vendredi 26 juin 2009

Algérie : Un Numéro vert 3030 pour toute information concernant la grippe A/H1N1

Le Ministère de la santé met à votre disposition en H24 Un Numéro vert 3030 (appels gratuits) pour toute information concernant la grippe A/H1N1.
une équipe de spécialistes est à votre écoute.


Télécharger les consignes en version pdf ici et les communiqués ici

jeudi 25 juin 2009

OUVERTURE DU CAPITAL D’ALGÉRIE TÉLÉCOM : Orange et Vivendi aux aguets

«Ce dossier n’est pas à l’ordre du jour», avait déjà déclaré le ministre Hamid Bessalah.

Même si l’ouverture du capital d’Algérie Télécom (AT) n’est plus à l’ordre du jour, les opérateurs français se bousculent pour participer à cette privatisation. Récemment, ce sont Orange et Vivendi qui ont manifesté cet intérêt, rapporte le quotidien Le Figaro. En fait, ils sont 45 géants mondiaux des télécommunications, notamment France Télécom et Qatar Telecom (Qtel), à s’intéresser à l’ouverture du capital de l’opérateur historique. Cependant, ce processus, évoqué depuis plusieurs années, est actuellement gelé. Le premier responsable du secteur, Hamid Bessalah est catégorique.
«Ce dossier n’est pas à l’ordre du jour.» «Notre souci actuellement est la mise à niveau d’Algérie Télécom, aussi bien au niveau de la gouvernance que de la gestion des ressources humaines et du marketing», avait-t-il encore précisé. Le président-directeur général d’AT, Moussa Benhamadi, allant dans le même sens, a clairement annoncé que le capital de son entreprise ne sera pas ouvert au privé.
Pour Benhamadi, la privatisation ne se justifie plus pour l’opérateur historique qui compte investir 100 millions d’euros d’ici à 2013 pour développer la fibre optique. En 2008, Algérie Télécom a réalisé un chiffre d’affaires d’un peu plus de 60 milliards de dinars. Entre 2003 et 2008, pas moins de 80 milliards de dinars ont été investis par AT dont 20 milliards consacrés au renouvellement de son réseau de téléphonie fixe. AT est actuellement en train de se restructurer et d’améliorer ses procédures de gestion en matière de management, avait expliqué le patron de l’entreprise.
Ainsi, et malgré toutes ces affirmations de la part des responsables du secteur quant à l’ajournement de l’opération de privatisation, les opérateurs français s’y intéressent toujours et cherchent des opportunités au Maghreb alors que la croissance du marché des télécoms ralentit en Europe. Orange vient de marquer un point en Tunisie.
Dans ce pays, qui compte déjà deux opérateurs mobiles et deux opérateurs fixes, le français est en pole position pour remporter la troisième licence fixe et la troisième licence mobile que va attribuer le gouvernement tunisien. Déjà en 2006 Orange et Vivendi avaient souhaité être présents sur le marché tunisien. Ils avaient tous deux été candidats malheureux à la privatisation de Tunisie Télécom, finalement remportée par un fonds de Dubaï. Persévérant, Orange a donc retenté sa chance avec succès. Vivendi, lui, n’était pas candidat cette fois-ci alors qu’il était arrivé jusqu’en finale en 2006.
Dans le mobile, Orange sera en concurrence avec Tunisie Telecom (4 millions de clients). Il retrouvera surtout une vieille connaissance: Orascom Telecom qui détient 50% de Tunisiana, le deuxième opérateur avec 4,5 millions de clients.

Source : Journal L'Expression du 25/06/2009

mercredi 24 juin 2009

Le groupe égyptien « Mobisarf » : Une stratégie d’expansion en Algérie.

Le groupe égyptien « Mobisarf », dévoile une nouvelle stratégie, visant à élargir des investissements et diversifier les services. Le directeur exécutif, Mr. Sameh Atta Allah, et le responsable de la gestion de la filiale algérienne, Mr. Nabil Akef, ont affirmé, lors d’une réunion, organisée à l’hôtel Hilton, que la société égyptienne, affiliée à Orascon Télécom, adopte une nouvelle stratégie. Vue qu’elle est désormais la propriété d’un nouveau groupe, constitué du fonds d’investissement d’Abou Dhabi et d’une société espagnole. Le groupe compte élargir ses investissements, en Algérie, dés cette année. De ce fait, il envisage l’équipement de toutes les entreprises, la formation et la réhabilitation des informaticiens algériens, actifs dans le domaine de la télécommunication. Il est prévu également, le transfert de savoir faire algérien, à certaines filiales du groupe, localisé à Dubaï et au Pakistan. Le groupe prévoit, aussi, un partenariat avec Mobilis, Algérie Télécom, et Wataniya Télécom Algérie. Mr. Sameh Atta Allah déclare « la société a été crée en 1999, a ouvert sa filiale en Algérie en 2001, et compte aujourd’hui changer sa stratégie. La société emploi plus de 500 ingénieurs et techniciens en informatique, dont 95 % algériens, et couvre la totalité du territoire algérien à travers plus de 25 bureaux. La société procède à un partenariat en vue de réaliser des structures spécialisées en communication, notamment, des tours de communication, des travaux d’ingénierie, ainsi que l’intégration de nouveau services dans le marché algérien, à savoir la facturation numérique.

Source : Journal El Khaber du 24/06/2009

mardi 23 juin 2009

Le Japon accepte cellcos' LTE plans, libérer le potentiel des dépenses de $ 11bn

Le Japon a fait un grand pas vers la LTE, avec l'approbation des communications Ministère des plans d'entreprise présentés par les quatre opérateurs de téléphonie mobile et fixé à l'ouverture de nouveaux spectre de la fin de l'année. Celles-ci concernent l'investissement dans les réseaux totalisant un billion de yens sur cinq ans (de plus de $ 11bn).

Le plus grand cellco, NTT DoCoMo, a dit à maintes reprises qu'il envisage de déploiement LTE à un stade précoce, et a été à un moment même en tenant compte de certains des déploiements d'ici la fin de 2009, éventuellement à l'aide de pré-équipement standard provenant de son long-running 'Super3G 'R & D projet. Toutefois, il semble maintenant que l'entreprise commencera à travailler à la mi-2010, ce qui rend probable qu'elle sera pleinement avec l'équipement standard, plutôt que de répéter son expérience de la 3G, où elle a adopté sa propre version du W-CDMA, appelé FOMA. Une telle démarche permettra à DoCoMo de puiser dans la LTE écosystème qui se développe, plutôt que d'être trop dépendante de ses fournisseurs japonais, comme il est en 3G. Le leader du marché a récemment donné son indication la plus forte encore que ce serait sortir de son bunker sans fil et de tirer profit des normes mondiales quand il forma une alliance avec Telefonica pour l'achat combiné conjointe et d'autres activités.

Mais bien sûr, rien n'est jamais complètement standard au Japon et dans le spectre, qui sera, au moins initialement, d'ouvrir LTE seront différents de la bande à être utilisés par la plupart des autres adopteurs précoces. Si 2.5GHz, 2.6GHz et 700MHz sont les axes principaux de l'attention aux États-Unis et l'Europe, les transporteurs japonais sera 1.5GHz (DoCoMo et Softbank Mobile), 1,5 GHz et 800 MHz (KDDI), et 1,8 GHz (EMOBILE).

En tant que nouvel arrivant perturbateur, EMOBILE semble se déplacer presque aussi rapidement que DoCoMo, mais il mettra également en place certains HSPA dans son nouveau spectre. Comme elle repose principalement sur un modèle de données et sur les dispositifs, tels que les netbooks, qui ont été moins largement adopté au Japon qu'en Europe, il est en mesure de progresser vers LTE sans avoir à trop s'inquiéter, pour l'instant au moins, sur la voix ou le combiné formats. Le plan qu'il a présenté indique une date de début de Septembre 2010, et il prévoit de dépenser un total de $ 644m.

DoCoMo n'a pas obtenu le spectre de 20MHz qu'il voulait - et pense que de nombreux opérateurs est indispensable, au minimum, afin de soutenir la lourde tâche que de nouveaux services web LTE promesses. Au lieu de cela, a 15MHz à 1,5 GHz, tandis que les trois autres se 10MHz chacun dans cette bande. Certains de DoCoMo, l'attribution ne seront pas libérés par les occupants actuels jusqu'en 2014, notamment à Tokyo et Osaka. Malgré ces restrictions, il prévoit de dépenser environ $ 3.43bn sur son réseau, qui vivent en Juillet 2010 et à des services commerciaux d'ici la fin de cette année.

Softbank ne démarre pas jusqu'à la première moitié de 2011, avec un budget de $ 2.07bn, tandis que KDDI va passer la dernière, le début des activités en Novembre 2011 et de services commerciaux à un an plus tard. Cependant, une fois, il est en mouvement, le fournisseur de services CDMA passer et de développer agressivement, avec un budget de $ 5.15bn annulée. Cela permettra à KDDI poids essentiel de ses investissements à une période où, il l'espère, le climat économique se sont améliorées et la demande de services LTE sera prouvé - et dans l'intervalle, il peut attirer les early adopters de la téléphonie mobile à large bande avec les services WiMAX offerts par ses UQ Communications coentreprise, qui a une licence nationale 2,5 GHz et pas de concurrent direct.

Les quatre opérateurs projet qu'ils attirer environ 36 millions d'abonnés entre eux d'ici à 2014. DoCoMo s'attend à obtenir 17.74m (presque un tiers de sa base actuelle de 54.6m), tandis que les trois autres disent que près de 30% de leurs clients de passer à LTE dès qu'elle sera disponible. DoCoMo a besoin de réduire le coût de propriété de son réseau et le déploiement de nouveaux services. Le leader du marché continue de perdre des parts à ses concurrents, même si elle a encore de 50,8% (en baisse de 1,2% sur un an) et de voir d'énormes pressions sur l'ARPU. Toutefois, son premier trimestre de 2009, vient d'annoncer, a de son mieux pour trois ans. Elle a ajouté net 445.600 clients, son plus haut décompte depuis le deuxième trimestre de 2006, et a vu une année sur l'abonné de croissance des recettes de 2,3%, mieux que les 1,5% enregistré en Q108. Un énorme 89,8% de ses abonnés 3G l'utilisation, contre 82,3% un an plus tôt. Mais comme le marché sature, l'ARPU mixte a chuté de 10,9% sur un an à 5390 ¥, le chiffre le plus bas de la société a enregistré depuis le début de l'ARPU mixte des rapports, il ya cinq ans, et le plus grand déclin trimestriel jamais enregistré. Cela a été reflété dans les revenus de la société, qui a connu une baisse annuelle de 5,6% à 4.448 milliards de yens. Le bénéfice net a également baissé, une baisse de 3,9% ¥ 472bn.

Source : RethinkWireless au 12/06/2009

Le PDG d’Algérie Télécom, M. Moussa Benhamadi, rend visite à El Moudjahid “Aller loin, c’est notre ambition”

Le président-directeur général d’Algérie Télécom, M. Moussa Benhamadi, a rendu visite, dimanche dernier, à El Moudjahid. Il a été reçu par le directeur général de la publication, M. Abdelmadjid Cherbal. Le premier responsable d’Algérie Télécom effectue une tournée auprès des médias parce que, dit-il, c’est un monde qui se constitue. Il est marqué par l’ouverture et la liberté d’expression.

Aller loin

S’agissant d’Algérie Télécom, “aller loin c’est notre ambition”, affirme le PDG de cette institution. M. Moussa Benhamadi a l’ambition de faire de l’entreprise dont il est à la tête, une locomotive, porteuse de nouvelles technologies, de nouveaux produits et services qui nous met toujours dans l’obligation d’avancer. C’est cela la réalité, dit-il. Pour le premier responsable d’Algérie Télécom, les travailleurs de l’entreprise ont accepté de relever les défis et de booster le développement de l’institution. Nos bilans sont positifs, souligne M. Moussa Benhamadi. Il s’agit de résultats positifs mais que nous estimons encore insuffisants, pour la simple raison qu’on n’a pas encore réussi à bien encadrer toutes nos activités, management, réseau et autres. Les ressources humaines comportent encore des faiblesses malgré leur importance et leur densité. Nous avons ainsi l’obligation de continuer à former et à insister sur la formation dans le domaine technologique. Algérie Télécom a une obligation de modernisation. Cela exige beaucoup d’investissements, reconnaît M. Moussa Benhamadi. Cette obligation, il nous faut pourtant la prendre en charge, parce que l’on constate que l’on n’avance pas en même temps que les autres, ceux notamment qui sont à la pointe de la technologie.

Absorber la concurrence

Ce sont nos concurrents qui veulent nous fagociter. Ils se déplacent, ont l’ambition de s’étendre en absorbant la concurrence, Algérie Télécom notamment. On considère cela comme de bonne guerre. C’est donc à nous de faire en sorte que l’entreprise bénéficie d’une protection maximale. Pour le P-DG d’Algérie Télécom, un opérateur a l’obligation de se développer, c’est ce que fait Algérie Télécom. L’entreprise a besoin de compétences, pour effectuer les choix technologiques nécessaires à son développement. Nous, nous n’avons pas pour cela le droit à l’erreur.

Une position stratégique

Evoquant le partenariat, M. Moussa Benhamadi assure qu’il a une position stratégique dans la politique définie par son entreprise. Quelqu’un qui a déjà le savoir-faire, la maîtrise de la technologie et des produits émanants de celle-ci, est d’une grande utilité pour nous permettre d’avancer à travers des projets à développer en commun. Il est important de s’associer donc. Néanmoins, ce n’est pas nécessairement dans la technologie que nos besoins sont les plus évidents, nous avons en la matière une certaine force, mais c’est beaucoup plus dans le management, le marketing que nous accusons des retards avec le handicap supplémentaire que l’environnement existant n’est pas favorable à de telles évolutions. En engageant des actions partenariales, en nous associant avec des partenaires sûrs, nous avons l’assurance de pouvoir avancer, d’aller vite, note le P-DG d’Algérie Télécom, d’être réactifs.

Un nom, un réseau

Notre avantage, c’est celui d’avoir un nom, un réseau. Cela peut nous apporter une réelle façon de nous comporter. Le mot d’ordre pour nous c’est la transformation dans notre façon de voir les choses, de voir l’évolution de la technologie, dans la volonté de transformer notre système pour le rendre moderne. Cela nous permet de voir comment se décide l’avenir. Dans le même temps, il nous faut rentabiliser ce qui a été déjà investi. Nous sommes donc mis dans l’obligation de nous moderniser, alors que les premiers investissements consentis ne sont même pas encore amortis. Les investissements nouveaux coûteront chers, cela est sûr. Le P-DG d’Algérie Télécom a évoqué la question du contenu devenu aujourd’hui une préoccupation majeure dans la définition des priorités pour les entreprises du secteur. Nous n’avons pas de contenu encore, dit-il. Il nous faut parvenir à apporter une valeur ajoutée, cela est un impératif.

Il n’y a pas besoin d’ouverture du capital d’AT

Le problème de l’ouverture du capital de l’entreprise, si souvent mis en avant quand l’avenir d’Algérie Telecom, est soulevé, M. Moussa Benhamadi, note que cette décision relève de la volonté politique. Le premier responsable reconnaît en ce qui le concerne qu’il n’y a pas nécessité d’ouvrir le capital de l’entreprise. Nous n’avons pas de difficultés financières particulières qui nous poussaient vers cette voie, si cela était le cas, par contre, nous avons besoin d’améliorer nos performances et donc avec une obligation d’aller vers le partenariat. Mais le fait est là, c’est que nous devions d’abord compter sur nous même, tout en continuant d’apprécier à sa juste valeur, l’action partenariale. Si on arrive à développer “Algérie Telecom”, si nous pouvons la coter en bourse, nous pouvons ainsi rendre attractive l’action AT.

“E-Algérie 2013”, un vaste programme

“C’est un effort volontaire à accomplir”, affirme M. Moussa Benhamadi, qui rappelle que l’Algérie a lancé un grand projet “e-Algérie 2013”, initié par le ministère de Poste et des Technologie de l’information et de la communication. Ce projet vise à la construction de la société et de l’économie numérique. Les entreprises ont un rôle central dans la mise en oeuvre de ce programme, c’est notamment le cas pour “Algérie Telecom”. Pour M. Moussa Benhamadi, “Algérie Telecom” va jouer un rôle fédérateur pour l’ensemble des acteurs. Nous souhaitons que s’unissent tous les efforts parce que “Algérie Telecom”, c’est évident, ne pourra rien faire seule. L’entreprise a besoin d’avoir en face d’elle, des intégrateurs qui pourraient lui acheter des réseaux. Pour cela, M. Moussa Benhamadi se dit prêt à abandonner les services et se concentrer sur un rôle d’opérateur.

400 millions de dinars pour la formation en 2009

En soulevant le problème de la formation, M. Moussa Benhamadi relève que l’entreprise a un vaste programme dans le domaine qu’il évalue à hauteur de 400 millions de dinars pour 2009. La stratégie du groupe vise à encourager la compétence là où elle se trouve. Son management couvre aussi bien la gestion des carrières, la formation en tant que telle, l’évaluation des performances, la motivation et l’implication des travailleurs, que le recrutement. L’optimisation des ressources humaines apparaît bien au coeur des ambitions formulées par le PDG du groupe. En tant qu’enjeu et finalité incontournable, le volet formation on l’a senti à travers le propos du P-DG d’Algérie Telecom est très présent dans le discours des responsables du groupe et dans les orientations stratégiques.

La volonté d’avancer

problème dans nos relations avec la tutelle. Le P-DG du groupe souligne de nouveau que pour l’ensemble du secteur, il nous faut avoir la volonté d’avancer. C’est un apprentissage, dit-il, en parlant de gouvernance. Il y a une adhésion aux règles et aux principes de celle-ci mais cela rend nécessaire la mise en place de dispositifs appropriés. Des erreurs sont toujours possibles, mais elles ne doivent pas bloquer une action. Concernant Algérie Télécom face à la crise financière et économique internationale, le P-DG du groupe relève qu’il s’agit d’une aubaine pour nous. Les entreprises dans les pays touchés cherchent aujourd’hui à investir dans des lieux sûrs. Les équipementiers cherchent à vendre même avec une tendance à la baisse. C’est un avantage pour nous, mais cela ne doit pas signifier que nous allons devoir nous contenter de cela, de cette situation. Nous avons l’obligation de nous engager dans l’anticipation pour développer des prototypes et mettre nos cadres dans un environnement de laboratoire.

L’espoir d’une mobilisation forcée

Concernant les compétences nationales à l’étranger et la possibilité de les mobiliser autour de projets, M. Moussa Benhamadi souligne qu’à travers le mouvement associatif, il y a une mobilisation importante de scientifiques algériens. Nous espérons pour notre part, affirme le PDG d’Algérie Télécom, développer des relations avec des groupes ayant des motivations fortes pour venir travailler en Algérie. Par ailleurs, il y a déjà des nationaux établis à l’étranger qui sont là. D’une façon générale, note M. Moussa Benhamadi, les Maghrébins s’imposent par leurs compétences. Pour notre part, nous sommes en contact avec des scientifiques de haut niveau. M. Benhamadi Moussa confie qu’il mise beaucoup sur la recherche, qu’il souhaiterait dans le même temps être un serviteur de la recherche. Pour lui, sans une recherche efficiente, le pays n’a aucune chance de se développer. Il évoque pour cela l’exemple de la République de Corée, un pays sans ressources naturelles et qui aujourd’ui est à la pointe du progrès scientifique et technologique avec des exportaitons en hausse exponentielles de sa technologie et des produits sortis de ses laboratoires.

Savoir vendre

Pour ce qui nous concerne, nous ne savons pas encore vendre et ce qui complique la situation c’est cette bureaucratie effroyable qui envahit notre environnement. Il nous faut créer une assise économique et faire droit à l’initiative individuelle, nous ne devons pas retomber dans le dogmatisme. Le P-DG d’Algérie Télécom fait remarquer que beaucoup d’entreprises publiques ont été rachetées par des groupes privés et qui par la suite ont disparu du marché. Pour M. Moussa Benhamadi, le code de commerce, doit être le seul guide en matière de relations commerciales et de gestion, avec intégration du risque en affaires. L’Etat ne s’ingère pas ou ne devrait plus s’ingérer dans ces relations qui relèvent du simple statut de relations commerciales ou d’affaires. Le P-DG d’Algérie Télécom souligne que l’Etat a beaucoup apporté en matière de cadrage réglementaire en assurant une mise à niveau des textes en relation avec les nouvelles réalités du marché. Il y a une décantation qui est nécessaire et il faut attendre qu’elle se fasse de façon naturelle, sans injonctions. L’Etat a pour seule mission de signaler, contrôler sans avoir à influencer le cours des choses. Il y a une dynamique entrepreneuriale à encourager. L’Etat ne devant s’intéresser qu’à celui qui lui produit de la fiscalité.

Source : Journal El Moudjahid du 23/09/2009

lundi 22 juin 2009

Internet mobile : Et c’est parti…

Les trois opérateurs de téléphonie mobile, Nedjma, Mobilis, Djezzy ont lancé la clé USB qui permet, avec sa puce intégrée, de se connecter à l’Internet avec une vitesse de navigation théorique.

Vitesse théorique, il faut le souligner. Selon les trois opérateurs mobiles, le débit est très élevé. Concrètement et du fait que leurs réseaux soient équipés de l’EDGE, il suffit d’être dans une zone couverte, de brancher la clé USB sur un ordinateur de bureau ou portable, et de lancer l’application de connexion, qui est fournie sur un CD à installer sur l’ordinateur au préalable. Après l’établissement de la connexion, la navigation se fera de façon identique à une connexion Internet fixe. Aucune restriction n’est prévue sur l’utilisation des navigateurs Internet Explorer, Mozilla Firefox ou autres. La navigation est illimitée pour les deux réseaux Nedjma et Mobilis, par contre elle est limitée chez Djezzy selon un forfait précisé. Un autre avantage : on peut même se connecter en voiture du fait que la technologie utilisée permet la mobilité. Il faut prévoir 5000 DA pour l’acquisition de la clé USB mobiConnect de Mobilis. Si l’acheteur choisit le forfait d’une année, il bénéficiera d’un bonus : l’envoi de 1000 SMS par mois à des abonnés Mobilis. La clé USB N’ternet de Nedjma est vendue quant à elle à 10 000 DA. L’abonnement mensuel au service N’ternet est de 2500 DA. L’opérateur mobile assure que ce service est destiné aussi bien au grand public qu’aux entreprises. Chez Djezzy, l’achat d’une clé USB est à 4900 DA avec une caution de 1500 DA qui sera rendue après une année de validation du contrat. l faut noter que les trois opérateurs ont été bien notés sur la qualité de leur couverture.

Les différents tarifs de l’Internet mobile en Algérie (IT Mag Juin 2009)

NedjmaMobilisDjezzy
Accès à InternetToute mobilitéToute mobilitéToute mobilité
Couverture48 wilayas48 wilayas48 wilayas
Débit de connexion200 Ko/sde 236 Ko/s250 Ko/s
Forfait mensuel2500 DA2250 DA- 350 DA pour une consommation de 3 Mo
- 2200 DA pour une consommation de 500 Mo
ConnexionIllimitéeIllimitéeDe 3 Mo jusqu’au 500 Mo de consommation
ModemGPRS/EDGEGPRS/EDGEGPRS/EDGE


vendredi 19 juin 2009

le projet caché d’Algérie Télécom

Algérie Télécom a signé un accord avec Canal Plus Overseas pour la diffusion de son bouquet à travers son offre de télévision via Internet qu’elle compte lancer prochainement.

Selon nos sources, le projet est entouré de zones d’ombre et aucune information n’a fi ltré. Il serait «lié à un autre projet, celui de la déparabolisation que le gouvernement compte réaliser et le fameux projet de télévision numérique terrestre évoqué par le ministre des Télécoms Boudjemaâ Haichour en 2006». Pour rappel, une opération pilote de déplacement des paraboles vers les terrasses d’immeubles au niveau des boulevards Mira et Chabani, dans la commune de Bab El Oued, à Alger, est menée depuis mars dernier. L’opération est gérée par la direction de la réhabilitation des quartiers (DARQ) sur injonction du wali d’Alger. «L’opération est parachevée à 80%», nous a déclaré Hassan Kettou, président de l’APC de Bab El Oued. Et de préciser : «La DARQ a d’ailleurs assuré la prise en charge technique et a même fourni le câblage nécessaire à l’opération de déplacement.» Mais les habitants du quartier de Bab El Oued sont sceptiques. «Nous avon mené une campagne de sensibilisation auprès d’eux afi n de leur expliquer que le but est esthétique», explique Hassan Kettou. Cependant, les appréhensions des habitants sont le résultat d’une rumeur selon laquelle les paraboles seront soit regroupées, donc retour aux paraboles collectives, soit supprimées au profi t de l’offre de télévision d’Algérie Télécom. Mais quel est le contenu de cette offre ? D’après les mêmes sources, les installations nécessaires pour le lancement de l’opération seraient prêtes depuis 2006. A savoir la plantation des câbles en fi bre optique. Pour l’instant, Algérie Télécom a signé un contrat avec Canal plus Overseas où l’offre ART (bouquet satellite arabe) est incluse. S’ajoutent à cela, les chaînes de télévision publiques algériennes. En d’autres termes, les Algériens n’auront plus le droit d’accès à leurs chaînes favorites. Le prix que compte proposer Algérie Télécom varie entre 4000 et 6000 DA. Donc, des prix proches de ceux pratiqués par les bouquets satellites actuellement. Selon une source proche du dossier, «il y a un secret qui entoure ce projet, car on n'arrive pas à se décider ni à s’entendre sur quel contenu va-t-on proposer aux téléspectateurs algériens, ce projet a pris des proportions politiques». Dans l’attente des éclaircissements des autorités, les Algériens serontils privés de leurs chaînes de télévision favorites ?

Source : Journal ElWatan du 19/06/2009

mercredi 17 juin 2009

En collaboration avec l’ONEC : Mobilis donne les résultats du BEM par SMS


Pour la quatrième année consécutive et en exclusivité, ATM Mobilis a le plaisir d’annoncer la disponibilité des résultats du BEM par SMS sur son réseau.

Ainsi en collaboration avec l’Office national des examens et concours (Onec), les candidats du BEM auront la possibilité de découvrir les résultats de l’examen en envoyant un SMS portant le numéro d’inscription au 6262, la réponse sera transmise immédiatement via un SMS contenant le numéro d’inscription pour confirmation, la moyenne et la mention. Les résultats du BEM seront disponibles sur le réseau de Mobilis dans la nuit du 18 au 19 juin 2009 à partir de 00h.

Site web d'onec : www.onec.dz

mardi 16 juin 2009

MOUSSA BENHAMADI L’A AFFIRMÉ : Vers la gratuité du téléphone fixe

Dans une interview accordée à l’hebdomadaire Les Afriques , le Président-directeur général d’Algérie Télécom estime que la gratuité des communications téléphoniques est aujourd’hui une «option essentielle». Pour Moussa Benhamadi, le manque à gagner engendré par cette prestation pourrait être amorti grâce à l’Internet haut débit.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - «L’accès téléphonique gratuit à l’abonné est une option essentielle. Si on ne parvient pas à offrir cet accès gratuit, on risque d’en payer le prix», a indiqué le P-dg d’Algérie Télécom dans un entretien publié par Les Afriques. Selon Moussa Benhamadi, la solution pour pallier le manque à gagner de la téléphonie gratuite passe par le développement de l’Internet haut débit. «Il faudrait arriver à financer le manque à gagner de la téléphonie fixe par l’accès à Internet haut débit (…) Nous sommes en cours de migration de notre réseau téléphonique classique vers le réseau IP, il faut préparer l’avenir. Nous avons lancé, également, une opération qui permet à tout citoyen de récupérer une ligne fixe qu’il a résiliée, en contrepartie d’un abonnement Internet gratuit pendant une année», a-t-il souligné. Benhamadi reste toutefois confiant, estimant qu’aucun opérateur ne peut rivaliser avec Algérie Télécom en matière de téléphonie fixe. Pour lui, la vente d’une nouvelle licence fixe est inutile. «Une deuxième licence fixe en Algérie n’est plus viable. Aucun opérateur ne peut rivaliser sur notre marché avec Algérie Télécom, qui dispose d’un réseau très important. » Il reconnaîtra toutefois que son entreprise perd des sommes considérables à l’international sur le réseau de téléphonie IP (via Internet). «C’est du vol, beaucoup de trafic téléphonique qui devait revenir à l’Algérie a été détourné. En juin 2008, 16 millions de minutes ont été comptabilisées contre 30 millions en juin 2009. On a pu, donc, récupérer 14 millions de minutes en l’espace d’une année. La Banque d’Algérie, en tant qu’institution chargée du rapatriement des devises, perd beaucoup d’argent dans ce trafic gris (…). Nous perdons au moins 10 millions de dinars par mois sur la base d’un prix de 5 DA la minute.» En plus des pertes financières, la téléphonie sur IP poserait également des problèmes d’ordre sécuritaire. «Ce trafic peut être un moyen de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme ou du banditisme. Cela pénalise l’économie nationale et pose des problèmes de sécurité». Revenant sur le litige qui oppose Algérie Télécom à l’Eepad, Benhamadi a indiqué que l’opérateur privé n’avait versé que 50 millions de dinars au lieu des 430 millions de dinars prévus initialement. «Il n’est plus de notre ressort d’accorder un échéancier supplémentaire à l’Eepad. Le 26 mai 2009, l’Eepad n’a présenté qu’un chèque de 50 millions de dinars sans s’acquitter des 430 millions de dinars prévus dans le dernier échéancier».

lundi 15 juin 2009

Ericsson Algérie ambitionne de mettre en place 6 millions de lignes fixes

Vertigineuse. En effet, malgré la crise, la majorité des équipementiers de téléphonie mobile réalisent leurs plus gros chiffres d'affaires dans les pays émergents à l'image de la Chine, l'Inde, mais aussi en Algérie.
L’équipementier suédois Ericsson, entend s’investir dans toutes les opportunités qui pourront se présenter. Pour M.Hans Nyqvist, directeur général d"Ericsson Algérie Sarl, l’équipementier compte sur le développement du marché national des télécommunications, à la faveur du lancement de la stratégie Algérie e-2013 pour relancer le déploiement de l’entreprise.

Ericsson Algérie est considéré actuellement comme l'un des leaders du secteur en Algérie, après Alcatel et Huwaei. "Nous comptons arriver à mettre en place 6 millions de lignes fixes avec pour finalité le développement du haut débit, tout en étant en phase avec les objectifs de la stratégie Algérie e-2013", a déclaré le patron de la filiale Algérienne de la firme suédoise. Dans ce contexte, M. Nyqvist se dit aussi "très intéresser" par tout ce qui peut contribuer au développement du marché haut débit.

Rappelons que c'est en 1988, qu'Ericsson a concrétisé son premier partenariat avec l'entreprise Sitel, laquelle opère à l'export et qui a produit plus de 3 millions de lignes fixes. Avec l'ouverture du marché de la téléphonie mobile, Ericsson a contribué au déploiement des trois opérateurs de téléphonie mobile en Algérie. Ericsson est également partenaire d'autres entreprises de télécommunications, à l'image de Cabelec.

Il convient de noter que le marché national compte actuellement 400 000 abonnés haut débit. "Ericsson mettra en avant toutes les capacités de l'équipementier en ce qui concerne le déploiement de l'infrastructure, la fibre optique et même de développement du triple play", a souligné, à cet effet, M. Nyqvist.

Installé dans 175 pays, Ericsson emploi plus de 70 000 employés générant un revenu de 27 milliards USD en 2008. Fondé en 1876 et siégeant a Stockholm, en Suède, il est coté à la OMX Nordic Exchange de Stockholm ainsi qu'au Nasdaq. En Algérie, l'équipementier enregistre une croissance soutenue de 10 % sur les deux dernières années.

samedi 13 juin 2009

L’opérateur mobile Djezzy visé par une enquête fiscale

NFO tsa-algerie.com. Djezzy, filiale algérienne de l'opérateur égyptien de télécommunication Orascom Telecom, est visé par une enquête fiscale. Selon nos informations, la direction générale des Impôts (DGI), via sa direction des grandes entreprises (DGE), enquête actuellement sur la filiale algérienne du conglomérat égyptien.

Les enquêteurs de la DGE vont éplucher les comptes de Djezzy et vérifier si le premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie s'acquitte convenablement de la totalité de ses impôts. Rien n'a filtré sur les résultats préliminaires de cette enquête qui pourrait déboucher sur un important redressement fiscal de Djezzy. L'opérateur a réalisé en 2008 plus de 2 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Une performance qui fait de lui le premier groupe privé algérien.

Selon nos sources, les enquêteurs du fisc s'intéressent particulièrement aux revenus colossaux générés par la formule « flexy ». Cette dernière permet aux clients prépayés de Djezzy de recharger leur compte dans des taxiphones, des kiosques à tabacs ou magasins de téléphonie mobile, via un simple SMS. Or, « contrairement aux cartes de recharge qui portent des numéros, les revenus générés par « flexy » sont très difficiles à contrôler ni à estimer. Les autorités dépendent des seuls chiffres fournis par Djezzy », explique un expert des télécoms. Le "flexy" qui permet à l'opérateur égyptien de dématérialiser le rechargement des abonnés prépayés suscite aussi l'inquiétude de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT).

Outre le « Flexy », le fisc s'intéresse également aux revenus générés par le câble téléphonique sous marin reliant l'Algérie à l'Europe. Propriété de l'opérateur de téléphonie fixe Lacom qui a cessé ses activités, ce câble serait utilisé par Djezzy pour transporter ses communications à l'international et proposer des offres à bas prix pour les communications vers les fixes en Europe. Ces offres concurrencent directement celles d'Algérie Télécom, actuellement en difficulté.

Contacté par tsa-algerie.com, une source autorisée à Djezzy a indiqué : "Ils font un contrôle dans les meilleurs conditions. Comme ils le font dans toutes les entreprises étrangères. Ce n'est pas seulement OTA qui est concerné".

jeudi 11 juin 2009

Téléphonie fixe : Les travailleurs et les clients de Lacom dans le désarroi


Le sort du deuxième opérateur de téléphonie fixe, Lacom, sera scellé le 24 juin à l’issue de la réunion extraordinaire au Caire (Egypte) de l’assemblée générale du consortium algérien des télécommunications (CAT). Deux points sont à l’ordre du jour de cette rencontre.

Il s’agit de la prononciation officielle de la liquidation de CAT et de la nomination d’un liquidateur. L’expérience de la libération du secteur de la téléphonie fixe s’est soldée par un échec et fera désormais partie du passé. Le CAT, détenu à parts égales (50%) par le groupe privé égyptien Orascom Telecom Holding (OTH) et l’opérateur historique de même nationalité Egypt Telecom, avait décroché en juin 2005 la licence de téléphonie fixe pour un montant de 65 millions de dollars. Il était question que les deux partenaires investissent 300 millions de dollars. Lacom démarre sur les chapeaux de roues en arrivant à constituer un portefeuille de 50 000 abonnés en une année. Le PDG de Lacom en exercice, Emad El Azhary, laisse entendre que la marque commerciale de CAT rencontre des difficultés et menace même de se retirer du marché algérien estimant que les conditions pour le développement de l’opérateur n’étaient pas réunies.

A partir de là, commence une descente aux enfers de Lacom qui n’arrive toujours pas à connaître son envol. Un changement à la tête de la direction en 2007 confirme le malaise qui couve depuis quelques mois déjà. Au lieu d’investir, les propriétaires de la marque décident au contraire et contre toute attente de restreindre les dépenses. Signe de la déchéance de l’entreprise, elle quitte le flamboyant centre des affaires de Bab Ezzouar et s’installe dans un modeste bâtiment à Bab Ezzouar qui abritait jusqu’alors le service client.

La descente aux enfers

Il s’en est suivi la fermeture l’une après l’autre des boutiques. L’ossature de l’entreprise se résume aujourd’hui au département des finances ainsi que celui des ressources humaines qui ne font que gérer les affaires courantes. Le nombre des abonnés a fondu comme peau de chagrin passant des dizaines de milliers à moins de 1000. Ces derniers sont livrés à eux-mêmes. Certains s’en tirent à bon compte étant donné qu’ils continuent à bénéficier du service sans payer un sou. Lacom dégraisse son effectif qui passe de 580 employés à 142. Une assemblée générale extraordinaire tenue en novembre 2008 prononce la liquidation, mais l’absence d’un procès-verbal sursoit de fait à cette décision. OTH et Egypt Telecom essayent de se débarrasser de cette filiale devenue un boulet. En vain.

Les négociations avec le groupe international Vtel échouent lamentablement. La centaine d’employés qui se sont accrochés jusqu’à présent continuent à s’interroger sur leur avenir dans cette entreprise qui semble avoir été tuée dans l’œuf. Ces employés redoutent un scénario à celui du groupe Khalifa. « Nous n’avons pas d’interlocuteur. Nous avons proposé le départ volontaire avec des indemnités. Nous n’avons pas eu de réponse. Nous sommes livrés à nous-mêmes. On se contente de pointer le matin et puis chacun fait ce qu’il veut », raconte une des employés. « Nous avons l’impression qu’il y a une fuite en avant. Les fournisseurs, les prestataires et les frais d’interconnexion ne sont pas payés », ajoute-elle avec une pointe de dépit. Selon certaines sources, il y aurait un différend entre les deux partenaires, chacun souhaitant éjecter l’autre de Lacom pour prendre les commandes tout seul. Le ministère des Télécommunications et l’Agence de régulation de la poste et télécommunications (ARPT) suivent de très près ce feuilleton qui pourrait connaître son épilogue à la fin du mois en cours.


Source : Journal El Watan du 11/06/2009

dimanche 7 juin 2009

HAMID BESSALAH L’A AFFIRMÉ HIER À ALGER

La 3e génération (3G) de la téléphonie mobile n'est pas une “priorité” pour l'Algérie, a indiqué hier à Alger le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, faisant savoir, par ailleurs, que le dossier du litige Eepad-Algérie Télécom (AT) demeure toujours ouvert, “La 3G n'est pas une priorité pour l'Algérie, contrairement au développement de l'Internet sur le fixe (ADSL)”, a indiqué M. Bessalah dans une déclaration à l'APS, en marge d’une rencontre sur les expériences des pays du Maghreb dans le développement de la culture numérique. “Aujourd’hui, notre priorité va vers l'Internet sur le fixe, notamment l'ADSL qui peut être soutenu par le Wimax, notamment”, a expliqué M. Bessalah, ajoutant que “la 3G ou l’Internet haut débit mobile n’est pas une priorité dans la mesure où nous avons un taux de pénétration à l’Internet qui demeure faible, entre 10 et 12%”. Le ministre a précisé que “la 3G exige de gros investissements et le coût pour le citoyen va être très onéreux”. En ce sens, M. Bessalah a estimé qu'il faut plutôt développer davantage l’ADSL avant d’aller directement à la 4G, cette technologie devant être opérationnelle dans les deux prochaines années. ..................

Source : Journal Liberté du 08/06/2009

Machine to machine chez Djezzy

Alors que l’Algérie s’attelle à moderniser les systèmes de paiement et réaliser des sauts qualitatifs en monétique, Djezzy, l’opérateur mobile lance une nouvelle offre : Flit Management System (FMS). Une offre data. En effet, cette offre consiste à accompagner les banques et les institutions financières par des connexions data pour les TPE - terminaux de paiement électronique - et le transfert sécurisé des transactions et informations de paiement en temps réel. De plus, Djezzy offre une réponse aux besoins de ses clients en matière de transfert de l’information entre machines distantes grâce à sa solution ‘M2M’ –machine to machine-

Le gouvernement algérien renonce à introduire la téléphonie 3G

L'introduction de la téléphonie mobile de troisième génération (3G) ne figure plus parmi les priorités du gouvernement. « La 3-G n'est pas une priorité pour l'Algérie, contrairement au développement de l'Internet sur le fixe (ADSL) », a déclaré, dimanche 7 juin, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Hamid Bessalah, cité par l'agence APS. Le ministre s'exprimait en marge d'une rencontre sur les expériences des pays du Maghreb dans le développement de la culture numérique.

« Aujourd'hui notre priorité va vers l'Internet sur le fixe, notamment l'ADSL qui peut être soutenu par le wimax, notamment », a expliqué M. Bessalah. Pour lui, l'Internet haut débit mobile « n'est pas une priorité dans le mesure où nous avons un taux de pénétration à l'Internet qui demeure faible, entre 10 et 12% ». Le ministre a également précisé que la 3-G exige de « gros investissements et le coût pour le citoyen va être très onéreux », selon APS.


Fin mai 2008, l'Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT) avait lancé une manifestation d'intérêt en vue de l'attribution de la première licence mobile de type 3G. Mais dès son annonce, ce projet avait suscité le doute des experts (
lire notre article). La mise en place d'un réseau de troisième génération mobile nécessite en effet des investissements importants qui dépassent les capacités des opérateurs activant en Algérie. Et la 3G doit être accompagnée par la mise en place d'une véritable industrie de contenus (télévision sur mobile, jeux, musique...). Une industrie qui a peu de chances de se développer en Algérie avant de nombreuses années.

Source : Tout Sur l'Algérie au 07/06/2009

La 3e génération de téléphonie n'est pas une priorité, le litige AT-EEPAD pas encore solutionné

La 3e génération (3-G) de téléphonie mobile n'est pas une "priorité" pour l'Algérie, a indiqué, dimanche à Alger, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Hamid Bessalah, faisant savoir par ailleurs que le dossier du litige EEPAD-Algérie-Télécom (AT) demeure toujours ouvert."La 3-G n'est pas une priorité pour l'Algérie, contrairement au développement de l'Internet sur le fixe (ADSL)", a indiqué M. Bessalah dans une déclaration à l'APS, en marge d'une rencontre sur les expériences des pays du Maghreb dans le développement de la culture numérique. "Aujourd'hui notre priorité va vers l'Internet sur le fixe, notamment l'ADSL qui peut être soutenu par le wimax, notamment", a expliqué M. Bessalah, ajoutant que la 3-G ou l'Internet haut débit mobile "n'est pas une priorité dans le mesure où nous avons un taux de pénétration à l'Internet qui demeure faible, entre 10 et 12%".

Source : APS au 07/06/2009

jeudi 4 juin 2009

Toutes les « étoiles » sont avec les ‘’Verts’’



Partenaire de la Fédération Algérienne de Football et de l’équipe nationale, Nedjma, l’opérateur leader de l’innovation et du multimédia en Algérie, offre aux ‘’Verts’’, à l’occasion du match Algérie/Egypte un clip exceptionnel fort en émotion dans le cadre d’une vaste campagne de soutien aux joueurs ainsi qu’à tous les supporters algériens.

A la veille du grand rendez-vous continental entre les équipes nationale d’Algérie et d’Egypte, l’opérateur Nedjma opère actuellement une campagne de soutien aux ‘’Verts’’ qui a pour slogan « Tous avec les Verts ». Elle vise à soutenir et à encourager les Fennecs pour s’assurer d’un bon résultat pour ce match qui revêt une importance particulière.

L’action de communication de Nedjma est multiple selon le communiqué de l’opérateur qui annonce qu’il a fait appel au talent du chanteur populaire Baaziz pour l’écriture et la composition musicale d’une chanson/hymne « Ma’ak ya el khadra ; ma’ak ya Dzaïr » pour s’associer à la ferveur de tous les Algériens.

En entreprise citoyenne, Nedjma distribue, à Alger et Blida (avec le concours des Scouts Musulmans Algériens) des milliers de drapeaux et de bandanas aux couleurs des Verts aux profits des supporters qui seront très nombreux à remplir les gradins du stade de Blida. Coté médias, Nedjma diffusera continuellement des messages d’encouragement à travers la télévision, les radios, la presse écrite et l’affichage urbain.

Pour sa part, le président de la FAF, M. Mohamed Raouraoua s’est exprimé sur ces actions multiples de l’opérateur étoilé en disant sa satisfaction de cette initiative entreprise par Nedjma. « Cette campagne consolidera notre partenariat stratégique pour l’intérêt du développement du football algérien». De son côté, Joseph Ged, Directeur Général de Wataniya Télécom Algérie, a souligné l’importance de cette contribution en déclarant : « Nedjma est une entreprise citoyenne algérienne qui vit au rythme des pulsations de tous les Algériens. Il était de notre devoir d’apporter notre soutien aux Verts en leur souhaitant bonne chance et de contribuer à créer un environnement propice pour la réussite de l’Equipe Nationale ».

Enfin, l’occasion de ce grand rendez-vous sportif continental sera bien fêté par les abonnés de Nedjma qui seront fortement privilégiés puisque leur opérateur préféré leur offrira une journée entière (le 7 juin) de SMS gratuits de Nedjma à Nedjma afin qu’ils puissent partager leurs émotions sportives, leurs messages de soutien et d’encouragement aux Verts.





Sony Ericsson X2 repéré











A Tipster nous dit que le périphérique que vous cherchez ici, c'est à Sony Ericsson de code "Vulcan" - mieux connue sous le nom de X2 - qui serait sans doute remplacer le X1 à un certain point dans les prochains jours, semaines, mois ou années .Bien que l'image est petite, on peut clairement distinguer le Panneau de configuration X "dans le coin inférieur gauche de la façade du téléphone et d'une touche Windows dans le coin supérieur gauche du clavier, ce qui ajoute une dose de crédibilité - l'entreprise a, après tout, mis un peu de temps et d'efforts dans son panneau d'interface proxénétisme SDK, et maintenant, le X1 est le seul appareil qui prend en charge. L'image a un aspect un peu rugueux sur les bords, mais on peut facilement la craie, jusqu'à ce qui peut être soit un composé ou d'une maquette prototype très précoce, combiné au fait que nos Pronostiqueur semble avoir neutralisé à l'environnement pour protéger la source. Nous ne disons pas qu'il est certainement vrai, mais cela est certainement plus plausible - nous sommes tout simplement pas encore convaincu qu'il ressemble mieux que le modèle qu'il vous remplacer. Thoughts?

mardi 2 juin 2009

ce jeudi, Sony Ericsson annonce éco-phones

Sony Ericsson a pris l'engagement que ce serait en utilisant les enseignements tirés du développement de ses Greenheart concept de téléphone (photo), à l'avenir des appareils de production, et les premiers fruits de ce travail devrait sortir cette semaine. La société a annoncé qu'elle va annoncer combinés - oui, au pluriel - le 4 Juin à 13:00 Heure d'Angleterre, ce qui signifie probablement que l'on peut attendre d'emballage super-efficace, des chargeurs que des déchets peu ou pas de pouvoir, de l'éco - organismes de plastique, des manuels et électroniques, entre autres, de bien-être de bonnes technologies. Bien sûr, tout va devoir être génial si nous allons en acheter lui aussi - green tech de la version Aino, anyone?