dimanche 30 novembre 2008

Wataniya Telecom Algérie : Les Précisions de Nedjma à propos des déclarations de M.Joseph Ged

Suite aux déclarations de M.Joseph Ged, Directeur Général de Wataniya Telecom Algérie, lors du Forum du journal El Bilad du 26 novembre dernier, l’opérateur étoilé à apporté la précision suivante :

A une question d’un journaliste sur les parts de marché de Nedjma, M.Ged a déclaré : « selon nos estimations nous détenons 22% des parts du marché et que le classement des opérateurs est du ressort de l’Autorité de Régulation, qui est seule habilitée à le faire».

Par ailleurs, Wataniya Télécom Algérie, dans sa précision rappel toute sa confiance en l’ARPT à trancher sur cette question selon sa propre définition concernant l’abonné actif.

Source : mobilealgerie.com

L’opérateur historique remet en cause les chiffres de Nedjma Mobilis répond à Wataniya Télécom

Mobilis emboîte le pas à Djezzy et pointe du doigt son concurrent Nedjma, dont le patron, lors de sa dernière sortie médiatique, en l’occurrence la semaine dernière au Forum du journal El-Bilad, a fait des déclarations qui lui valent aujourd’hui plus d’une réaction. Une sortie qui ne semble pas du tout réussir à Joseph Ged, DG de Wataniya Télécom Algérie – Nedjma –, qui a abordé, à l’occasion, des questions diverses relatives au développement du marché de la téléphonie en Algérie, de la concurrence en précisant qu’elle était déloyale et aux parts de marché détenues par les uns et les autres en s’attribuant la seconde position. Ce qui n’a pas manqué de susciter le courroux de AT Mobilis qui, jusque-là, semblait entretenir des relations de “bon voisinage” avec son concurrent Wataniya Télécom Algérie. Dans un communiqué très “soft”, mais néanmoins très percutant transmis, hier, à notre rédaction, Mobilis dément catégoriquement les chiffres avancés par Nedjma et dit vouloir “rétablir les choses” et informer ainsi l’opinion publique, notamment sur ce qui est des véritables parts de marché. Joseph Ged s’était, en effet, aventuré, il y a quelques mois, en affirmant détenir la seconde position sans qu’aucune réaction ne suive de la part de Mobilis. Ged récidive, la semaine dernière, réitérant cette même conviction en avançant 22% des parts de marché selon les propres statistiques de l’opérateur et 19% selon le pourcentage attribué par l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) le concernant. Comment peut-il en être ainsi puisque cette même instance officielle attribue 29% des parts de marché pour Mobilis ? “Si les revenus doivent constituer l’indicateur déterminant du rang de chacun des opérateurs, Mobilis réalise un chiffre d’affaires supérieur d’environ 50% à celui de Wataniya ; ceci étant déjà valable pour l’année 2007, cela l’est toujours pour les trois premiers trimestres de 2008”, lit-on sur le document qui précise, par ailleurs que Mobilis “n’a pas pour habitude de se prêter à des polémiques qui ne servent ni les opérateurs, ni le marché de la téléphonie, ni le régulateur”, mais il se devait, en définitive eu égard à l’entreprise et aux millions de clients de “restituer les choses dans leur ordre normal”.

Source : Journal Liberté du 01/12/2008
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Mobilis réagit aux propos de Joseph Ged : Nedjma sous le feu des critiques

Après Orascom Télécom Algérie, c'est au tour de l'opérateur historique, Mobilis de répondre aux allégations du directeur général de Wataniya Télécom Algérie. En effet, Joseph Ged a profité de son passage au forum du quotidien arabophone El-Bilad pour adresser de vives diatribes aux différents acteurs du marché, aussi bien les opérateurs que le régulateur. Il est donc somme toute naturelle, que les acteurs concernés réagissent avec vivacité, d'autant plus que le premier responsable de Nedjma, ne s'encombrant nullement de sens éthique, a largement dépassé ses attributions et ses responsabilités et adressé des accusations infondées à l'encontre des concurrents. Ainsi, Mobilis et Djezzy mettent en avant la nécessité d'éviter de sombrer dans la polémique et de laisser aux autorités habilitées et au régulateur d'évaluer le marché.Ainsi, dans un communiqué publié hier, l'opérateur historique a tenu à mettre les choses au clair. Rappelant, que le premier responsable de Nedjma affirme détenir la seconde place dans le marché de la téléphonie mobile, après Orascom et avant Mobilis ; l'opérateur historique estime que "pareille déclaration a déjà été faite en août dernier, déclaration à laquelle nous n'avons pas, à cette période, jugé utile d'apporter notre commentaire. Nous laissons le premier responsable de Wataniya libre de choisir les modèles qui lui permettent d'aboutir à ses conclusions." Et d'ajouter qu'en ce qui le concerne et il se donne "aujourd'hui ce droit de rétablir les choses et de porter à la connaissance de l'opinion ce qui suit. Si les parts de marché doivent correspondre à la part du parc (nombre d'abonnés) que chacun des opérateurs détient, Mobilis dispose d'une part de marché de 29%, et ceci à l'issue de la dernière campagne d'identification ; Wataniya n'en dispose que de 19%. Si les revenus doivent constituer l'indicateur déterminant du rang de chacun des opérateurs, Mobilis réalise un chiffre d'affaires supérieur d'environ 50% à celui de Wataniya ; ceci était valable pour l'année 2007, ça l'est toujours pour les trois premiers trimestres de 2008 ". C'est ainsi que chiffres à l'appui, Mobilis se fait un devoir de rétablir les choses dans leur cours. Les responsables de l'opérateur historique précisent ne "pas avoir pour habitude de nous prêter à des polémiques qui ne servent ni les opérateurs, ni le marché, ni le régulateur. En plus de l'éthique, nous nous sommes interdits cela aussi eu égard à notre statut d'entreprise publique. Aujourd'hui par contre, nous ressentons cette obligation de restituer les choses dans leur ordre normal, pour l'entreprise publique d'abord, pour les millions de clients qui continuent à nous faire confiance ensuite". "Quant aux autres déclarations faites lors de cette conférence de presse, poursuit le communiqué, nous préférons ne pas y apporter de commentaires. Il existe des institutions en charge de ces questions, institutions auxquelles nous faisons pleinement confiance". Enfin, les responsables de Mobilis affichent leur souhait de voir "les bonnes relations qui ont toujours existé et que nous avons toujours contribué à maintenir entre Mobilis et ses deux autres concurrents de la téléphonie mobiles continueront d'exister même après cet épisode"
Source : Journal Le Maghreb du 01/12/2008

samedi 29 novembre 2008

ORASCOM TÉLÉCOM ALGÉRIE RÉPOND À NEDJMA

“Notre succès est basé sur des actions et non sur des promesses”

“OTA a décidé de ne pas tenir de conférence de presse pour répondre aux assertions et aux accusations portées contre OTA, selon certains articles de presse, par le DG de WTA”, a indiqué hier un communiqué d’Orascom Télécom Algérie. Et d’ajouter que “cette décision est fondée sur le profond respect porté par OTA aux autorités algériennes et à l'ARPT dans la mesure où OTA estime que les accusations mentionnées dans les articles de presse la concernant sont erronées et devraient être traitées dans le cadre d'une procédure adéquate par les autorités algériennes compétentes. Et non par des opérateurs privés dans le cadre d'une conférence de presse”. OTA, précise qu’“étant membre du groupe Orascom Télécom qui est l'un des 10 premiers opérateurs
mobiles dans le monde avec plus de 100 millions de clients en Italie, en Grèce, au Canada, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie, elle applique un code de bonne conduite spécifique.


De telles règles d'éthiques imposent à OTA de maintenir des pratiques et des relations respectueuses envers ses concurrents, dont elle estime qu'elles sont très similaires aux principes appliqués par la plupart des opérateurs algériens”. OTA observe que “son succès et la position actuelle dont elle jouit sur le marché algérien sont fondés sur des actions et non sur des promesses”.

Ce succès est la récompense d'un engagement significatif de long terme envers le marché algérien, d'un travail acharné, d’un investissement considérable et d'une profonde connaissance professionnelle de la téléphonie ayant pour résultat la fourniture du meilleur service à ses clients “En conséquence, OTA réserve ses commentaires et démonstrations motivés sur ce sujet aux autorités compétentes”, conclut le communiqué.

Source : Le Journal Liberté du 29/11/2008

mercredi 26 novembre 2008

Qatar Telecom (Qtel) : La Téléphonie fixe en ligne de mire

Dans son passage au forum du journal El Bilad, M.JOSEF GED, directeur général de Nedjma déclare intéressé à travers la maison mère de l’opérateur étoilé en l’occurrence « Qtel » par le marché de la téléphonie fixe en Algérie. Un redéploiement stratégique dans un secteur dominé par l’opérateur historique Algérie Telecom seul sur le marché après le dépôt de bilan de « Lacom », détentrice de la deuxième licence d’exploitation des lignes fixe en Algérie.

Déjà intéressé par la technologie Wimax et la 3G, Nedjma annonce donc son intérêt pour exploiter le marché de la téléphonie fixe en Algérie, « Si l’autorité concerné décide de se lancer sur une deuxième licence pour la téléphonie fixe, « Qtel » sera éventuellement intéressé par ce marché », avait déclaré M.GED. Selon, le conférencier, le marché en Algérie reste compétitif, il faudra juste établir une bonne stratégie et assainir une bonne politique de développement et de positionnement pour pouvoir prendre des parts de marché dans ce segment ».

Notons que « Qtel » se positionne aujourd’hui parmi les plus grands groupes de télécoms dans la région Mena (Afrique du nord et moyen orient) grâce notamment à ses nouvelles acquisitions en Indonésie et à Oman (2éme licence du fixe), le groupe Qtel à réalisé une croissance de 400%, en passant de 14 millions d’abonnés en 2007 à 55 millions d’abonnées en 2008. Coté chiffre d’affaire, Qtel enregistre une progression notable estimée à 85% entre 2007 et 2008 atteignant ainsi 5,3 milliards de dollars.

Ses résultats forts encourageants de « Qtel » et le dépôt de bilan de Lacom sont forcément à l’origine de l’intéressement de « Qtel » au marché Algérien de la téléphonie fixe.

Source : Mobile Algérie du 27/11/2008
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Wataniya Telecom Algérie : 22% de parts de marché, des bénéfices et des perspectives affichées

Pour sa deuxième édition, le Forum du journal El Bilad a accueilli aujourd’hui le directeur général de Nedjma, M.Joseph GED pour un débat ouvert avec la presse nationale. Le premier responsable de Nedjma a abordé à cœur ouvert les résultats de wataniya Telecom Algérie, les objectifs, les ambitions ainsi qu’un nombre de questions qui ont attrait au marché des télécoms en Algérie. Il estime par ailleurs que le marché doit être encore régulé par les instances concernées, un marché qui souffre toujours d’une concurrence déloyale qui représente un péril pour la concurrence dans le marché de la téléphonie mobile en Algérie.

Wataniya Telecom Algérie a atteint son équilibre financier en juin dernier avec un investissement initial de 1,5 milliards de dollars, elle affiche un taux de croissance de 35% du chiffre d’affaires au troisième trimestre 2008 par rapport a la même période en 2007 et un bénéfice en net progression pour un parc estimé à plus de 5 millions d’abonnés, ceci malgré la désactivation des puces anonymes, comptabilisées à seulement 43 000 lignes pour l’opérateur étoilé.

Le premier responsable de Nedjma estime que 50% des abonnés Nedjma sont équipés de téléphones multimédias. Une réalité qui conforte la stratégie de l’opérateur et qui prédit de beaux jours pour le multimédia en Algérie. L’année 2009 s’annonce en rose pour Nedjma, M.GED atteste que « 2009 sera l’année où wataniya va dégager de réel bénéfice avec notamment l’application d’une stratégie encore plus agressive, des offres attractives et des promotions qui toucheront tous les segments du marché. Le tout, s’appuyant sur un réseau entièrement complet qui compte plus de 2700 sites pour près de 90% de population couverte ».

M.GED a tenu particulièrement à féliciter l’ARPT (autorité de régulation de la poste et des technologies de l’information et de la communication) pour le grand succès de l’opération d’identification des puces qui a permis d’améliorer la sécurisation de l’utilisation des téléphones portables ». Par ailleurs, le conférencier a tenu à signaler certaines pratiques déloyales toujours en vigueur sur le marché, qui représentent un péril pour la concurrence dans le marché de la téléphonie mobile en Algérie, citant l’aspect tarifaire, « nous plaidons pour un équilibre tarifaire, il faut avoir un tarif planché selon les opérateurs qui sera fixé selon sa taille, la stratégie, les investissements…). Nous demandons une baisse tarifaire en direction des clients avec une baisse symétrique des tarifs planchés, et nous exhortons au passage l’arpt à exercer son pouvoir en tant que régulateur du marché de la téléphonie en Algérie et mettre fin à ces pratiques déloyales », et d’enchaîner « Le but étant de faire en sorte que le plus gros opérateur ne dépasse pas les 45% de parc d’abonnés », a t-il conclu.

Les performances de Nedjma participent au succès de Qatar Telecom (QTel) la maison-mère de l’opérateur étoilé avec 10% du parc d’abonnés du groupe. « Qtel » opère sur trois marchés : celui de l’Indonésie, d’Irak ainsi que de l’Algérie. L’année 2008 se dirige vers un résultat du groupe « Qtel » de près de 5 milliards de dollars de CA pour un bénéfice estimé à 500 millions de dollars pour fin septembre dernier. Des résultats qui conforteront encore plus la présence de Wataniya Telecom en Algérie. « Nedjma est présente aujourd’hui en Algérie et notre vision est à très long terme », indique M.GED.

Pour ce qui est des offres déjà en vigueur sur le marché, M.GED se félicite du succès de l’offre « l’illimité », « une offre qui connaît un succès inattendu, et qui est permanente aujourd’hui, on estime que 50% de notre parc postapayé englobe les abonnés en l’illimité ». Pour ce qui est de l’offre « Pack N’ternet », M.GED affirme que le trafic a quadruplé depuis l’amélioration du réseau, un service qui connaît lui aussi un succès. Le portail « Zhoo » lancé depuis quelques mois déjà n’est pas en reste, il affiche de belles performances.

Pour ce qui est du lancement de la technologie « 3G », M.GED affirme que l’opérateur étoilé est toujours intéressé par cette technologie, le marché est prêt à accueillir un tel service, nous espérons que les autorités concernées puissent se pencher le plus tôt possible sur le sujet, la première étape est franchie, nous attendons la mise en service des licences pour l’exploitation de la « 3G ». Ce sera une nouvelle offre qui nous permettra d’assainir encore plus notre position et assainir l’équilibre du marché ».

Pour ce qui est de la portabilité des numéros, l’intervenant a abordé aussi le libre choix du client sur ce point, « Laissons le client décider, il faut que le fait de migrer vers un autre numéro soit faisable», a tenu à souligner M.GED.

Dans sa stratégie de développement, l’opérateur à la bannière étoilée se fixe douze à dix huit mois pour rééquilibrer ses parts de marché, il compte par ailleurs se rapprocher d’avantage des médias, il table sur une augmentation du budget marketing de 25% pour l'année 2009. Du coté du sponsoring football, la hausse sera de l’ordre de 300% sur la même période. « Depuis septembre 2007, j’ai fixé parmi mes priorités, le renforcement de notre partenariat avec les médias, un partenariat qui continuera les prochaines années », conclura M.GED.


Source : Mobile Algérie du 27/11/2008

l’opérateur Nedjma enregistre son premier bénéfice depuis 2004

Après des années difficiles, l'opérateur de téléphonie mobile Nedjma, filiale algérienne de Qatar Telecom (QTel), se porte mieux. Au troisième trimestre de l'année 2008, il a réalisé un bénéfice net de 4 millions de dollars, selon des indications fournies aujourd'hui à Alger pour son directeur général Joseph Ged. C'est la première fois depuis le lancement de ses activités commerciales, en 2004, que Nedjma dégage un résultat positif, avec des perspectives prometteuses de rentabilité. Nedjma entame une « phase de profitabilité», a souligné M. Ged, au cours d'une conférence de presse. Les résultats de 2008 «dépassent nos prévisions», a-t-il précisé. Ce bilan «laisse présager des perspectives futures prometteuses», a-t-il ajouté.

M. Ged a indiqué que son entreprise a «atteint l'équilibre financier en juin 2008 et a dégagé un profit de 4 millions de dollars à la fin septembre avec une croissance des revenus de 35 % au troisième trimestre de cette année par rapport à la même période de l'année dernière». Mais «la vraie année de profitabilité sera 2009. C'est au cours de cette année que nous commencerons à dégager des dividendes que nous pourrons transférées ou réinvestir», a précisé M. Ged.

En quatre ans, Nedjma a investi 1,5 milliard de dollars, soit une moyenne de 375 millions par an, selon son directeur général. Le DG de Nedjma n'a pas fourni d'indications chiffrées sur les investissements futurs de l'opérateur. Ce dernier occupe la troisième place sur le marché mobile algérien, avec un parc d'abonnés est de plus de 5 millions de clients, soit 22 % de parts de marché, selon la même source.

Source : Tout Sur l'Algérie du 26/11/2008
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Nedjma met le cap sur la profitabilité en 2009

La décision d’assainir le marché et de sécuriser les mobiles a entraîné des restrictions sur les points de vente dont beaucoup refusent de se faire certifier, a indiqué Joseph Ged, directeur général de Nedjma. Lors de son passage au forum du quotidien El Bilad, organisé au CIP (Centre international de presse), maison de la presse de Vieux Kouba, il a confié que ce phénomène va ralentir les ventes et le régulateur doit se mobiliser pour trouver un moyen afin de redynamiser le marché.

Toujours selon lui, l’opération d’identification des puces s’est bien déroulée grâce à la mobilisation de toutes les parties concernées. En félicitant l’Autorité de régulation pour son travail, il dira que «c’était un processus très long et complexe et que les trois opérateurs ont travaillé d’arrache-pied pour assainir leur base client». Qualifiant l’opération de réussite, il fera savoir qu’au 10 octobre Nedjma a opéré 43 000 désactivations. Au total, l’opération a donné lieu à la mise hors service de 2,5 millions de puces sur le marché. Nedjma, souligne son DG, «avait une part très petite de puces non identifiées, ce qui dénote que sa base client est saine». Interrogé sur l’existence de puces non identifiées, il expliquera : «Même si elles existent leur nombre doit être infime et pré-activées avant le 15 octobre.» En tout cas, «des tests sont en train d’être faits sur le terrain par les opérateurs et le ministère du Commerce», a-t-il affirmé. Le premier responsable de Nedjma a affirmé que son entreprise a enregistré «des résultats positifs» durant l’année en cours, en réussissant à rétablir son équilibre financier au mois de juin dernier et en dégageant un profit symbolique en septembre. «D’ici la fin de l’année, cette profitabilité sera maintenue sans tenir compte des fluctuations de change imprévisibles», soutient- il. «L’entreprise a réalisé un taux de croissance de 35% du chiffre d’affaires au 3ème trimestre 2008 par rapport à 2007», a-t-il ajouté. M. Ged a annoncé que l’année 2009 sera placée sous le signe de la profitabilité.

En ce qui concerne les investissements futurs de Nedjma, il a confirmé que le groupe Qtel est en train de suivre avec beaucoup d’intérêt le marché algérien, qui est porteur, et compte investir davantage dans le secteur des télécommunications à travers, entre autres, la troisième génération (3G) dont Nedjma a répondu à la manifestation d’intérêt lancée en mai dernier. «Nous sommes dans l’attente des résultats car la 3G sera un élément fondamental pour équilibrer le marché», explique-t-il. Il dira aussi qu’un regard particulier est porté sur la deuxième licence de téléphonie fixe, mais rien n’est encore décidé.

Pour ce qui est de la crise financière et de ses répercussions sur l’entreprise Nedjma, il a déclaré : «Tant que le marché algérien est à l’abri, nous serons à l’abri et je ne pense pas que nous serons touchés.» Et de rappeler que Nedjma appartient à un grand groupe de télécommunications qui est en très bonne santé financière puisque son revenu total pour 2008 est de plus de 5 milliards de dollars. M. Ged voit dans la crise financière des opportunités pour les grands groupes de racheter les entreprises en difficulté. En termes de chiffres, Nedjma, c’est 5 millions d’abonnés malgré la désactivation massive des puces non identifiées, c’est 50% d’abonnés équipés de téléphone multimédia, c’est une qualité de réseau estimée à 99,1% par l’ARPT, c’est 16 000 employés à 99% algériens et dont 50% de femmes, et 22% de parts de marché. Il faut enfin savoir que le montant de l’investissement global de Nedjma est de 1,5 milliard de dollars. Elle représente 10% du chiffre d’affaires du groupe Qtel.

Source : Journal La Tribune du 27/11/2008

Yalla ! Nouveau portail wap de Djezzy (en GPRS)

Exigences
Une partie d'Orascom, Orascom Télécom Algérie, Djezzy est l'un des principaux pionniers sur le marché de la téléphonie mobile algérien avec plus de 10 millions d'abonnés à ce jour. A la suite de la nécessité de diversifier et d'étendre son potentiel sur le réseau GPRS, Djezzy a impliqué la création d'interagir dans sa propre plate-forme de télévision mobile, alimentée par le portail WAP Yalla.
Objectifs
L'objectif de ce projet est de créer un bouquet de services multimédias interactifs et ouverts à la Djezzy contributions par les fournisseurs de contenu, les entreprises et les communautés en ligne via un nouveau portail multimédia où l'espace est donné à l'actualité, les événements sportifs, des jeux et de l'audio / vidéo contenu, spécialement conçus pour le monde mobile.
Mise en oeuvre

Interagir collabore avec son partenaire ARPU + dans le domaine de l'appui sur place et intégration technologique offrant ainsi une solution globale de gestion et de conception Yalla!, Sur la base des X-Gestionnaire de système de gestion de contenu. Conçu pour s'assurer que chaque fournisseur a un accès spécialisé, souple et facile à utiliser dans la création et la présentation de contenu, la X-Manager contrôles pleinement le processus d'agrégation et de distribution de contenu et intègre un module intégré pour la gestion de la télévision mobile multimédia composantes, y compris les transmission en continu. Une équipe d'experts de soutien des opérateurs au niveau local pour assurer une plate-forme utiliser.

Résultats obtenus
Utiliser Yalla!, Djezzy est aujourd'hui en mesure d'offrir à ses utilisateurs un large éventail de chaînes de télévision en direct et des stations de radio dont Rotana le plus grand producteur de la musique arabe et NJR l'un des principaux groupes de radio à un niveau international, à l'exception d'un casting de choix la vidéo à la demande contenu.
Source : Interact

mardi 25 novembre 2008

L’opérateur SLC lance une nouvelle offre entreprise

L’opérateur SLC (Smart Link Communication) a lancé, selon un communiqué de l’entreprise, une nouvelle offre entreprise offrant 20 Mbps de débit garanti à 100%.
Cette offre en plus de son très haut débit présente, selon notre source, l’avantage de laisser le choix de la bande passante aux clients. En plus clair, elle permet aux clients disposant d’entreprise multisites de partager les 20 Mbps de bande passante entre tous ces sites en ayant la possibilité de choisir la répartition du nombre de méga par site. Elle a été dévoilée lors de la Foire de l’énergie et des mines, qui s’est déroulée du 15 au 19 novembre dernier à Alger. Cette offre s’étalera, selon ce communiqué, jusqu’au 31 décembre 2008. Rappelons que l’opérateur privé SLC a participé à la Foire de l’énergie et des mines avec trois différents ateliers. Ces ateliers sont dédiés, notamment à la vidéosurveillance, aux services et aux solutions pour le secteur pétrolier et gazier. SLC a couvert, également, tout le salon durant toute la foire en connexion Internet haut débit en mettant à la disposition des exposants et des visiteurs un espace Business Center, dira une source proche de cet opérateur. L’opérateur privé SLC est titulaire d’une licence de téléphonie sur Internet (VoIP) et commercialise des solutions offrant l’accès Internet à haut débit grâce à la technologie WiMax. L’opérateur SLC totalise, aujourd’hui, entre 800 et 1 000 entreprises connectées à l’internet haut débit via la technologie WiMax.

Source : Journal Liberté du 26/11/2008

dimanche 23 novembre 2008

Sawiris attaque les autorités algériennes

L’opérateur égyptien, qui semble particulièrement priser la politique des deux poids deux mesures oublie très certainement toutes les énormes facilités dont il a bénéficié dans les domaines de la construction et de la téléphonie mobile.

Il semble bien que la crise du groupe égyptien Orascom soit en train de s’aggraver. C’est en tous cas ce que nous serions tentés de croire à la lecture des articles de presse parus aussi bien en Egypte qu’en Algérie. Il y est expressément question d’un communiqué rendu public par le président du conseil d’administration de la défunte Lacom, filiale d’Orascom versée dans le domaine de la téléphonie fixe, l’ingénieur Akil Bachir. Celui-ci, en effet, y accuse expressément les autorités algériennes, à travers l’ARPT (Autorité de Régulation de la Poste et Télécommunication) ainsi que le ministère de tutelle. Il y reconnaît même que Lacom aurait bénéficié de soutien à caractère politique et non pas économique ou autre à la suite de la visite qu’ont effectuée en Algérie le premier ministre égyptien ainsi que son ministre des télécommunication, respectivement Ahmed Nadhif et Tarek Kamel. Orascom, principal actionnaire de cette filiale, dans laquelle figurait aussi Egypte Télécom, admet ainsi avoir versé dans les actions de « lobbying » et donc dans la concurrence déloyale.

Toujours est-il que le communiqué admet lui-même que les choses ont fini par changer, par rentrer dans l’ordre en somme, depuis les salvateurs changements qui ont eu lieu à la tête du ministère de tutelle et de l’ARPT.

Mais ce que ce communiqué ne dit pas, ce que nous rappelle une source de l’ARPT, c’est que les dirigeants de Lacom avaient bel et bien saisi l’Autorité à propos de certaines promotions lancées par Algérie Télécom, son seul concurrent activant en Algérie. Or, l’ARPT avait, à cette époque, accordé une suite favorable aux protestations de Lacom. Ainsi donc, l’échec de Lacom, qu’Orascom veut faire endosser aux autorités algériennes, est bel et bien à rechercher ailleurs. Très probablement dans les choix technologiques et les investissements peu importants pour un projet de cette envergure.

En termes plus clairs, nous expliquent des sources techniques très au fait de ce genre de questions, Orascom cherchait à rééditer l’exploit de Djezzy, cette filiale qui lui a permis de jouer désormais dans la cour des grands alors qu’il y avait consenti au départ bien peu d’argent, préférant au contraire attendre que l’argent commence à rentrer à flot avant de commencer à étendre le réseau. Et de rappeler que les puces avaient été vendues à des prix prohibitifs alors même que le réseau n’avait même pas démarré. Par la suite, les tarifs pratiqués étaient, eux aussi, prohibitifs.

La situation est demeurée ainsi pendant longtemps, jusqu’à ce que le troisième opérateur entre en scène, et force enfin l’opérateur dominant à cesser ce genre de pratiques. Mais entre temps, des sommes colossales avaient été récoltées.

Orascom, qui reproche à l’Etat algérien de ne pas avoir fait respecter la loi à propos de la téléphonie fixe, ce qui est absolument faux tiennent à préciser nos sources au niveau de l’ARPT, oublie certainement que c’est bel et bien lui qui continue jusqu’à ce jour de fouler aux pieds ces mêmes lois s’agissant de la téléphonie mobile et de sa filiale en Algérie, Djezzy en l’occurrence. Jusqu’à ce jour, en effet, Djezzy continue d’ignorer les décisions numéros 11 et 14 rendues à son sujet par l’ARPT, cela au moment où le ministre de tutelle lui-même l’avait rappelé à l’ordre, lui demandant expressément de se mettre en conformité avec la loi.

Toujours est-il que l’attaque directe lancée par Orascom contre les autorités algériennes, cela après l’échec des nombreuses tentatives de Sawiris de rencontrer les plus hauts responsables algériens, trahit le désespoir qui tend à gagner le groupe à mesure que ses actions continuent de chuter en bourse sans qu’il ne lui soit plus possible d’agir en vue d’enrayer le naufrage…

Source : Le Journal Le Courrier d'Algérie du 17/11/2008
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Comment OTA a cherché à doubler Cevital

Naguib Sawiris, qui aurait des problèmes y compris avec l’autorité de régulation de son propre pays, semble avoir accumulé les «maladresses», ce qui le place aujourd’hui dans une position fort inconfortable.

Maghreb Confidentiel, un journal électronique payant, particulièrement bien informé, a publié dans sa dernière édition, des détails inédits en ce qui concerne le conflit qui oppose Orascom Télécom Algérie (OTA) au groupe Cevital, que dirige Issaâd Rebrab. Ce dernier, est-il révélé, «reproche à Sawiris d’avoir recomposé l’actionnariat d’OTA, sans l’en avoir préalablement informé», comme le prévoit la loi en de pareil cas de figure. Ainsi, « deux nouveaux investisseurs (actionnaires) ont été introduits par Naguib Sawiris, président d’OTA. Il s’agit d’Oratel international Inc à hauteur de 31,06 % et du fonds d’investissement AIG IIC à hauteur de 7,91 %. Cela a induit automatiquement une hausse du capital social d’OTA, réduisant de facto la quote-part de Cevital. Celle-ci serait ainsi passée de 3,4 à tout juste 3,19 %. Cette pratique, dénoncée par la loi, est « usitée » dans les milieux financiers lorsque l’on cherche à « doubler» un quelconque actionnaire.

C’est la raison pour laquelle, comme le révélait notre journal il y a de cela quelques mois déjà, une plainte avait été déposée par le groupe Cevital contre OTA, cela devant les instances juridiques internationales. Mieux, nous croyons savoir que Cevital aurait obtenu gain de cause, forçant ainsi OTA à revenir sur ces décisions, à rétablir Issaâd Rebrab dans ses droits et à convoquer un conseil d’administration en cas demanifestation d’intérêt de la part de quelque autre groupe. Ces révélations tendent à montrer à quel point Naguib Sawiris semble tout faire en vue de se mettre en mauvais termes avec l’ensemble de ses partenaires. Ainsi, dédaignant en Algérie le « tapis rouge » qui lui avait été déployé au regard des investissements consentis, il s’est mis à fouler aux pieds la loi, avant de se faire tancer publiquement et officiellement par le président de la République en personne. A l’occasion du changement qui avait eu lieu à la tête de Djezzy, et de l’audience qu’avait accordé le ministre du secteur à Thamer Al Mahdi, l’opérateur avait été « invité » de la manière la plus claire et la plus directe qui soit à « respecter la loi ».

CHRONIQUE D’UNE AGONIE ANNONCÉE. Sawiris a eu beau, par la suite, démentir le fait, et déclarer que la sortie du ministre algérien ne lui était pas directement adressée, les nombreuses décisions rendues à son encontre par l’ARPT (Autorité de Régulation de la Poste et Télécommunications) et auxquelles il refuse toujours de se plier renseignent assez sur le peu de cas que Djezzy fait de la loi algérienne. Celui-ci s’était même fait convoquer par la présidente de l’ARPT une fois qu’une opération de contrôle routinière avait permis de constater que Djezzy était le seul opérateur à avoir « omis » de bloquer ses puces se trouvant sur le marché comme le lui ordonnait la loi. Nous apprenons même que des achats de puces effectués tout récemment dans des quartiers populaires comme Bab El Oued, Bab Ezzouar et Kouba auraient abouti aux
mêmes résultats et qu’une nouvelle saisine aurait eu lieu à ce propos à l’encontre de Djezzy. L’ancien patron de Djezzy, Hassan Kabbani, aurait été rappelé en urgence en Egypte à la suite d’une enquête déclenchée par l’IGF (Inspection Générale des Finances), laquelle aurait conclu à un transfert illégal de fonds en direction de la maisonmère de l’ordre de 2 milliards de dollars. Présentement, l’ensemble des filiales d’OTA ferait l’objet d’audits fiscaux et financiers, ce qui peut encore livrer pas mal de dépassements et de scandales, estime-t-on.

Naguib Sawiris, qui a réussi à s’aliéner ceux qui auraient pu lui venir en aide alors qu’il traverse une période de trouble qui risque de faire voler en éclats son groupe, aurait même effectué un discret séjour en Algérie en vue de tenter de rencontrer le président Bouteflika ainsi que le chef du Gouvernement. Mais les deux responsables auraient opposé une fin de non-recevoir à cette demande. Sawiris aurait également mis à profit ce séjour en vue de réunir le conseil d’administration de Lacom, filiale en charge de la téléphonie fixe, en vue de prononcer officiellement sa dissolution.

Sawiris avait violemment critiqué les autorités algériennes sous prétexte qu’elles auraient favorisé Algérie Télécom contre Lacom. Mais la vérité est toute autre puisque la saisine de l’ARPT à cette époque avait conduit cette dernière à bloquer l’ensemble des promotions de l’entreprise publique algérienne. Mais Lacom, qui cherchait à mettre les petits plats dans les grands, avait proposé des offres peu susceptibles de satisfaire une clientèle algérienne de plus en plus exigeante.

OTA, dans le même temps, oubliant cette affaire, continue de fouler aux pieds les décisions rendues par l’ARPT à l’encontre de Djezzy, notamment celles portant les numéros 11 et 14. Profitant de sa position d’opérateur dominant, il multiplie ainsi les opérations de dumping, cherchant à éliminer par tous les moyens, à commencer par les plus illégaux d’entre eux, ses concurrents. Orascom, pour rappel, traverse une grave crise financière puisque ses actions dans la bourse du Caire ont chuté de plus de 65 %, faisant carrément craindre l’éclatement du groupe. Or, l’aide qu’il pouvait espérer de la part de Djezzy, cette filiale qui lui a permis de jouer dans la cour des grands selon ses propres aveux, vient de s’évanouirpour les mille et une raisons citées plus haut dans le texte…

Source : Le Journal Le Courrier d'Algérie du 15/11/2008

mardi 18 novembre 2008

HTC annonce la sortie du HTC Max 4G, premier smartphone au monde intégrant le WiMAX.

HTC révolutionne le monde de la téléphonie en sortant le HTC Max 4G, le premier smartphone au monde intégrant le WiMAX. Le HTC Max 4G tournera sous Windows mobile 6.1 Professional et possède un écran tactile de 3,8 pouces avec une résolution de 480 x 800 pixels et affichant 65 536 couleurs.

Dans un format monobloc, l’appareil est rectangulaire (113,5 x 63,1 x 13,9 mm), de couleur noire, pour un poids de 151 grammes.

Il est doté d’un appareil photo 3.2 Mégapixels sur la partie arrière du mobile et d’une caméra de résolution VGA située en façade pour la visiophonie. Il est compatible Bluetooth 2.0 avec A2DP et mini USB. Outre ces fonctions, il dispose du WiFi, d’une radio stéréo FM RDS, d’un accéléromètre, d’un lecteur multimédia, d’un enregistreur vocal, d’une antenne GPS intégrée et d’un processeur Qualcomm de 528 MHz.

Disponible en Russie

Source : world gsm

mardi 11 novembre 2008

Ericsson Algérie : Cap sur le développement de la 3G

L’équipementier suédois Ericsson est considéré, selon les spécialistes, comme l’une des anciennes entreprises ayant contribué activement à la mise en place du réseau de télécommunications en Algérie. Et pour cause, Ericsson est l’équipementier qui a installé, dit-on, les stations de base radio (BTS) lors du lancement du premier réseau algérien de communications mobiles en 1997. Aujourd’hui, l’équipementier suédois continue toujours de jouer un rôle majeur dans le développement des télécommunications en accompagnant notamment l’opérateur historique Mobilis et le deuxième opérateur privé Wataniya Telecom Algérie dans la mise en place de leurs réseaux techniques de communications mobiles, indique-t-on. Les spécialistes ont relevé que “l’équipementier Ericsson a une longue tradition de partenariat sur le marché algérien avec une activité bien établie, une bonne connaissance du marché et une croissance record”. Et d’ajouter : “C’est le partenaire télécom privilégié du secteur public et privé en Algérie puisqu’il est présent sur le marché national depuis 1974 en décrochant son premier contrat avec les PetT pour des équipements de commutation et des services d’installation réseau de transit local et national”. Il a créé, également, une joint-venture Sitel avec des partenaires algériens dont il détient 35% des parts pour la production d’équipements AXE. Actuellement, Ericsson offre, affirment ces spécialistes, des opportunités essentiellement de formation de 40 ingénieurs et managers algériens désireux investir dans un secteur de forte croissance et avec un intérêt pour les télécommunications. Cet équipementier a été choisi, aussi, par l’opérateur privé Wataniya Telecom Algérie la mise en place d’un réseau expérimental de téléphonie mobile de troisième génération 3G/HSDPA. L’équipementier Ericsson estime que “l’Algérie affiche depuis 5 ans des taux de croissance très élevés dans le secteur des télécommunications à l’échelle du monde arabe et des pays émergents”, en expliquant que “ces records de croissance sont liés principalement à la compétitivité, le faible taux de pénétration de la téléphonie fixe et mobile, un PNB élevé ainsi que l’engagement du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication pour l’ouverture du marché national à la concurrence”. L’équipementier Ericsson a soutenu que “la demande pour les services des télécommunications sont encore en hausse pour les prochaines années, notamment les services multimédias, le secteur entreprises et gouvernemental”. Il y a lieu de noter qu’Ericsson a lancé lors du congrès mondial 3GSM tenu à Barcelone, son premier nouveau module intégré HSPA, permettant l’intégration des services mobiles large bande dans les nouveaux ordinateurs bloc-notes et dans tout autre appareil de communication mobile. Le module HSPA d’Ericsson sera compatible avec tous les réseaux standards mobiles dont le GSM amélioré, GPRS et GSM.
Source : Journal Liberté du 12/11/2008

TIC : Plus de 12% des créances d'Algérie Télécom réglées

Le président-directeur général du groupe Algérie Télécom (AT), M. Moussa Benhamadi, a indiqué hier, à Alger que plus de 12% des créances que détient l'entreprise auprès des administrations et de particuliers ont été réglées. "Nous avons des engagements écrits de la part de ministères, des administrations et des entreprises économiques mais il leur faut un certain temps pour qu'ils paient leurs dettes. En l'espace de deux mois, plus de 12% des créances du groupe Algérie Télécom (qui sont de l'ordre de 70 milliards de dinars) ont été réglées", a déclaré M. Benhamadi à la presse en marge de l'ouverture du 1er Salon algérien pour la relation client. "L'opération est en cours, elle se passe très bien et sa tendance est très positive", a-t-il ajouté, annonçant la tenue d'une conférence de presse d'ici la fin du mois de décembre prochain pour "donner les résultats et l'évaluation de cette opération".
M. Benhamadi avait indiqué lors d'une précédente rencontre avec la presse que "le plus gros des créances sont celles des administrations", précisant que "le chef du gouvernement a instruit ces administrations par le biais d'une circulaire de s'acquitter de leurs dettes dans les plus brefs délais".
Source : Journal El Moudjahid du 12/11/2008

lundi 10 novembre 2008

Profession blogueur

Pendant sept ans, Steve Hemmerstoffer a travaillé à plein temps au centre d'appels de SFR de Woippy, dans la banlieue de Metz : "Un boulot catastrophique, pas gratifiant, payé au smic, tout en horaires décalés." Depuis 2006, il menait une double vie. Dès qu'il rentrait dans son deux-pièces du centre-ville, il s'asseyait devant son ordinateur, et devenait "Stagueve", créateur et seul maître à bord de "Nowhere Else, le blog du Geek urbain" : "Au début, c'était un blog perso sans but précis, pour me changer les idées. Or ça a été une révélation. J'ai compris que j'avais trouvé ma voie."

Puis "Stagueve" décide de suivre l'actualité du secteur informatique, des jeux vidéo, et du design Internet. Il s'aperçoit vite que pour exister, un blog high-tech doit être mis à jour en permanence. Pour cela, il faut lire des centaines d'articles et de communiqués publiés par les sites Internet d'entreprise, les webmagazines américains et les forums spécialisés, puis traduire ou rédiger plusieurs articles par jour. La tâche est écrasante. Le blog dévore tout le temps libre de Steve, ses week-ends, ses soirées.

Après des mois de travail, Nowhere Else acquiert une petite notoriété dans la blogosphère - 3 000 à 4 000 visiteurs par jour, dont un millier d'abonnés. Steve passe alors à la deuxième étape. Il s'inscrit sur Adsense, le service automatique de Google, qui affiche sur ses pages des bannières publicitaires en rapport avec le sujet de ses articles, et le paie quelques euros par jour, selon le nombre de visites.

Ensuite, tout devient facile. Nowhere Else est repéré par les agences de publicité en ligne, qui utilisent des outils très sophistiqués pour mesurer le trafic des blogs, leur taille, leur contenu, et leur influence. L'agence 24.00h contacte Steve et lui offre un contrat pour l'affichage de bandeaux publicitaires. Puis la régie BlogRider lui propose d'écrire des "billets sponsorisés", articles de commande vantant les mérites d'un produit. Steve accepte, sans se poser trop de questions.

Il fait alors un petit calcul et découvre qu'il pourrait gagner autant d'argent avec son blog que chez SFR. En août, il quitte son emploi et devient de facto blogueur à plein temps. Nowhere Else s'est imposé dans sa vie comme un instrument de reconversion professionnelle et de promotion sociale : "Je gagne toujours le smic, mais à 30 ans, je me sens libre pour la première fois de ma vie. Je vais aussi toucher les Assedic."

La meilleure façon d'accroître le trafic et les recettes d'un blog est de publier des informations avant la concurrence. Il faut aussi le faire savoir, pour que le blog monte dans le classement de Google et d'une myriade de moteurs de recherche, systèmes de mesure et répertoires spécialisés. Un énorme travail de référencement vient donc s'ajouter aux tâches éditoriales. Résultat, Steve passe sa vie devant son écran : "Je me lève à 5 heures du mat'et je me couche à minuit. Parfois, je veille toute la nuit, je dors quand je m'écroule, je me nourris de pizzas et de hamburgers." Sa nouvelle carrière semble bien partie. Une troisième agence l'a enrôlé dans une opération de marketing viral pour une console de jeu vidéo, et une compagnie de télécom lui permet de tester à domicile ses nouveaux services.

Steve est l'un des 1 500 "blogueurs français influents" répertoriés par la régie Ad Rider et sa filiale spécialisée Blog Rider. Son patron, Arnaud Callone, explique qu'il a fallu réinventer la publicité pour l'adapter à la blogosphère : "Le blogueur doit rédiger ses billets sponsorisés en respectant le cahier des charges que nous lui fournissons, mais il doit aussi s'approprier le sujet, utiliser ses propres mots, conserver son ton habituel, pour que le billet s'intègre naturellement dans le blog." Le "UGC" (user-generated content, contenu généré par les internautes) est devenu un terrain stratégique pour les marques : "Le lecteur va faire confiance à ses pairs bien plus qu'à un journaliste inconnu et lointain." Les blogueurs sont libres de signaler ou non à leurs lecteurs qu'un article est sponsorisé.

Blog Rider utilise aussi ses blogueurs pour des opérations de marketing de rue : "Air France a lancé une campagne vers les jeunes. Nous avons mobilisé vingt-cinq blogueurs influents. Au jour J, ils ont averti leurs lecteurs parisiens que s'ils allaient immédiatement sur l'esplanade des Invalides, ils gagneraient cinq billets gratuits pour le Mexique. Plus de 400 jeunes ont accouru." Cela dit, Arnaud Callone revendique une éthique professionnelle, il refuse certaines campagnes : "Une compagnie pétrolière voulait placer des billets sponsorisés sur des blogs écologistes, c'était trop !"

Quelques blogs réussissent déjà à dégager assez de revenus pour nourrir une petite équipe. Anh Phan, 32 ans, ancien ingénieur informatique, a quitté un emploi stable et bien payé pour devenir blogueur pro : "J'ai subi une baisse de revenus, mais ma compagne était d'accord pour tenter l'aventure, et elle a gardé son emploi salarié." Son blog high-tech, Le Journal du Geek, reçoit plus de 25 000 visites par jour, et génère un chiffre d'affaires de 7 000 euros par mois. Anh a embauché un rédacteur et un stagiaire : "Une fois que j'ai payé tous mes frais, il me reste 2 000 euros par mois, je m'en sors."

Dès qu'Anh a été classé "influent" par les publicitaires, sa vie a changé : "J'ai découvert le fameux monde des journalistes, où tout est gratuit." Les nouveaux produits informatiques arrivent directement chez lui par La Poste, et les agences de communication l'invitent à des voyages de presse : "On m'a emmené aux Etats-Unis, à Berlin, à Barcelone, à Ibiza, à Val-d'Isère... Je me retrouve avec des journalistes de la presse classique. Aucun problème, ils m'acceptent comme un des leurs." D'ailleurs, il reconnaît que, en se professionnalisant, Le Journal du Geek ressemble de plus en plus à un webmagazine : "On garde un ton intime, mais on se permet moins de blagues ou de méchancetés, et on élargit nos centres d'intérêt." Anh accepte les bannières publicitaires, les liens et les publi-reportages rédigés par les agences. En revanche, il a cessé d'écrire des billets sponsorisés, qu'il considère comme des publicités un peu déloyales.

D'autres font feu de tout bois. Romain Libeau, 21 ans, étudiant en communication, publie un blog fourre-tout (voyage, show-biz, musique, gadgets...), baptisé sans fausse modestie RomainLibeau. com. Selon l'actualité people de la semaine, son trafic varie de 3 000 à 15 000 visiteurs par jour. Il gagne près de 1 000 euros par mois, car il utilise toutes les formes de rémunérations imaginables - articles sponsorisés, bandeaux, affiliation à des sites marchands qui lui reversent une commission, et même liens publicitaires dans le corps de ses articles : "Une société spécialisée scanne mes textes, détecte des mots-clés et y attache un lien. Si par exemple j'écris le mot "disque dur", il suffira de cliquer dessus pour arriver sur le site d'un marchand de disques durs."

Par ailleurs, Romain a créé Le Journal du blog, guide pratique pour blogueurs débutants, sponsorisé par Blog Rider, qui lui verse 600 euros par mois. Romain se fait aider par des pigistes : " J'ai un rédacteur en chef, il est au chômage en ce moment, je lui donne 200 euros par mois. Les autres touchent 50 euros. Pour le moment, je ne garde rien pour moi."

On assiste aussi à l'arrivée en force des "blogs de filles" pro ou semi-pro, consacrés à la mode, la beauté, les sorties et l'actualité culturelle. DeeDee-de-Paris, blogueuse célèbre, maîtrise parfaitement l'art de mettre un produit en valeur tout en conservant un ton intime et personnalisé : "Guerlain est une de mes (nombreuses) madeleines... L'odeur de Mitsouko, entêtante, puissante, raffinée de ma maman. Je la revois se penchant pour m'embrasser avant de se sauver pour quelque dîner... J'en garde un souvenir ému !"

Deedee, de son vrai nom Delphine Desneiges, 29 ans, a longtemps été blogueuse amateur : "Après Sciences Po, j'ai travaillé comme consultante en communication, mais ça ne me satisfaisait pas. Comme j'ai toujours été passionnée d'écriture, j'ai créé mon blog perso, pour m'entraîner." En 2007, les responsables Internet du groupe Marie-Claire la repèrent et lui font une offre d'achat : "Comme je n'avais pas envie de vendre, nous avons conclu un accord. DeeDee-de-Paris restait indépendant, et je travaillais en parallèle pour leurs sites."

Aujourd'hui, Delphine est salariée de Marie-Claire, responsable éditoriale du site de Cosmopolitan France. Il lui reste ses soirées et ses week-ends pour redevenir DeeDee. Son blog est un terrain de jeux qui n'obéit pas aux règles journalistiques : "C'est amusant, mes lecteurs s'imaginent que tout ce que je raconte est véridique, alors que je romance beaucoup."

DeeDee a signé un contrat exclusif avec une régie publicitaire filiale d'un grand prestataire Internet, ce qui lui assure entre 800 et 1 800 euros par mois. Mais les relations se tendent : "Ils s'imaginent que si on tient un blog de mode, on est forcément une blonde décérébrée et ignare. Ils essaient de nous imposer des contrats improbables, de nous placer des billets sponsorisés sans rapport avec notre ligne éditoriale, et, quand on n'obéit pas, ils nous harcèlent." Si les choses ne s'améliorent pas, elle envisage de changer de régie, ce qui ne devrait pas être difficile : ce secteur est en plein essor, la chasse aux blogueuses influentes bat son plein.

Source : Le Monde du 10/11/2008

dimanche 9 novembre 2008

Algérie : Orascom Telecom ferme sa filiale algérienne de téléphonie fixe Lacom

L'opérateur égyptien Orascom Telecom a décidé de fermer sa filiale de téléphonie fixe en Algérie, Lacom. La décision a été prise dimanche matin au Caire, au cours d'une assemblée générale des actionnaires à laquelle ont pris part des représentants algériens de Lacom.
Détenteur de la seconde licence de téléphonie fixe, acquise en 2005 pour 65 millions de dollars, l'opérateur privé est détenu à parts égales par Orascom Telecom et Egypt Telecom.
Lacom emploie 163 personnes, dont seulement six expatriés. Ils ont été informés de la fermeture de leur société, dimanche en fin de matinée, par leurs délégués.

Orascom Telecom (OT) avait, dans un premier temps, cherché à vendre sa filiale algérienne de téléphonie fixe. Mais en novembre dernier, le PDG d'Orascom Telecom Naguib Sawiris s'était montré pessimiste sur l'issue des négociations avec d'éventuels repreneurs avant de critiquer sévèrement l'ARPT. «Ils ont soutenu l'opérateur historique au point où ils nous ont tués», avait souligné le président d'Orascom. «Dès que nous avons commencé notre activité, Algérie Télécom a réduit ses prix au-dessous du coût de revient. Nous nous sommes plaints. En vain».

En septembre dernier, la banque d'affaires américaine Goldman Sachs, dans une note d'analyse, avait évoqué une provision de 30 millions de dollars passée par Orascom Telecom pour couvrir les frais de licence dans l'opérateur fixe Lacom. « Il subsiste des problèmes avec les investissements (d'Orascom Telecom) dans le fixe en Algérie. Le gouvernement a déclaré qu'il prendra une décision avant la fin de 2008 mais OT a déjà inscrit une provision de 30 millions de dollars, » expliquait une analyste financière.

On ignore toutefois si la décision de fermeture de Lacom est directement liée aux difficultés institutionnelles auxquelles est confronté Orascom Telecom en Algérie. Mais, selon nos sources, le groupe serait également en négociations avancées avec un fonds saoudien pour céder sa filiale de distribution de téléphones mobiles, Ring Algérie. Interrogé par « Tout sur l'Algérie », Orascom n'a pas confirmé cette information.

Source : Tout sur l'Algérie du 09/11/2008

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Les actionnaires de Lacom prononcent la fermeture

L’assemblée générale des actionnaires de Lacom a décidé lors de sa réunion du dimanche 9 novembre au Caire, de prononcer la cessation d’activité du second opérateur de téléphonie fixe en Algérie.

Lacom, propriété à 50-50 de Orascom Télecom (Egypte) et de Télecom Egypt réunis dans le consortium CAT, détenait depuis 2005 la seconde licence de téléphonie fixe remportée pour 65 millions de dollars. Dès février 2007, fin de sa première année d’activité, l’instance de régulation des télécommunications en Algérie, ARPT, adressait un procès verbal à Lacom pour non respect du cahier des charges, le développement du réseau national s’étant arrêté. Lacom, 50 000 abonnés à ce moment là, perdait trop d’argent et devait revoir ses plans.

Ses actionnaires égyptiens se rejetèrent la responsabilité de l’échec : Orascom Télécom ne pouvait pas exploiter seul la licence faute d’expérience dans la téléphonie fixe. Et le reproche était fait à Télécom Egypt – chargé de l’exécutif - de s’être trompé de filière technique en choisissant un procédé sans fil WLL bas de gamme avec un équipementier chinois.

La campagne de communication pour l’abonnement reposait sur l’accès à Internet, mais le procédé n’arrivait pas à faire passer plus de 50 kb par seconde provoquant une rapide désaffection des clients. Lacom a tenté de négocier, en avril 2007, la transformation de sa licence de fixe en licence internet Wimax. Fin de non recevoir de l’ARPT.

Il ne restait plus depuis une année qu’une longue agonie de l’enseigne, avec fermeture du réseau de boutiques dans les six wilayas desservies, non renouvellement des abonnements, et réduction des effectifs. La possibilité d’une reprise des parts d’Orascom Télécom par un nouvel opérateur a été évoquée à de nombreuses reprises. Une dernière réunion des actionnaires au Caire le 6 octobre dernier a pris acte de l’absence de toute offre sérieuse pour poursuivre l’activité de Lacom dans le métier du téléphone fixe.

Dès lors, la porte était ouverte à la décision finale de fermeture, attendue par les quelques 150 membres du personnel de Lacom encore en activité sur deux plates-formes à Alger. Les employés de Lacom n’avaient aucune indication sur leur avenir quelques heures après l’annonce de la fermeture de leur entreprise. Les actionnaires de Lacom devront encore payer des pénalités à l’ARPT en 2007 et en 2008 pour ne pas avoir respecter le déploiement effectif de la licence acquise.

Source : Les Afriques du 08/11/2008

samedi 8 novembre 2008

le réseau pilote LTE d'Ericsson en France

Eric Besson, Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publiques et du Développement de l'économie numérique, a lancé officiellement, ce vendredi 7 novembre, le réseau pilote LTE (pour Long Term Evolution) d'Ericsson en France.

Eric Besson, a testé en direct, dans les locaux d'Ericsson, les différents usages que permet déjà LTE : visioconférence Haute Définition (HD), streaming HD, téléchargement ultra-rapide de fichiers audio et vidéo volumineux et visionnage d'un film HD en situation de mobilité.
À cette occasion, un débit de 170 Mbits/s descendant a été atteint, une première en France pour une technologie très haut débit mobile !

Les premiers systèmes commerciaux LTE sont prévus pour fin 2009.

" Nous sommes fiers d'avoir accueilli Monsieur Eric Besson pour le lancement de notre réseau LTE en France.
Ericsson a toujours été un contributeur actif des transformations du monde des télécoms et un partenaire essentiel pour les standards de demain.
Avec LTE, nous répondons aux attentes des opérateurs et du public (professionnels ou grand public) tout en tenant compte des enjeux de société que sont la réduction de la fracture numérique et la contribution au développement durable.
LTE s'inscrit enfin pleinement dans les objectifs du plan France Numérique 2012 " déclare Guy Roussel, président d'Ericsson France.

Source : boursier.com du 07/11/2008

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Ericsson et Eric Besson lancent officiellement LTE en France
Eric Besson, l’homme à la carte de visite la plus longue du monde (Secrétaire d’État chargé de la Prospective, de l’Evaluation des politiques publiques et du Développement de l’économie numérique), a officiellement lancé aujourd’hui vendredi 7 novembre 2008 le réseau pilote LTE (Long Term Evolution) d’Ericsson en France.

Il s’agit du tout premier réseau pilote en France pour la génération 4 de transmissions mobiles (mais couramment appelée 3.9G), depuis le remplacement du télégraphe par le téléphone en 1878.

En février 2007, Ericsson avait atteint 144Mbits/s en vitesse de transmission sur son réseau test LTE, une première. Aujourd’hui Eric Besson a pu voir dans les locaux d’Ericsson France une démo de retransmission HD à 170 Mbits/s en débit descendant, premier record de France.

“Ericsson s’investit depuis plusieurs années dans la réflexion stratégique menée par le gouvernement français, et continuera de contribuer pleinement par son expertise internationale aux objectifs de couverture en haut et très haut débit du plan de développement de l’économie numérique annoncé officiellement le 20 octobre 2008 par Eric Besson”, dit Ericsson qui garde en tête un certain “Internet pour tous en 2012″ prononcé par notre président de notre présipauté.

“Si HSPA Evolution offre d’ores et déjà aujourd’hui jusqu’à 21 Mbits/s de débit pic (42 Mbits/s prochainement), la norme LTE (pour Long Term Evolution) délivre entre 100 Mbits/s et 300 Mbits/s”, rappelle Guy Roussel, président d’Ericsson France.

Le 30 septembre dernier, le GSMA annonçait la création du label “Mobile Broadband” (haut débit mobile) avec 16 partenaires de l’industrie, pour désigner l’appareil mobile de demain qui sera connecté en permanence.

En France, Ericsson est associé à Orange pour le développement futur de LTE. “Les premiers systèmes commerciaux LTE sont prévus pour fin 2009″, dit Ericsson.

Le prochain Sommet Mondial LTE se déroulera à Londres enre les 17 et 20 novembre prochains.

Et que se passe-t-il lorsque M. Eric Besson passe un coup de fil en LTE? Ben, Eric sonne, évidemment. Alors va ouvrir. (oui je sais mais c’est vendredi)

Source : the inquirer du 07/11/2008

'Les téléphones portables auront la vidéo Full HD en 2012' déclare Ericsson




































Ericsson AB, de Suède, a révélé ses efforts dans le marché du haut débit mobile lors d'une conférence de presse, 6 nov. 2008.

Dans le domaine des communications mobiles, des technologies innovantes telles que "l'évolution HSPA», qui est le successeur de HSPA, et "LTE (évolution à long terme)," qui comprend des communications à haut débit de plus de 100Mbps, le dessin sont d'intérêt. Pour deux de ces technologies, Ericsson entend développer de façon proactive et des modules intégrés du marché, les installations de station de base et d'autres produits.

Au cours de la conférence, Ericsson a indiqué son concept d'un futur terminal mobile comme un «appareil mobile en 2012." Selon le concept, la fonction de haut-terminaux, à l'avenir, sera équipé d'un 12 - à 20 Mpixel caméra et le soutien plein tournage vidéo HD capacité.

"Nous avons une image d'un terminal mobile équipé d'un appareil photo numérique et caméscope capacités de l'avenir», a déclaré Jonas Lundstedt, Ericsson Le Directeur de gestion de portefeuille, de produits et de la gestion de portefeuille.

Le terminal de l'écran aura résolution XGA. Et la fréquence de fonctionnement du processeur application atteindre 1 GHz, dit-il. Quant à sa fonctionnalité de télécommunications, Ericsson s'attend à ce que le dispositif de soutien à 100 Mbps ou plus rapide, LTE.

La société estime que le marché évolution vers un tel avenir terminal mobile est progressive. HSPA technologie actuelle a une vitesse de transmission maximale de 7.2Mbps, et 59 réseaux commerciaux sont déjà opérationnels dans le monde (dont 38 sont en utilisant le système d'Ericsson), il a dit. Selon Ericsson, 805 types de HSPA-des terminaux compatibles ont été libérés à partir de 129 fabricants à ce jour.

"HSPA évolution", une version étendue de HSPA, sortira à la fin de 2008 ou plus tard, avec le maximum de vitesse de transmission de données devrait atteindre 21Mbps.

"W-CDMA, qui a une vitesse maximale de 384 kbps, apparu dans près de 2002", a dit Lundstedt. "La capacité de transmission de données aura augmenté 60 fois plus grande dans les six années écoulées depuis lors."

D'autre part, il considère que le degré de l'introduction de LTE est différente selon la région. Le début de passage à LTE est prévue dans certaines régions, y compris le Japon, alors que HSPA et HSPA évolution sont susceptibles de rester les grands pendant un certain temps à venir dans d'autres régions, at-il déclaré.


Source : Tech on du 07/11/2008