mercredi 7 avril 2010

Mobilis : L’argument chinois


Malgré le retard pris dans la construction du nouveau siège de l’opérateur public Mobilis, à Bab-Ezzouar, l’entreprise chinoise en charge du projet refuse de payer les pénalités induites par cette défaillance et prévues dans le contrat. Et pour cause : les Chinois estiment que ce retard est imputable aux autorités algériennes qui ont mis en application les dispositions de la loi de finances complémentaire 2009. Ce qui a bloqué, pour plusieurs mois, l’entrée de leur marchandise au port d’Alger.

Source : Journal Le Soir d'Algérie au 07/04/2010

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