu algérien. Ce simple élément risque de générer un grand retard puisque le contenu algérien fait lui aussi débat depuis fort longtemps et reste, il faut l’avouer, assez pauvre. D’autres estiment, en revanche, que le plus important est l’introduction de ces technologies en Algérie, affirmant que le contenu suivra de façon systématique. L’autre question à trancher est celle de la licence liée aux services 3G ou, le cas échéant, 4G. « Faut-il que ces licences soient accordées gratuitement aux opérateurs de téléphonie mobile ou, au contraire, faut-il les céder gratuitement ?». Une autre question qui semble diviser pas mal d’acteurs du secteur des TIC. Une partie considère que la gratuité devrait être un élément encourageant l’évolution rapide de ces nouvelles technologies, une manière comme une autre de rattraper le temps perdu.

D’autres ne voient pas de raison pour laquelle les opérateurs de téléphonie mobile ne paieraient pas ce service, puisque leur objectif final est d’en tirer financièrement profit. Cependant, la grande question en ce qui concerne ce sujet est, en fait, de savoir pourquoi l’Algérie a pris tant de retard pour se retrouver aujourd’hui face à un choix difficile alourdi par de multiples interrogations. La réponse qui nous a été donnée par M. Younes Grar, ancien conseiller du Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication et actuel chef d’entreprise spécialisée dans les services de téléphonie, est assez simple. « Nous n’avons pas pris la décision au bon moment», nous dira-t-il. Il considère, à ce sujet, que l’Algérie aurait dû prendre la décision de passer à la 3G il y a quelques années. Sans cette réticence, les algériens ne se seraient pas retrouvés à la croisée des chemins entre la 3G et la 4G.

Dans toute cette confusion, il existe quand même deux certitudes. La première est que l’Algérie veut aller vers les technologies de nouvelle génération. La deuxième, moins brillante il faut le dire, est que personne ne sait quand cette technologie sera utilisée chez nous.

Le mauvais élève

Le retard de l’Algérie dans ce domaine est mis en relief par l’avancée enregistrée par nos voisins immédiats, la Tunisie et le Maroc. Si la Tunisie en est à ses premiers pas avec la 3G, adoptée depuis un peu plus d’une année, le Maroc lui a fait du chemin dans ce domaine. Notre voisin de l’ouest a fait connaissance avec cette technologie depuis bientôt quatre ans. La 3G y a fait, semble-t-il, un triomphe. Vers la fin de l’année 2009, le nombre d’utilisateurs marocains de services 3G a atteint les 566 575. La tendance est manifestement à la hausse au Maroc puisque ce chiffre représente une progression de 182,85% en comparaison avec l’année précédente. De même que durant le troisième trimestre de l’année 2009, la progression du nombre d’usagers a été de 20,86%. En 2007, lors du lancement de ce service, le nombre d’utilisateurs était de 32 722 abonnés. Interrogé, un chef d’entreprise marocain spécialisé dans le domaine des technologies fera remarquer, toutefois que le service 3G n’est pas accessible à tous les citoyens en raison de son coût. Il s’adresse plutôt à une catégorie assez particulière composée essentiellement de chefs d’entreprises et de professionnels. Il nous informe que, d’une manière générale, la qualité du service est « très bonne ».

Il est possible par ailleurs de faire une extrapolation sur la base de l’expérience de nos voisins, notamment en ce qui concerne le coût de ce genre de technologie. L’on peut s’attendre en Algérie, dans un premier temps du moins, à des tarifs quelque peu élevés. Cette technologie est toutefois très attractive puisqu’elle permet aux usagers de se connecter avec une capacité de 1 Mégabits par seconde. Il est utile de signaler, enfin, que les spécialistes du domaine des TIC assurent que dès l’année 2014, le plus grand nombre d’internautes se connecteront au réseau mondial à partir de leurs téléphones portables. Ces appareils sont désormais loin d’être de simples outils permettant de téléphoner. Il s’agit, et ce sera encore plus vrai à l’avenir, de véritables ordinateurs de poches.

Technologie de nouvelle génération : le service pour encourager la création de contenu

L’absence de contenu algérien spécifique aux services de la 3G ou de la 4G
représente l’un des obstacles faisant face à l’adoption de l’une ou l’autre de ces technologies. Si certains soutiennent dur comme fer que l’introduction de technologies Internet de nouvelle génération pour mobile ne peut se faire en l’absence de contenu algérien, d’autres considèrent que c’est précisément le passage à ces technologies qui permettra d’encourager la création de contenu algérien. M. Younes Grar, directeur général de la société Animapp, société spécialisée dans le contenu mobile estime que «même si l’absence de contenu peut représenter un handicap pour l’adoption en Algérie de technologies de nouvelles génération, il est toujours possible de commencer d’abord par adopter ces technologies. Ce sera, de toute manière, un point de départ », nous dit-il en substance. Il donnera à ce propos l’exemple d’Internet. « Durant les années 1990, on se posait la même question. On pensait que l’absence de contenu national allait retarder l’évolution d’Internet en Algérie. Cela n’a pas été le cas. Après l’adoption de la technologie Internet, certains quotidiens nationaux ont commencé à créer leurs sites web. Le contenu algérien est donc apparu après que notre pays se soit connecté au réseau mondial. La même chose pourrait être envisagée pour la 3G ou la 4G », assure M. Grar.

D’après notre interlocuteur, tout se fera naturellement après l’adoption de la technologie qu’il s’agisse du contenu ou même des tarifs à appliquer pour les services à offrir aux utilisateurs. Il faut dire aussi que beaucoup de professionnels et de particuliers semblent impatients de voir la 4G, sinon la 3G, proposées en Algérie et ce, en raison des nombreux avantages qu’elles représentent en matière d’accès à Internet. Contrairement aux autres technologies, celles-ci permettent aux utilisateurs de portables de se connecter à partir de n’importe quel endroit à condition qu’il soit couvert par le réseau téléphonique. On nous informe, par ailleurs, que des entreprises spécialisées dans le contenu mobile ont été créées en Algérie.

Très peu nombreuses puisqu’on ne parle actuellement que de trois entreprises, celles-ci pourraient être les pionnières de la 3G ou de la 4G si l’une de ces technologies venait à être adoptée en Algérie. « Ces entreprises sont en fait spécialisées dans le domaine du développement des sites web et commencent à réaliser des applications pour iPhone », nous informe-t-on. M. Younes Grar précise, en outre, que la société Animapp est très intéressée par les technologies 3G et 4G. « Ces technologies offrent un débit très appréciable permettant d’offrir un contenu très riche et varié. On pourrait enrichir le contenu par de la vidéo en temps réel. Il est également possible de suivre les émissions d’une chaîne de télévision, faire de la télémédecine, de la télémaintenance, de la télésurveillance à partir de son mobile. Ces technologies offrent donc un champ d’applications très vaste», explique-t-il. Il fera remarquer, par ailleurs, qu’actuellement « avec la GPRS/EDGE (qu’on appelle 2.5G), il est impossible d’avoir de la vidéo vu le débit très limité (128Kbps). La 3G ou 4G offrent, quant à elles, des débits pouvant égaler ou dépasser ce qu’offre l’ADSL (20 Mbps) ».

Evoquant encore une fois les entreprises s’intéressant à ce domaine, notre interlocuteur dira que celles-ci sont « pour le moment en attente de l’évolution de ce marché en Algérie, pour décider de faire l’investissement nécessaire qui est assez lourd. Former des compétences dans ce domaine pendant des mois et espérer décrocher un projet, c’est le risque que peu d’entreprises prennent pour relever ce défi », notera-t-il

Licences 3G et 4G : les opérateurs dans l’expectative

Le passage à la 3G ou la 4G est avant tout une affaire d’opérateurs de téléphonie mobile. Ces nouvelles technologies semblent, il faut le dire, intéresser les opérateurs algériens. Proposer un accès à Internet rapide à partir du mobile pourrait, en effet, représenter un argument très convaincant pour attirer davantage d’abonnés. La question que se posent les opérateurs actuellement est liée à la licence d’exploitation de ces nouvelles technologies. Au moment où l’on ignore encore laquelle des technologies va-t-on choisir (3G ou 4G), l’on ignore aussi si leur exploitation de la part des opérateurs de téléphonie mobile sera gratuite ou pas. Les avis divergent à ce sujet puisque beaucoup estiment que la licence devrait être payante, les opérateurs ayant eux même des objectifs commerciaux. D’autres considèrent que la licence devrait plutôt être accordée gratuitement pour encourager le développement de ces nouvelles technologies.

En attendant, les opérateurs semblent se préparer aux nouvelles technologies. Chez Nedjma du moins, l’on semble assez bien préparés. « Nedjma est toujours dans une dynamique de progrès, d’innovation et d’amélioration continuelle de ses services. Le réseau de Nedjma est équipé à 100 % de la technologie GPRS/EDGE et jouit d’une grande flexibilité pouvant lui permettre de supporter les services les plus innovants telle que la 3G et le Wimax», nous dit-on chez cet opérateur. Les opérateurs téléphoniques attendent la décision des autorités en ce qui concerne la technologie à adopter plusieurs annonces ayant été faites dernièrement par les officiels au sujet de la 3G et de la 4G.

Enquête sur la téléphonie mobile en Algérie : Le mobile dans tous ses états


La téléphonie mobile a modifié considérablement les habitudes sociales en Algérie. Aujourd’hui, il est présent au niveau de toutes les tranches d’âge, sans exception. Réservé au début des années 2000 au milieu professionnel, il est utilisé de nos jours par le cadre dans une administration et la ménagère à la maison. C’est même l’instrument « branché » par excellence chez les jeunes.

Les téléphones mobiles sont de plus en plus des objets qui circulent dans le groupe. Le propriétaire d’un mobile n’est plus le seul à le manipuler, à le visiter et à l’utiliser. Les relations des Algériens à leur téléphone mobile sont ambivalentes et changeantes. Le téléphone mobile est tour à tour personnel et éphémère, intime et visible. Si il est un objet auquel on s’attache affectivement et qui reflète l’identité de son propriétaire, il est aussi un objet éphémère dont on se détache facilement car sa vocation est à terme d’être remplacé par un nouveau modèle, voire d’être cassé, perdu ou volé pour les utilisateurs les plus jeunes. De nouvelles convenances sont en train de se stabiliser autour du téléphone mobile.

On sait qu’appeler quelqu’un sur un mobile, c’est le laisser décider s’il décroche ou non. Le téléphone mobile est de plus en plus perçu comme l’outil de la joignabilité non intrusive. Le téléphone mobile crée un « art moyen » qui renouvelle les pratiques de la photo et du film amateur. Les images mobiles s’inscrivent dans plusieurs référentiels qui leur préexistaient : le journalisme du quotidien et de sa propre vie, les images familiales spontanées à l’opposé du bonheur figé, le sensationnalisme du fait de la nécessité de mises en scènes courtes, claires, efficaces, voire frappantes. Au plan individuel, l’utilisateur s’approprie le téléphone mobile en fonction de ses besoins, de ses attentes et des groupes sociaux dans lesquels il évolue.

Cette appropriation passe par une double métamorphose du téléphone mobile. Objet multifonction mais mono tâche, il devient tour à tour, pour son utilisateur, un réveil, une montre, une calculette, un appareil photo, un lecteur MP3, une console de jeux et…un téléphone. L’utilisateur jongle ainsi avec les fonctions du mobile et avec ses autres objets communicants qui sont complémentaires et jamais redondants. Le portable donne un avantage : la mobilité et le fait de pouvoir faire des affaires avec une totale liberté de mouvement.

Les femmes ont tendance à utiliser leur téléphone pour communiquer, alors que les hommes l’utilisent « comme un jouet interactif ». La photo mobile et la vidéo dans une moindre mesure sont pratiquées par toutes les générations, même si elle est, de loin, la plus répandue chez les 12 à 24 ans. Le SMS (Short Message System) a révolutionné les habitudes des adolescents et ce service s’est bien développé en Algérie. Son utilisation augmente lors des fêtes religieuses et de fin d’année. C’est le constat des trois opérateurs et c’est même une tendance mondiale.

Les abonnés interrogés par les trois opérateurs convergent vers une seule direction : ils sont plus à l’aise pour exprimer les sentiments par écrit que par oral (lors d’un anniversaire, d’une déclaration d’amour). D’après les opérateurs, 90 % des SMS sont des messages personnels et 10 % d’origine professionnelle (via le Blackberry par exemple).

Plus qu'un outil de communication, le cellulaire constitue un grand révélateur. La façon de le porter et le choix des sonneries livrent des indices précieux sur celui qui le possède. L'appareil nous informe sur le propriétaire : ses goûts musicaux, son sens de l'humour et sa maîtrise de la technologie. Le sans-fil n'est pas qu'un objet pratique. Il s'avère un miroir de ce que nous sommes.

Les chiffres de l’ARPT
Au début des années quatre-vingt-dix, il fallait avoir le bras long pour obtenir une puce. La rareté du produit le rendait convoité. Avec trois opérateurs opérationnels sur le marché (Djezzy, Mobilis, Nedjma), aujourd’hui, il est plutôt question de course à l’abonné, voire de la fidélisation (à travers les tombolas par exemple). Des actions qui renforcent le lien avec les clients. Le marché est saturé. Les abonnés ont atteint les 34 millions d’utilisateurs selon l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). Les statistiques officielles estiment que Djezzy en dépit des difficultés conjoncturelles qu’il connaît récemment et d’un redressement fiscal important, compte 15 069 302 clients contre 10 690 039 chez Mobilis et 8 180 467 clients pour Nedjma.

En chiffres d’affaires, Djezzy a vu ses parts chuter de 11% au premier trimestre 2010 avec 412,5 millions d’euros enregistrés en mars dernier contre 462,537 en mars 2009. L’opérateur étoilé Nedjma a enregistré, quant à lui, une croissance sans précédent sur son chiffre d’affaires qui a avoisiné les 22% en 2009. Avec 47 milliards de dinars, l’opérateur public a également vu son chiffre d’affaires progresser de 2% en 2009.

Le marché de la téléphonie mobile reste néanmoins dynamique et hyper concurrentiel : il est largement dominé par les terminaux entrée de gamme, mais enregistre de gros bénéfices et s’oriente graduellement vers le multimédia. Les marques les plus commercialisées sont le finlandais Nokia qui maintient ses parts de marché en Algérie, le sud-coréen Samsung qui monte en puissance et Sony Ericsson qui tente de résister. Il n’est pas rare de voir chaque membre d’une même famille, y compris celles à revenus moyens, posséder son appareil.

Dans quels cas emprunte-t-on son téléphone portable ?

En règle générale, il y a trois cas recensés.
1/ Téléphone en panne, oublié ou perdu et batterie déchargée.
2/ Téléphone ne captant pas le réseau (hors champs).
3/ Forfait déjà consommé ou crédit épuisé en prépayé.

Les tendances du marché

- La vague de l’illimité a déferlé sur les consommateurs algériens. Depuis, à entendre les opérateurs, ce serait la ruée vers ces nouveaux forfaits. Cette tendance, qui dure depuis plus d’une année, se retrouve chez les trois opérateurs. Il y a une certaine abondance qui permet aux clients de communiquer à l’aise même si ils limitent en fait les dépassements abusifs de certains clients.

- La généralisation du chargement à distance pour les forfaits prépayés. Les formules prépayées ont l'avantage de permettre de maîtriser le budget de téléphonie mobile. Les offres prépayées sont un choix populaire, offrant une grande flexibilité. Les offres prépayées sont comme les forfaits mais avec un plafond de communication déterminé à l'avance. De ce fait, le client connaît à l'avance le montant qu’il va payer. Il ne paye que ce qu’il a consommé et il n’a pas de mauvaises surprises. Ceci aurait permis d'accroître significativement le parc d'abonnés. Ces tendances ont été confirmées par les résultats de la campagne d’identification des abonnés.

- La conquête du marché des entreprises. Les trois opérateurs ont un département dédié à ce segment de marché. C'est là où elles peuvent augmenter l'APRU et faire du chiffre. C’est un relais de croissance d’autant plus que le marché du grand public ne se développe pas avec le même rythme qu’il y a quelques années. Aujourd'hui, il est évident que le téléphone portable approche de son taux de pénétration maximal.

- Les opérateurs optent de plus en plus pour le multimédia (la Data) qui n’est plus considéré comme un gadget inutile en Algérie.

- Lancement des clefs USB Internet qui permettent aux abonnés de bénéficier de l’accès à Internet et des commodités de la téléphonie mobile à l’exception des appels voix afin d’assurer une meilleure connexion. Elles permettent de surfer en toute liberté en situation de mobilité.

- La multiplication d’opération de sponsoring et de publicité. Principal objectif : améliorer l'image de marque de ces entreprises, augmenter la notoriété et surtout générer du trafic.

Cette petite enquête nous a permis de constater que le cellulaire s’est inscrit comme l'automobile, l'ordinateur et la télévision, parmi les inventions marquantes de l'histoire, car son influence se manifeste à la maison, dans les loisirs et dans la vie courante. Les individus appréhendent tous leur téléphone mobile comme un outil multifonctions, aux possibilités infinies.

A travers leur mobile et les usages particuliers qu'ils en font, les Algériens cherchent d'abord à se singulariser. Ils inventent leur outil en le personnalisant, en définissant leurs propres usages et fonctions.

mardi 22 février 2011

Blocages en Libye, les internautes ripostent


Après la Tunisie, l'Egypte et le Bahreïn, c'est au tour de la Libye de connaître les affres du blocage partiel du réseau Internet. Selon certains éditeurs, plusieurs protocoles auraient été coupés dans le pays. En dépit de ces mesures, les internautes parviennent à diffuser des messages vidéo ou audio.

Alors que le pays est en proie à de violents accrochages de rues entre opposants au régime et partisans armés du chef d'Etat Mouammar Kadhafi, Internet aurait été coupé durant la nuit de vendredi à samedi.

Comme le souligne le blog de Renesys, les protocoles Border Gateway Protocol (BGP) ainsi que les DNS auraient été coupés. Il était donc impossible pour les internautes de se connecter depuis le pays mais également aux autres internautes de se rendre sur des sites libyens (en .ly).

Même si rien n'est encore confirmé, l'hypothèse d'une mainmise du pouvoir central sur le réseau est plus que probable. Pour cause, le principal FAI du pays est dirigé par Mohammed Al-Kadhafi, le fils du dictateur…

Pour autant, si le web est sévèrement contrôlé, les internautes parviennent néanmoins à faire passer des messages sur les événements de rues. Des services comme bambuser.com mais surtout audioboo.fm relaient des informations postées depuis le pays. Le site permet de mettre en ligne de courts enregistrements audio depuis un smartphone sous Android ou d'un iPhone.

Autant d'informations qui permettent de rendre compte de la situation sur place, malgré la pression du pouvoir central.

Mise à jour : Selon le même éditeur, Arbor networks, Internet aurait encore une fois été coupé dans le pays pendant la nuit. Les connexions auraient ensuite été rétablies au petit matin mais de manière limitée.

lundi 21 février 2011

Eepad, « à l’agonie » attend le salut d’un partenariat avec Algérie Télécom


L’ARPT a décidé de retirer les autorisations d’exploitations à des providers privés qui sont inactifs depuis des années. Eepad a été épargnée, mais sa situation devient critique. Son PDG estime que personne ne gagnera à une faillite d’Eepad et espère que l’offre de partenariat faite à Algérie Télécom soit prise en considération.

Le Conseil de l'Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) a décidé de retirer définitivement les autorisations d’exploitations de services Internet à 34 providers (ISP) privés. Le plus important des fournisseurs d’accès privés, par le nombre d’abonnés et d’activités liées, l’Eepad, n’a pas été touché par cette mesure. Il attend néanmoins depuis plus 18 mois une solution à son litige avec Algérie Télécom (AT). Nouar Harzallah, le PDG de l’Eepad, reconnaît, dans une déclaration à maghrebemergent.info que son entreprise « agonise ». Il a renouvelé sa disponibilité pour un partenariat public-privé avec l’opérateur historique, pour « sauver les emplois et renouer avec nos clients ». Les 34 ISP suspendus définitivement (sur plus de 80 providers) et invités à « restituer à l’ARPT les originaux de toutes les autorisations » objet de la décision n°09/SP/PC/ARPT du 26/01/2011, « n’ont pas activé depuis au moins deux ans », nous explique le chargé de la communication à l’Autorité de régulation, M.Fayçal Medjahed. Il leur est reproché, en plus de leur inactivité, de n’avoir pas payé leurs dettes auprès de l’ARPT, composées d’une redevance annuelle de 10.000 DA et une quote-part sur leur chiffre d’affaires à verser au Trésor Public. Ces opérateurs sont également accusés de non respect du cahier des charges. « On n’arrive même pas à les localiser, ni leur envoyer du courrier, faute d’adresse exacte » affirme encore M. Medjahed. L’Eepad, dont l’activité ADSL, est suspendue depuis le 2 septembre 2009, suite à un litige avec Algérie Télécom, encore pendant au niveau de la justice, ne serait pas dans la même configuration que les ISP suspendus. L’entreprise n’a pas disparue, comme les autres ISP, et poursuit ses autres activités, hors fourniture de l’ADSL. Le PDG de l’Eepad souhaite une accélération de l’offre de partenariat faite à Algérie Télécoms. « Le ministre des PTIC a donné son accord pour ce partenariat. Nous sommes disposés à céder la majorité (51%) pour qu’AT puisse non seulement récupérer ses créances mais aussi lancer un véritable partenariat bénéfique pour tous. L’Eepad n’est pas seulement un fournisseur d’accès à Internet. Notre société a créé de la valeur ajoutée, notamment avec le e-learning, il serait dommage de laisser mourir une entreprise, à cause d’un litige qui peut être réglé et assainit », affirme Nouar Harzallah.

Le PDG d’Eepad craint, à terme, un retrait de son autorisation d’exploitation de services Internet, mais il espère un déblocage de la situation. « D’autant qu’il y encore beaucoup de choses à faire. Le ministre lui-même, M. Benhamadi, a déclaré que le secteur des TIC a besoin de créer 100.000 emplois. Comment les créer si l’Etat n’aide pas les PME du secteur qui sont en difficulté, comme il le ferait pour d’autres secteurs d’activité », ajoute M. Harzallah.

Si Eepad dépose son bilan tout le monde perd

Pour le PDG de l’Eepad, s’il y a des ISP qui n’activent plus, « parfois depuis plus de 5 ans », d’autres « essayent tant bien que mal à faire quelque chose, mais n’arrivent pas à décoller ». « Est-il utile, s’interroge-t-il, de vider le secteur de ces entreprises, au lieu de les accompagner pour non seulement s’acquitter de leurs dettes mais relancer le secteur qui a tant besoin d’un élargissement de ses activités pour construire une véritable société de l’information ? »

« De toute façon, précise-t-il encore, si l’Eepad venait à déposer le bilan, tout le monde serait perdant, y compris AT. Nous allons mettre au chômage ce qui reste de nos travailleurs, dont le nombre est passé à 267, contre 460 il y a plus d’un an, et AT ne va pas pouvoir récupérer ses créances que ce qui restera après avoir réglé les banques, les impôts, et la Sécurité sociale ». Nouar Harzallah espère que la solution du partenariat préconisée par le MPTIC sera bientôt mise en œuvre par AT. A défaut, il souhaiterait un « échéancier de 4 à 5 ans, toujours dans le cadre d’un partenariat public-privé pour une durée limitée, le temps pour Algérie Télécom récupère ses créances ».

Source : Maghreb Emergent au 21/02/2011

Tarifs des mobiles Sony Ericsson (Février 2011) : Quatre nouveaux terminaux à l’affiche


Sony Ericsson à travers son distributeur officiel en Algérie, DarKom, s’affiche sur le marché Algérien avec neuf modèles, principalement disponibles dans les segments des moyens et haut de gamme. Aujourd’hui, quatre nouveaux combinés entrent en lice dans le catalogue proposé par Darkom, il s’agit de la gamme des « i », représentée par les Sony Ericsson: W 100i, J 108i, W 20i et J 20i.

Le catalogue des modèles Sony Ericsson commercialisés par DarKom exclu les téléphones d’entrée de gamme et comporte des modèles positionnés dans le moyen et haut de gamme avec un tarif d’attaque de 6990 dinars affiché pour le W 205. Il est utile de signaler que la gamme des combinés nippo-suédois commercialisée aujourd’hui en Algérie ne comporte plus les W395, T715, W995 et Aino, retirés de l’offre commerciale en ce début d’année.

mobilealgerie.com vous communique la gamme complète et les tarifs des téléphones portables Sony Ericsson commercialisés officiellement en Algérie dans les boutiques de DarKom. Les prix des terminaux affichés ci-dessous sont relatifs à la période février / mars 2011.

Modèles --- Tarifs (Dinars)

W 205 ---- 6 990

W 100i --- 7 900

J 108i --- 8 900

W 20i ---13 900

J 20i --- 17 500

Vivaz U5i--- 35 900

X 10---- 45 900

Satio --- 46 900

X 2 --- 53 900


Le ministre de la Poste et des Tic : Bientôt le paiement électronique par le mobile


Au cours de sa visite dans la capitale qui l’a conduit hier à la gare routière du Caroubier, à Bourouba et Garidi (Kouba), où il a inauguré de nouveaux bureaux de poste, M. Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a annoncé que le dossier de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy sera bouclé au mois de juin sans qu’il y ait de changements concernant le bureau d’études en charge du dossier. S’exprimant également à l’occasion sur la concrétisation des actions et objectifs du programme national de généralisation de l’utilisation des TIC, le ministre a indiqué qu’un groupe d’experts a travaillé sur ce programme dit «e-Algérie» afin de l’alléger et de le rendre plus visible et la nouvelle mouture sera dévoilée à la mi-mars.

Un des objectifs de la stratégie, le paiement électronique via le mobile, autrement dit le m-paiement, lancera ses premiers services dans quelques jours au profit des quelque 12 millions d’utilisateurs du CCP qui pourront dans un premier temps, souligne M. Benhamadi, consulter leurs avoirs, recharger leurs crédits chez les trois opérateurs (Mobilis, Djezzy et Nedjma) et payer leurs factures ADSL via le mobile. Le ministre qui s’est également rendu hier au Centre de distribution du courrier de Kouba réhabilité récemment et à l’Agence commerciale d’Algérie Télécom de la même localité a invité les personnels à se rapprocher davantage des citoyens pour connaître leurs appréciations et mieux répondre à leurs préoccupations.

Dans le cadre de cette politique de rapprochement du citoyen et d’amélioration des services postaux et d’accès à Internet et à la téléphonie, il a, par ailleurs, fait part du lancement d’équipes ambulantes à travers les centres et résidences universitaires et les établissements hospitaliers.

Offrant les services postaux et l’accès à Internet, ces équipes, au nombre de dix, réparties actuellement à travers les grandes villes universitaires du pays seront doublées dans deux semaines et le dispositif sera renforcé au fur et à mesure avec pour objectif de couvrir tous les établissements de l’enseignement supérieur et les hôpitaux à travers le territoire national. A cet effet, une convention sera signée prochainement avec le ministère de l’Enseignement supérieur. Et à l’instar de la gare routière de Kouba qui bénéficie depuis hier d’un bureau de poste qui sera ouvert jusqu’à minuit, ainsi que d’une connexion Wifi offerte au quelque 12.000 voyageurs qui la fréquente quotidiennement, toutes les autres grandes gares seront également équipées prochainement de centres de tri-EMS.

Moussa Benhamadi l’a déclaré hier lors d’une sortie dans l’Algérois “Le paiement via le mobile, c’est désormais possible”


Trois bureaux de poste à la gare routière du Caroubier, Kouba et Bourouba ont été inaugurés, hier, par Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, accompagné du wali d’Alger dont les sorties sur le terrain sont plutôt rares.

Une occasion tout de même pour ses deux personnalités de s’enquérir de la situation qui prévaut dans le secteur qui, malgré beaucoup d’efforts, continue à enregistrer de nombreuses anomalies mais aussi des retards. “Le m-paiement est désormais possible”, a déclaré fièrement M. Benhamadi, exhibant cette annonce comme un trophée. C’est d’ailleurs tout à fait compréhensible à plus forte raison que rien ne semble justifier ce retard sur aucun plan. “Ça bloque au niveau des mentalités”, dira le ministre, tout simplement, assurant que de son côté tous les ingrédients étaient réunis pour se lancer, enfin, dans la grande aventure du m-paiement ou le paiement via son téléphone portable.

En phase test actuellement, ce service sera opérationnel dans les tout prochains jours et permettra aux détenteurs de compte CCP de consulter leur avoir grâce au téléphone portable, et ce, quelque soit l’opérateur avec lequel nous sommes abonnés ou clients.

Il est question aussi de la possibilité de recharger son crédit et de s’acquitter de l’abonnement ADSL. “Nous espérons passer, lors de la seconde phase, au transfert d’argent de compte à compte”, a indiqué le ministre, soutenant que nous pénétrons de plain-pied dans le monde des nouvelles technologies et la numérisation. L’univers même des TIC qui, selon les affirmations du ministre, feront l’objet d’un document qui sera également présenté à la presse en mars prochain.

Cela concerne le projet e-Algérie sur lequel planche actuellement un groupe d’experts pour en tirer une nouvelle copie “version allégée” ne serait-ce que techniquement à travers une mouture à même de donner une plus grande lisibilité des besoins et des attentes en la matière. Et pour poursuivre le chapitre des nouveautés, le ministre annoncera que le dossier Djezzy sera bouclé au mois de juin. “Il y a eu une présélection d'un bureau d'études, puis une attribution provisoire. Il va y avoir une attribution définitive et là, le bureau d'études va commencer son évaluation”, a-t-il affirmé sans donner d’autres détails.

En attendant, la délégation ministérielle a clôturé son périple algérois par l’inauguration d’un Centre national de distribution à Kouba, le troisième après celui de Hassiba-Ben-Bouali et Ben Aknoun. Une entité qui, selon le chef de projet, fera éviter tous les chevauchements entre les différentes tâches centralisées à leur niveau et permet un gain de temps inestimable. Cette sortie a été aussi l’occasion de faire part de la création d’une dizaine d’équipes mobiles de la poste.

Celles-ci seront disponibles, dans un premier temps, dans les grandes villes avant de se généraliser et opéreront dans les hôpitaux et les universités. Ce qui explique du reste la convention qui sera signée dès la semaine prochaine avec le ministère de l’Enseignement supérieur pour doter les universités de bureaux de poste.

M. Benhamadi parlera alors de la pertinence d’améliorer le service postal et de couvrir les espaces d’accueil et d’enseignement de bureaux de poste et de connexion Internet (wifi).

dimanche 20 février 2011

Nouveau câble de révéler le caché Wikileaks : Le parti au pouvoir a mené une campagne contre l'Algérie pour polir l'image de Gamal Moubarak


Révélé un télégramme diplomatique américaine fuite site «Wikileaks» parmi plus de 100 par câble, U. S. Egypte, que les dirigeants de la National Democratic Party au pouvoir en Egypte était derrière la campagne contre l'Algérie d'augmenter les parts de Gamal Moubarak dans la rue égyptienne à la lumière de la concurrence forte entre lui et son frère, Alaa.

  • Le U. S. ambassade dans le document du Caire datant de Novembre 2009, que le Parti national a décidé de lancer une propagande importante et une large réutilisation image Gamal Moubarak à nouveau au premier plan fortement, après avoir vu le parti que «Ala» est devenu un favori des Égyptiens et les plus fréquemment mentionnés sur la langue.
    Elle a indiqué que le mois de Novembre 2009 a vu le match entre l'Egypte et l'Algérie à Khartoum, et sont apparus après Alaa Moubarak comme un héros national après sa violente contre l'Algérie, et n'était donc pas émotionnellement ou Gamal Moubarak dans son discours, mais enthousiaste à parler des événements de l'Khartoum célèbre jeu.
  • Ala al-Moubarak à titre de «citoyen» a envoyé une lettre à l'ambassadeur d'Algérie au Caire, Abdel-Qader Haggar par le contact avec son téléphone lui pour les médias Amr Adib aujourd'hui dans le Programme du Caire, en disant: S'il avait la dignité de l'accord de l'Egypte en réponse à une déclaration de l'Ambassadeur pour les événements du match Egypte et l'Algérie au Soudan: Il n'a jamais mérité de s'en excuser de l'Algérie à l'Egypte et les Egyptiens.
    , "Said Alaa Moubarak Ambassadeur d'Algérie en Egypte, il était« purement décoratifs et ne dispose pas de qui parle contraire aux passions des gens d'Algériens - il croyait - et le bon sens afin de ne pas attaqué le plus de la réaction aux événements du match Egypte et Algérie au Soudan montre Atsafh Baltnahp et le froid dans une certaine mesure et s'il avait quelque dignité, il n'a pas à répéter ces mots et il vaut mieux garder le silence.
    Éclata une campagne agressive menée par les fils de destitué le président Hosni Moubarak et réalisé de nombreux journalistes, y compris Amr Adib et Ghandour et des artistes contre tout ce qui est l'Algérie, immédiatement après l'exclusion de l'équipe égyptienne de la Coupe du monde Qualifications, et que, après le régime égyptien a construit le projet sur l'héritage de ce jeu.


برقية جديدة لوكيليكس تكشف المستور :

الحزب الحاكم قاد حملة ضد الجزائر لتلميع صورة جمال مبارك

كشفت برقية دبلوماسية أمريكية سربها موقع «ويكيليكس» وسط أكثر من 100 برقية أمريكية عن مصر، أن قيادات فى الحزب الوطني الحاكم في مصر كانت وراء الحملة ضد الجزائر لرفع اسهم جمال مبارك في الشارع المصري في ظل تنافس حاد بينه وبين شقيقه علاء.

  • وأشارت السفارة الأمريكية بالقاهرة فى الوثيقة التي تعود إلي نوفمبر 2009، إلى أن الحزب الوطنى قرر شن حملة دعائية كبيرة وواسعة لإعادة صورة جمال مبارك مجدداً إلى الواجهة بقوة، وذلك بعد أن رأى الحزب أن "علاء" أصبح المفضل للمصريين والأكثر ذكراً على ألسنتهم.
    وأفادت أن شهر نوفمبر 2009 شهد مباراة مصر والجزائر بالخرطوم، وظهر بعدها علاء مبارك بوصفه بطلا قوميا بعد تصريحاته العنيفة ضد الجزائر، وبالتالى لم يكن جمال مبارك عاطفيا أو متحمسا فى خطابه إلا فى حديثه عن أحداث مباراة الخرطوم الشهيرة.
  • وكان علاء مبارك بصفة "مواطن" قد وجه رسالة الى السفير الجزائري بالقاهرة عبد القادر حجار من خلال اتصال تليفونه له للاعلامي عمرو اديب في برنامج القاهرة اليوم قائلا : اذا كان عنده كرامة فليخرج من مصر ردا على تصريح السفير عن احداث مباراة مصر والجزائر في السودان : انه لم يحدث ما يستحق ان تعتذر الجزائر من اجله الى مصر والمصريين .
    وقال علاء مبارك عن سفير الجزائر في مصر انه" مجرد ديكور ولا يملك ان يتحدث بلسان مخالف لأهواء شعبه من الجزائريين –حسب اعتقاده-ولا بالمنطق حتى لا يهاجموه بالاضافة الى ان رد فعله على احداث مباراة مصر والجزائر في السودان يدل على اتصافه بالتناحة والبرود على حد قوله واذا كان عنده اي كرامة فليس عليه ان يردد هذا الكلام والافضل ان يلتزم الصمت .
    واندلعت حملة شرسة يقودها أبناء الرئيس المخلوع حسني مبارك و نفذها العديد من الاعلاميين منهم عمرو اديب والغندور وفنانين ضد كل ما هو جزائري مباشرة عقب إقصاء المنتخب المصري من تصفيات كأس العالم ، و ذلك بعد ان بنى النظام المصري مشروع التوريث على هذه المباراة .

L’évaluation de Djezzy bouclée d’ici à juin


L’évaluation du dossier de l’opérateur de téléphonie mobile « Orascom Télécom Algérie » (Djezzy) sera bouclée d’ici au mois de juin prochain, a déclaré dimanche à Alger le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Moussa Benhamadi.

« Il y a eu une présélection d’un bureau d’études, puis une attribution provisoire. Il va y avoir une attribution définitive et là, le bureau d’études va commencer son évaluation », a indiqué M. Benhamadi à la presse en marge d’une visite qu’il a effectuée au niveau de 4 bureaux de poste, dont deux ont été inaugurées.

Le cabinet Sherman and Sterling LLP France avait remporté « provisoirement » l’appel d’offres international pour l’accompagnement de l’opération d’acquisition, par l’Etat algérien d’OTA, en vertu du droit de préemption, selon un avis d’attribution provisoire de marché, rendu public le 10 janvier dernier par le ministère des Finances.

Ce cabinet a soumissionné pour un montant de 2,155 millions de dollars et a proposé un délai de 100 jours pour l’achèvement de l’évaluation d’OTA.

Interrogé sur un changement de position de l’Algérie concernant ce dossier, le ministre a affirmé qu’il n’y a « aucun changement » et que l’Etat algérien est « toujours là, présent, et sait ce qu’il veut et où il va ».

OTA, qui a fait l’objet d’un troisième redressement fiscal d’un montant de 230 millions de dollars, est entré dans des « négociations contentieuses » avec l’administration fiscale algérienne, avait affirmé, en janvier, le directeur de la législation auprès de la direction générale des impôts (DGI), M. Mustapha Zikara.Il avait expliqué, en effet, que le dossier « n’est pas au stade du recouvrement forcé », a quelques jours de l’échéance de paiement par la filiale égyptienne de ce montant.

Selon lui, Djezzy est tenu de payer ce redressement dans les prochains jours, « sauf s’il présente des garanties à même d’assurer le recouvrement de l’impôt », ajoutant que le fisc « est assuré du paiement, car il s’agit d’une entreprise de droit algérien, qui dispose d’actifs sur le territoire algérien ».

»OTA » avait déjà fait l’objet de deux redressements fiscaux d’un montant de 600 millions de dollars, qui ont été recouverts fin avril 2010. Début 2010, le gouvernement algérien avait décidé de racheter la filiale algérienne (OTA-Djezzy) de l’opérateur de téléphonie mobile égyptien « Orascom Télécom Holding », qui négociait alors la vente d’OTA à des opérateurs étrangers. Le gouvernement a fait valoir son droit de préemption qui lui donne la priorité au rachat, en cas de cession d’actifs ou de capital par une société étrangère activant en Algérie.

Source : Algérie Plus au 20/02/2011

Selon Moussa Benhamadi : Le changement de régime en Egypte ne va pas impacter le dossier Djezzy


Moussa Benhamadi, ministre de la Poste, des Technologies de l'information et de la communication, a exclu, ce dimanche 20 février, une évolution de la position du gouvernement algérien concernant le dossier Djezzy après les récents changements intervenus en Égypte, avec le départ de Hosni Moubarak du pouvoir. Il n'y a « aucun changement », a‑t‑il dit à des journalistes, en marge d’une tournée à Alger où il a visité quatre bureaux de Poste. Selon lui, l'État algérien est « toujours là, présent, et sait ce qu'il veut et où il va », a‑t‑il ajouté.

Depuis le début, de nombreux observateurs ont lié l’affaire à la dégradation des relations entre Alger et le Caire surtout après le match de qualification au Mondial 2010, marqué par de graves incidents en Égypte puis au Soudan. L’Égypte avait notamment rappelé son ambassadeur à Alger et l’ancien président Moubarak avait tenu un discours menaçant à l’égard de l’Algérie.

Pour Moussa Benhamadi, l'évaluation du dossier Djezzy se poursuit selon le calendrier fixé il y a quelques semaines. Elle sera bouclée d'ici le mois de juin prochain, a‑t‑il précisé. « Il y a eu une présélection d'un bureau d'études, puis une attribution provisoire. Il va y avoir une attribution définitive et là, le bureau d'études va commencer son évaluation », a indiqué M. Benhamadi. Le cabinet d’avocats Sherman and Sterling LLP France a remporté l'appel d'offres pour accompagner l’État algérien dans cette opération.

vendredi 18 février 2011

A la veille de la marche du 19 février M’Hamed Dabouz, PDG d’Algérie Télécom, à TSA : ‘‘nous ne bloquons pas Internet’’


A la veille de la marche de la CNCD à Alger, Algérie Télécom veut rassurer sur la disponibilité du réseau internet. Dans une déclaration à TSA, M’Hamed Dabouz est affirmatif : « il n’y a aucun blocage d’Internet ni saturation ». « Il n'y aura aucun problème de connexion. Tout ira bien sauf en cas de coupure du câble », a‑t‑il ajouté.

Selon lui, si d’éventuels cas de saturation sont constatés, c’est à cause « des téléchargements sur Youtube et Facebook qui sont numéro 1 en Algérie ». Même en cas de pic de trafic, « on n’atteint pas 80 % de nos capacités. En temps normal, on utilise entre 60 et 65 % de nos capacités », a‑t‑il ajouté. « Ce qui veut dire que nous ne bloquons pas Internet. Il y a assez de tuyaux qui peuvent supporter d’autres connexions », a‑t‑il précisé, ajoutant que « l'Algérie est l’un des pays où l'internet est le plus libre ».

Depuis quelques jours, des rumeurs et des informations non confirmées font état de blocages du réseau internet en Algérie pour empêcher la circulation de l’information dans un contexte de troubles politiques et sociaux. Lors des émeutes en Tunisie et en Égypte, les régimes de Ben Ali et de Moubarak avaient bloqué les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter et restreint fortement l’accès à Internet.

Source : Tout Sur l'Algérie au 18/02/2011

Forum : Rien ne va plus entre Mobilink et AT


► ENFIN J’AI COMPRIS. Depuis le lancement de ces cabines, j’ai rarement vu des gens les utiliser et plusieurs questions me venaient alors à l’esprit. L’opportunité commerciale a-t-elle été bien évaluée sachant qu’on était en plein boom du GSM ? Y a-t il eu un processus de sélection pour le choix du partenaire ? Pourquoi AT s’est-elle associée à un privé inconnu, sans moyens et sans expérience du secteur des télécoms alors qu’elle disposait déjà de son propre parc de cabines fixes ? Pourquoi ce projet en «partenariat», représentant un gouffre financier depuis des années pour AT, n’est-il pas abandonné ? A toutes ces questions, la réponse est enfin donnée : «l’investisseur» était un des principaux soutiens d’un certain sieur qui loge gratuitement à El Mouradia. Aucune logique économique ne tient la route dans ce cas.

► NULLE CRAINTE M. KOUNINEF. Votre ami Bouteflika vous tendra la main pour vous sauver de ce naufrage à moins que le tsunami populaire vous emporte tous les deux. On ne sait jamais !

► COMME D’HAB. Pourquoi le ministre de la Défense a choisi cette Mobilink ? Où est la souveraineté et la défense du secteur public ? Ah ! y a à boire et à manger ou bien pour service rendu, alors les factures AT peuvent attendre. Au suivant messieurs ! D’ailleurs pourquoi laisser ce Kouninef cumuler des ardoises pareilles ? Rappelezvous le cas Khalifa. Bonjour les dégâts !

► QUEL GÂCHIS ! Ces cabines téléphoniques qui n’ont jamais servi et qui ne serviront jamais montrent le grand gaspillage qui se fait en Algérie. Gaspillage au vu et au su de tous. Messieurs les journalistes de Béjaïa, regardez ces cabines que personne n’utilise. Faites un reportage. Posez la question aux banques qui ont avancé de l’argent à cet idiot de patron de Mobilink. Donnez-nous la réponse !

► BANQUES. Quelles sont les banques qui prêtent à Mobilink ? Les banques algériennes ? Cela veut dire qu’il n’y aura jamais de remboursement comme par le passé.

Source : Journal El Watan Weekend du 18/02/2011

Forum : Gouvernement - Orascom : le grand cafouillage


LES ARTISTES ASSOCIÉS ! QUELS CLOWNS.

Je salue cet article bien détaillé, où tous les côtés de l’affaire ont été soulignés. De sa lecture, on peut retenir les points suivants :

1. comme d’habitude, vu l’incompétence de nos vautours qui dirigent le pays, on a laissé OTA lancer l’activité, et une fois devenue rentable (on parle de milliards de dollars et pas de dinars), on vient lui mettre les bâtons dans les roues et le saisir...

2. s’agissant toujours des mêmes incompétents et voleurs, ils vont racheter OTA avec l’argent du peuple, et elle sera dirigée par des personnes parachutées sans rigueur financière, munies de l’outil magique appelé «à peu près» qui mènera ce petit empire vers sa disparition !

3. Encore une fois, on s’en fiche de l’impact sur les emplois directs ou indirects, sur la formation des Algériens «le fameux transfert de techno», sur les impôts payés, etc. Tout cela ne remplit pas les yeux/ventre des ogres au sommet de l’Etat, car cela ne remplit pas leur comptes, mais remplit les caisses de l’Etat et les comptes des salariés algériens. Question au journaliste : y a-t-il une enquête sérieuse faite sur l’investissement des autres entreprises (asiatiques, euro, US, Moyen-Orient) en termes de capitaux apportés, création d’emplois, transfert de technologie, impact sur la richesse du PIB, prise de participation de nos vautours, etc ?

DESSOUS DE TABLE ?

Manifestement, le contrat de départ était vérolé. Les clauses d’exportation des bénéfices et de préemption de l’Algérie n’ont pas été prévues. Qui a négocié ? A-t-il été acheté ? Combien ? Quand on voit la fortune de Moubarak, il est évident que ce n’est pas avec son salaire ni en vendant des graines de tournesol qu’il s’est enrichi. Après ses fautes de débutant, l’Algérie semble se comporter avec le droit international comme elle a l‘habitude de le faire avec les Algériens (qarrerna !). Eh bien non, cela ne suffit pas pour avoir raison. Essayez d’obtenir votre droit avec une entreprise nationale algérienne : de l’intérieur, il faut prendre un avocat et ça dure et ça dure ; de l’extérieur, l’Algérie ne répond même pas, et là encore il faut prendre un avocat de l’étranger, par contre les avocats obtiennent très vite gain de cause ; il faut vraiment que le droit algérien se comporte en majeur après 50 ans d’indépendance. C’est à la signature des contrats qu il faut être précis et ferme, les yeux bien ouverts et insensible aux sirènes de la tchipa.

ALGÉRIE, PAS CONFIANCE.
Le rachat de Djezzy par l’Etat de 3 milliards se soldera par un dépôt de bilan. Toutes les sociétés gérées par l’Etat sont en difficultés et subventionnées par l’Etat. Cette entreprise a le mérite d’avoir créé 4000 emplois quand les dirigeants algériens détruisent des emplois. Au lieu d’encourager les entreprises étrangères à venir dans ce pays, le gouvernement veut jouer au cow-boy en menaçant de nationalisation ou de redressement fiscal, et maintenant l’investisseur doit être minoritaire et s’associer avec une entreprise algérienne ou l’Etat. Les étrangers n’ont pas confiance ni dans l’Etat algérien ni dans les sociétés algériennes qui ne sont que des PME qui n’ont pas de structure importante pour une multinationale étrangère. Mon fils qui travaille dans une importante multinationale en Europe a reçu des informations que cette entreprise ne cherche plus à travailler en Algérie ou dans des pays arabes pour des problèmes de paiement, d’instabilité et de corruption ; elle cherche à se développer dans des pays émergents stables (Inde, Afrique du Sud, Amérique du Sud...).

Source : Journal El Watan Weekend du 18/02/2011

Imagination Technologies dévoile la série 6 GPU PowerVR - promesses graphiques calibre de bureau dans les appareils mobiles


Imagination Technologies ne peut être un nom familier, mais ils ont créé le GPU PowerVR qui sont l'étalon-or dans les graphiques mobiles, et sont une partie de l'ARM SoC vous trouvez dans les appareils mobiles comme le iPhone 4 , Galaxy S , et le Droid 2 . Pas du genre à se reposer sur ses lauriers, l'entreprise a dévoilé sa nouvelle série 6 puces PowerVR - affectueusement surnommé «Rogue» - qui sont 20 à 100 fois plus puissant que ses précédentes offres de poche. C'est vrai, ces GPU aura la même puissance que les ordinateurs de bureau d'aujourd'hui tout en ayant besoin de seulement un milliwatt de jus pour fournir des graphismes en face de fusion - le hic, c'est que ce peu de magie noire ne sera pas apparaître dans des dispositifs pour quelques années . Guess nous allons simplement se contenter de la Série 5 puces - comme la bête quad core dans la NGP Sony et la prochaine OMAP 5 plate-forme - leur façon de sélectionner dans les smartphones "dans les trois mois". quelle compagnie promesses de la marque Soyez encore, nos cœurs de jeux.

Mise à jour: Trois mois? A peine, ST-Ericsson a annoncé une série de nouveaux processeurs SoC, y compris la Nouvelle-9600 qui a "Rogue" cuit en La puce offre une vidéo HD à 120 images par seconde et peut retirer pro-qualité d'enregistrement vidéo en 3D ainsi. communiqué de presse est après la pause.