jeudi 25 février 2010

Téléphonie mobile : 32 millions d’abonnés en Algérie




En Algérie, le nombre d’abonnés à la téléphonie mobile était de 32 millions à la fin 2009. « Le taux de pénétration du téléphone mobile est de 91,68 %. Autrement dit, sur 100 habitants, il y a 92 abonnés. Nous sommes un peu en avance par rapport à nos pays voisins », a annoncé Zohra Derdouri, présidente de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (ARPT), invitée jeudi matin de la Chaîne III de la radio nationale.

Par opérateurs, le nombre d’abonnés est de 14,6 millions pour Djezzy, 10 millions pour Mobilis et 8 millions pour Nedjma. “Le nombre d’abonnés en pré-paid est plus important que post-paid. La part du pré-paid est de 95 %. en 2009. Cette proportion a diminué au profit du post-paid. Nous voulons encourager le post-paid. Les opérateurs peuvent proposer des formules attrayantes pour attirer la clientèle vers ce mode de téléphonie en s’adressant aux familles, à des catégories professionnelles ou des entreprises”, a précisé Mme Derdouri. Le post-paid garantit, selon elle, l'identification de l'abonné et contribue à stabiliser le marché.

Nouvelle organisation régionale pour Ericsson


Afin d’augmenter ses ventes, d’accroître l’efficacité et de simplifier les méthodes de travail, le Groupe Ericsson a procédé à une nouvelle organisation régionale qui sera effective à partir du 1er avril 2010. En effet, ce Groupe, qui comptait 23 Market Units pour mener ses activités dans les différents pays où l’entreprise est implantée, a réorganisé le management des différentes filiales à travers 10 régions. Ainsi, avec la nouvelle répartition, l’Algérie rejoint la Région Méditerranée. Ericsson est leader mondial sur le marché des technologies de télécommunications et des services aux opérateurs. Numéro un sur le marché des technologies mobiles 2G, 3G et 4G, Ericsson accompagne les opérateurs dans la gestion de réseaux utilisés par plus d'un milliard d'abonnés, tout en figurant également au premier plan dans le domaine des services gérés. La pénétration d’Ericsson en Afrique du Nord est de 35% dans les opérateurs mobiles et de 18% dans les ligne fixes.

Source : Journal El Watan du 25/02/2010

mardi 23 février 2010

Téléphonie mobile : Les jeux de hasard désormais interdits


L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) “a interdit aux opérateurs téléphoniques les jeux se basant sur le hasard comme les jeux des SMS” a fait savoir le chargé de communication de Mobilis, Mohamed Salah Daâss, hier, en marge de la cérémonie de remise des voitures 207 Premium aux gagnants du grand jeu SMS, “30 jours, 30 voitures”, spécial Ramadhan 2009, à l’hôtel El-Aurassi, à Alger. Il ajoute que “la RAPT a justifié sa décision par le fait qu’il existe des textes de loi qui donnent l’exclusivité de tels jeux au Pari sportif algérien (PSA)”.
La décision de la ARPT a obligé l’opérateur à stopper la caravane du Sud qui devait permettre à un abonné de Mobilis dans le Sud de gagner un “pack jeune” (un mobile et une puce Mobilis). M. Daâss a également expliqué le recul de l’opérateur national sur la scène audiovisuelle par les coûts élevés des spots publicitaires. “Pour diffuser un spot de pub à la télévision, nous devons passer par l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep). On paye le prix de la pub avec une majoration, contrairement aux deux autres opérateurs qui négocient directement avec la télévision et ont un rabais de 45% à 50%. Alors quand nous, nous avons un spot, la concurrence en produit 3”, s’est plaint le chargé de communication de Mobilis. Selon lui, le nombre d’abonnés de Mobilis dépassait les 10 millions d’abonnés le 1er janvier 2010 et que d’octobre 2008 à décembre 2009 l’entreprise a récupéré 3 millions d’abonnés.
Concernant la tombola, les responsables de Mobilis se disent satisfaits et la qualifie de vraie réussite. Pour rappel, la tombola organisée par l’opérateur portait sur un jeu de SMS, intitulé : “Le coup de folie du directeur marketing”, ouvert à tous les clients Mobilis postpayé et prépayé. Quant aux heureux gagnants, la chance a souri à 8 gagnants d’Alger, suivis de Tizi Ouzou avec 4 gagnants, et en 3e position, Sétif, Béjaïa et Oum El-Bouaghi avec 2 gagnants et le reste des véhicules est réparti entre Ouargla, El-Oued, Laghouat, Relizane, Annaba, Souk-Ahras, Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Oran, Tlemcen, Bouira et Boumerdès, avec un gagnant pour chacune de ces wilayas.

lundi 22 février 2010

Déclarée indésirable, Djezzy attire les convoitises ; Nedjma et Mobilis en pôle position


Les déclarations officieuses du gouvernement Algérien quant à l’intention de l’Algérie « de voir la filiale Djezzy de la société égyptienne Orascom Télecom quitter le marché algérien » suscitent la convoitise de plusieurs opérateurs de téléphonie mobile arabes établies au Golfe Arabe, et en Moyen orient en général, et aussi en Afrique du nord. Une conccurence rude s’est ainsi installée entre ces opérateurs qui convoitent très sérieusement le marché Algérien pour acheter la part d’Orascom en Algérie.

  • En tète des prétendants concurrents pour s’offrir le marché Algérien, on y trouve la société Emirat « Etissalate », qui a affiché ouvertement sa « vive intention » de s’adjuger le marché Algérien, elle, qui siège déjà dans sept marchés dans le continent noire. Suivie par la société Koweitienne Zine, et bien évidemment des deux opérateurs de téléphonie mobile déjà installés en Algérie, en l’occurrence Nedjma et Mobilis, et qui sont les deux concurrent direct de Djezzy dans le marché Algérien.
  • Dans ce cadre, M. Mohamed Amrane, le président du conseil d’administration d’ « Etissalat » d’Emirat, a déclaré jeudi à l’agence de presse Reuters, que son entreprise est prête de s’opérer dans le marché Algérien si l’occasion se présente. Le quotidien Emirati The National a repris les déclarations de Amrane qui a affirmé dans ses colonnes que « Etissalate est très intéressée par le rachat de Djezzy en Algérie », et d’ajouter que « les rapports entre l’Algérie et la l’Union des Emirat Arabes Unies sont excellent et exceptionnels, d’ailleurs l’Algérie a ouvert grand ses portes pour plusieurs investissements Emirat dans plusieurs domaines en Algérie ».
  • De son coté, M. Ahmed Ben Ali, le président adjoint de la société Emirat a confirmé clairement au journal Acharq Al-Awsat que « le marché Algérien est très intéressant, et nous avons l’intention d’acheter la licence qu’occupe Djezzy en Algérie…mais cela est tributaire de la volonté de l’état Algérien, et si il le veut, nous sommes prêt d’investir le marché Algérien ».
  • Ben Ali n’a toutefois pas révélé le montant de leur offre, assurant seulement que le projet est à sa phase préliminaire. La banque d’investissement de Djezzy a indiqué que Mobilis est le deuxième prétendant possible de remplacer la filiale phare de la communication égyptienne. Sachant toutefois que Nedjma est le concurrent number one de Djezzy en Algérie. En effet, Orascom Telécom Algérie détient via sa filiale Djezzy plus de 63% du marché Algérien de téléphonie mobile, ainsi sa clientèle est estimée à plus de 14.7 millions d’abonnées. En deuxième position arrive Nedjma avec un taux de 26%, ce qui équivaut à plus de 5.9 millions d’abonnées. Les 11% restants sont à l’actif de l’opérateur public Mobilis.
  • La banque d’investissement Bolton a propulsé l’entreprise de communication Nedjma qui opère en Algérie, et qui est détenue par la société national du Koweït à 71%, comme étant la plus indiquée et la première candidate capable de remplacer Djezzy en Algérie dans le cas de sa mise à l’écart. Suivie en deuxième position par Mobilis Algérie. En dehors d’Algérie, la plus proche est, selon Bolton, la société « Etissalate » d’Emirat, qui se targuent d’avoir une grande fluidité et liquidité financière, et qui se retrouve efficacement dans sept marché Africain, suivie par Zine du Koweït.
  • La banque d’investissement Bolton Financier qui est basée au Caire, a estimé la valeur de Djezzy à hauteur de 6.7 milliard de dollars, c'est-à-dire 51% de la valeur de toute la société Orascom. Mais la banque « appréhende » que la société Egyptienne Orascom sera contrainte de vendre avec un coût inférieur où vendre à l’acheteur préféré par les responsables de Djezzy. Tout en ajoutant que si Orascom vendra avec ce montant où avoisinant, il ne sera que très bénéfique pour Orascom qui est dans un besoin pressant de liquidité pour combler ses dettes qui sont à hauteur de 2.5 milliard dollars.

samedi 20 février 2010

Rachat d’Orascom Telecom Algérie : Etisalat intéressée

Le président d’Etisalat a confirmé ses vues sur OTA dans le cadre de sa stratégie de redéploiement dans le secteur des télécommunications en Afrique du Nord.


Les dernières informations concernant un éventuel rachat d’Orascom Telecom Algérie (OTA) font état de l’intérêt manifesté par l’Emirates Telecommunications Corp (Etisalat) pour la société égyptienne. Etisalat serait partante pour l’acquisition d’OTA au cas où les autorités algériennes lui en accorderaient le droit. Dans une interview au quotidien émirati The National, le président d’Etisalat a confirmé ses vues sur OTA, connu sous la marque commerciale Djezzy, dans le cadre de sa stratégie de redéploiement dans le secteur des télécommunications en Afrique du Nord. Mohamed Hassen Omran a souligné cependant que cette éventualité d’achat « dépend de la décision du gouvernement algérien ». « Nous entendons dire qu’il ne cherche pas d’investissement étranger », a déclaré le président d’Etisalat à propos du gouvernement algérien. « Dans ce cas, il ne voudrait ni de nous ni de quelqu’un d’autre », a encore déclaré M. Omran, précisant toutefois que pour sa société, « l’Algérie est un marché très important, qui a beaucoup de potentiel et qui est appelé à se développer ». Il mettra également en avant son ambition d’étendre son champ d’action à l’étranger et « d’avoir plus de réseaux en 2010 ».

Le président d’Etisalat s’exprimait en marge du Mobile World Congress de Barcelone, la plus importante rencontre annuelle du marché de la téléphonie mobile qui s’est déroulée du 15 au 18 février 2010. Durant la même manifestation, le président de la société Orascom Telecom Holding (OTH), Naguib Sawiris, laissait entendre, il y a quelques jours, dans une interview au Wall Street Journal, que Djezzy « pourrait se retirer du marché algérien si elle recevait des signes clairs que son investissement n’est plus le bienvenu ». « Nous sommes très désireux de rester en Algérie. Ce marché est l’un de nos principaux atouts et pourvoyeurs d’actifs. Jusqu’aux récents ’’incidents’’, nous y étions très heureux. » « Toutefois, poursuit-il, nous avons besoin de comprendre si nos investissements y sont encore les bienvenus ou pas. Le cas échéant, nous serons dans l’obligation d’envisager d’autres options. » Le patron d’OTH semble souffler le chaud et le froid.

Dans un entretien au quotidien économique français la Tribune, en date du 26 novembre 2009, Naguib Sawiris avait plutôt exprimé sa ferme volonté de rester maître de son entreprise en Algérie. Qualifiant alors OTA « d’une des plus belles ’’success stories’’ d’Orascom et de l’Algérie », le patron d’OTH avait déclaré clairement « Djezzy n’est pas à vendre ». Aujourd’hui, même s’il tient un autre discours, il est hésitant à coup sûr, malgré ses « difficultés » en Algérie, à laisser un marché juteux qui représentait 53% des résultats du groupe en 2008. Djezzy se pose depuis quelques mois en victime, contestant les sommes qui lui sont réclamées par le fisc et liant volontiers ce différend commercial aux répercussions du fameux match de football du 16 novembre au Caire entre les sélections algérienne et égyptienne. La notification du fisc lui avait été envoyée pourtant bien avant la date du match, mais il avait choisi de la rendre publique au lendemain des incidents qui ont eu lieu au Caire et à Alger.

Du côté algérien et plus précisément du côté du ministère des Finances, on s’est toujours contenté de dire que Djezzy était traitée « comme n’importe quelle société de droit algérien » et, de ce fait, était soumise aux mêmes règles et avait la possibilité d’introduire les mêmes recours. Il est à rappeler que le groupe OTH a contesté, par le biais d’une « réclamation contentieuse », la procédure de redressement fiscal décidée à son encontre par les autorités fiscales algériennes. Avant de déposer sa réclamation, OTA s’est acquitté de 120 millions de dollars, soit l’équivalent de 20% des taxes et pénalités exigées par le fisc algérien, conformément aux lois en vigueur en Algérie. Il est à rappeler que Djezzy doit s’acquitter de près de 600 millions de dollars suite à un contrôle qui a concerné les exercices 2004, 2005, 2006 et 2007. OTA, qui avait la possibilité, selon la réglementation des contentieux, de passer directement par le biais de la justice pour contester les sommes qui lui sont réclamées, a choisi la procédure administrative.


Clôture de la 19e coupe d’Afrique des nations de handball : Des supporters algériens agressés témoignent


La centaine de supporters et la sélection féminine de handball, qui ont assisté à la demi-finale entre l’Algérie et l’Egypte, n’oublieront pas de sitôt cette soirée de vendredi où ils ont été lâchement agressés par des énergumènes égyptiens à la fin de la rencontre, pourtant remportée par leur sélection avec la bénédiction des arbitres de la partie.


Un guet-apens presque prévisible, après les intimidations dont était victime, la veille, notre confrère de la Chaîne I. Les fans algériens, composés pour la plupart de notre communauté établie au Caire (du moins ce qu’il en reste), ne s’attendaient guère à une telle hostilité et à autant de haine et d’agressivité, même si les insultes fusaient dans la grande salle du complexe sportif du Caire. Les choses se gâteront dès la fin du match où nos fans ont été attaqués avec des bouteilles pleines de sable et de pierres, des deux côtés de la tribune où ils étaient installés, et même par-dessus. « a la fin de la rencontre, et malgré la déception, on a applaudi les deux équipes. Mais, soudain, nous avons été canardés par des dizaines de bouteilles, dont certaines étaient pleines de sable, mais aussi de pierres. On s’est alors enfuis en arrière pour nous abriter, et là on s’est vu attaquer par ceux qui étaient installés sur les deux côtés de notre tribune », nous dira cette femme, rencontrée au niveau de la résidence des joueurs, avant qu’une autre mère de famille ne lui emboîte le pas : « C’est indigne. Il y avait beaucoup plus de femmes et d’enfants dans cette tribune, mais cela ne les a pas empêchés de nous agresser sans le moindre scrupule, alors qu’on ne leur a rien fait. C’est ça l’amitié dont ils nous parlent. C’est indigne de leur part. »

Les filles de l’équipe nationale ont été, elles aussi, traumatisées. « Les Egyptiens qui nous entouraient ont enlevé leurs chaussures et nous ont menacés avec à la fin de la rencontre, comme pour dire qu’ils allaient nous donner la raclée et ils ont tenu leur promesse », nous dira ce jeune étudiant qui nous parlera d’un autre 14 novembre, mais à une échelle réduite, tout en exprimant son étonnement sur le fait que les supporters algériens, sans exception, ont été minutieusement fouillés à l’entrée du stade, alors que les Egyptiens, qui se sont attaqués à eux, ont réussi à faire rentrer des bouteilles pleines de sable et de pierres. Un véritable cauchemar subi par ces supporters, qui n’ont pas encore oublié le précédent traquenard et les changements radicaux dans leur vie quotidienne depuis les fameuses rencontres de football des 14 et 18 novembre derniers.

Des attaques auxquelles même les joueurs n’ont pas échappé, puisque c’est sous les jets de bouteilles et de crachats qu’ils rejoindront les vestiaires, avec un bilan de deux blessés légers, un joueur touché à l’épaule et un membre de la délégation au coude. Une agression perpétrée en plus par des militaires, puisque les Egyptiens ont dû faire appel à leurs appelés pour remplir les gradins d’un stade qui n’a pas affiché pour autant complet, malgré la gratuité de l’entrée. Regrettable de la part de certains énergumènes qui risquent de gâcher tous les efforts de normalisation entrepris par beaucoup de personnalités égyptiennes et même de simples citoyens qui veulent tourner la page.


Source : Journal El Watan du 21/02/2010

19e championnat d’Afrique des nations de Handball. Égypte 26 - Algérie 24


Le drapeau national déchiré, les joueurs insultés

Malgré la victoire et la qualification de l’Egypte en finale devant l’Algérie, le sept national a eu de la peine à quitter la salle, sous les insultes et les crachats, voire même de jets de bouteille, des ultras égyptiens au moment où les joueurs s’apprêtaient à rejoindre les vestiaires. Pire, le drapeau national a été déchiré au su et au vu de tout le monde. Les joueurs ont néanmoins regagné leur hôtel sains et saufs en pleurs après avoir raté de justesse la qualification. Ils étaient accompagnés des joueuses de l’équipe nationale scandant One, two, three Viva l’Algérie. L’entraîneur Bouchekriou a accusé la partialité de l’arbitre roumain qui a commis beaucoup d’erreurs.


Intimidations avant le match

Redoutées depuis le déplacement de la délégation algérienne en terre égyptienne, les intimidations à l’égard des Algériens et, plus particulièrement les médias accompagnant nos handballeurs et handballeuses, ont commencé avant même la confrontation Algérie - Egypte des messieurs pour le compte des demi-finales de cette 19e édition de la CAN, disputée hier soir.



En effet, alors que tout allait bien et que les autorités égyptiennes ont tout fait pour éloigner tout risque sur la délégation, deux officiers de police ont usé de provocations et d’intimidations à l’égard de l’envoyé spécial de la radio algérienne Chaîne I, mercredi soir, dans la grande salle du complexe du Caire où se disputait le match des demi-finales dames entre notre sélection et son homologue tunisienne. Ces deux officiers n’ont pas trouvé mieux que de délaisser les 30 000 places d’un stade vide, pour s’installer dans la partie réservée aux Algériens (médias, dirigeants et supporters), avant d’user de provocations à l’égard de notre confrère de la radio, qui s’est vu menacé et intimidé par les deux énergumènes. Il a fallu de peu pour que les choses dégénèrent, mais l’intervention des Algériens présents a vite fait de calmer les esprits. Le responsable du protocole auprès de notre ambassade, présent, usera de son influence et exigera l’intervention et même des excuses des responsables des services de la sécurité. Ces derniers s’excuseront d’ailleurs et écarteront vite fait les deux énergumènes pour clore ce premier incident du genre, depuis l’arrivée de notre délégation au Caire.


Source : Journal El Watan du 20/02/2010 Journal El Watan du 20/02/2010

Orascom Telecom Algérie : Une crise et des « fritures »


Selon des indiscrétions, les semaines à venir augureraient d’un changement de cap dans la politique de l’entreprise égyptienne.

Depuis quelques mois, rien ne va plus entre le groupe égyptien Orascom Telecom et le gouvernement algérien. Même si « rien d’officiel » n’est venu affirmer ou infirmer les spéculations auxquelles nombres « d’observateurs » s’adonnent, reste que les déclarations fracassantes, les menaces de retrait, les redressements fiscaux ou les durcissements législatifs semblent indiquer que les rapports sont plus que jamais tendus entre les deux parties.

Récemment, « des sources proches du gouvernement » affirmaient que l’Algérie « souhaite le départ d’Orascom de son sol » et ce, en réponse à la sortie médiatique du tycoon Naguib Sawiris, chairman d’Orascom Telecom Holding (OTH). Ces échanges par journaux interposés ont d’ailleurs entraîné la chute de l’indice boursier d’OTH sur la place égyptienne et ont aussi intrigué plus d’un, dont un analyste très proche du dossier. « Ce n’est pas du ressort des membres du gouvernement ou d’un quelconque cadre au sein d’un ministère. Les tenants et les aboutissants de cette affaire se jouent en haut lieu. En très haut lieu même », dira énigmatiquement l’expert. « Car il faut savoir que le dossier est exclusivement entre les mains du président de la République ou du Premier ministre. Ils sont les seuls à pouvoir se prononcer quant à la situation d’OTA », a expliqué celui-ci.

La « crise », faut-il le rappeler, a éclaté lorsque le groupe Orascom Construction, géré par le frère de Naguib Sawiris, a cédé ses cimenteries en Algérie au français Lafarge, en échange d’une entrée dans le capital de ce dernier. Cette cession, effectuée sans en avoir avisé le gouvernement algérien, a été vécue comme « une trahison ». Pourtant, « la faute incombe aux lois de l’époque qui n’obligeaient en rien Orascom à concerter les autorités. Le gouvernement a, depuis, durci la législation en la matière », commente le même expert, qui pense que l’Exécutif a accessoirement mené « la vie dure » à OTA. Certains affirment même que Naguib Sawiris aurait effectué plusieurs séjours en Algérie, le plus récent ayant eu lieu au lendemain des tensions « footballistiques » de novembre dernier, et ce, sans être reçu en haut lieu afin de régler le litige.

Cette désaffection semble aussi entraîner une sorte de « mise en quarantaine » de l’opérateur. « L’ENTV a refusé de renouveler son contrat de parrainage par Djezzy en ce qui concerne la météo », a avancé une source proche des médias. De même, des rumeurs font état de résiliation de lignes particulières ou groupées. Ce que dément formellement un technicien expert en télécoms. « Seule la JSK a rompu son contrat de sponsoring. Pour les autres entreprises, ce ne sont que des effets d’annonce qui faisaient bon ton dans la querelle médiatique algéro-égyptienne », a affirmé celui-ci. Pour ce qui est des particuliers, « il est vrai que près de 400 000 lignes ont été interrompues et ont, pour la plupart, migré vers Mobilis. Toutefois, la quasi-totalité de ces puces ont été récupérées par leur propriétaire quelques semaines après », avance le technicien.

Les responsables d’OTA, par le biais du directeur de la communication, Hamid Grine, déclarent, quant à eux, s’abstenir de tout commentaire. Car malgré toute cette agitation politico-médiatique faite de déclarations, de contre-déclarations et de rumeurs plus ou moins fondées, les activités d’Orascom Telecom Algérie se poursuivent comme si de rien n’était. « Business as usual », assure-t-on. « De toute façon, même si Sawiris venait à vendre ou à ouvrir son capital, rien ne changerait pour les employés ou pour les clients », ajoute-t-on. Et, consciente « d’avoir été en retrait » comparativement à ses concurrentes, il semblerait, selon les indiscrétions, que les semaines à venir augureraient d’un « changement de cap dans la politique » de l’entreprise égyptienne. Wait and see…


Source : Journal El Watan du20/02/2010

Vidéos : Xperia X10 Mini, Xperia X10 Mini Pro et Vivaz Pro












vendredi 19 février 2010

Vingt Quatre sociétés unissent leurs forces pour créer un magasin d'applications sans fil de proportions colossales


Vingt-quatre des plus grands opérateurs de téléphonie mobile avec LG, Samsung, Sony Ericsson et la GSMA se sont réunis pour créer les applications de gros communautaire, une procédure ouverte, la plate-forme des demandes internationales. Le groupe hétéroclite va créer un magasin d'application qui pourrait atteindre 3 milliards de clients dans le monde entier en utilisant un standard ouvert qui permettrait aux développeurs de publier des applications à travers de multiples plateformes d'appareils et les opérateurs. Le groupe travaille en étroite collaboration avec les organismes WC3 standard pour créer une solution standard de développement d'applications basées sur JIL (Innovations Rejoignez Lab), dirigée par Verizon Wireless, Vodafone, China Mobile et Softbank et OMTP avec le Cadre de Bondi. Si ce groupe peut apporter toutes ces plates-formes disparates et des méthodes de distribution sous une seule bannière, ils pourraient introduire des demandes d'un montant énorme de marché de masse et les smartphones et pourrait potentiellement créer un App Store qui pourrait rivaliser avec l'App Store d'Apple en volume seul. Bien que les questions de soutenir un tel éventail de réseaux, des facteurs de forme, les versions OS et plus pourrait être le facteur limitant.

Source : Boy Genius Report au 18/02/2010


Beceem annonce la BCS500, un nouveau WiMAX / multi LTE-chipset mode


Bien connu fabricant de la puce WiMAX Beceem a annoncé cette semaine qu'il est au point une puce 4G double qui offre à la fois la technologie WiMAX et LTE connectivité à des vitesses de liaison descendante jusqu'à 150 Mbps. Le BCS500 nouveau multi-chip mode sera transparente TRANSFERT un lien entre le WiMAX et LTE et soutient la dernière révision des deux normes. La puce pourrait être une aubaine pour les fabricants de matériel informatique et les MVNO, qui peuvent désormais la conception de matériel et de vendre des solutions de connectivité qui utilisent les deux réseaux 4G. Un double 4G appareil permet également d'itinérance Drop Dead facile mondiale en tant que client sur un réseau LTE aux États-Unis peuvent utiliser un réseau WiMAX en visitant la Russie. Juste à temps pour la commercialisation de la LTE aux États-Unis, le BCS500 Beceem devrait être prélevé pour les clients au 4e trimestre 2010 et disponible pour la production de masse au T2 2011.


jeudi 18 février 2010

L’Algérie n’a jamais demandé le départ d’Orascom Telecom


Le gouvernement algérien n’a à aucun moment demandé au groupe égyptien Orascom Telecom de quitter l’Algérie, a indiqué, jeudi 18 février, un haut responsable algérien à TSA. « Nous n’avons jamais demandé son départ. Nous ne le souhaitons pas non plus », a-t-il indiqué. Mardi, l’agence Reuters, citant des sources gouvernementales algériennes avait rapporté que l’Algérie souhaitait le départ d’Orascom Telecom, propriétaire de l’opérateur Djezzy.

« Un éventuel départ d’Orascom Telecom va nous poser des problèmes. Par qui allons-nous le remplacer ? En plus une telle décision de la part de l’Algérie va provoquer des tensions avec l’Egypte alors que les deux pays se sont engagés sur la voie d’une réconciliation », explique notre source.
Selon nos informations, Naguib Sawiris, le pdg d'Orascom, a adressé en janvier un courrier au gouvernement algérien pour lui demander de clarifier sa position concernant Orascom Telecom en Algérie. Le gouvernement n’a toujours pas répondu. Pour notre interlocuteur, la situation d’Orascom Telecom en Algérie est un « problème technique » avec la Direction générale des Impôts (DGI). « Il n’est pas géré au niveau du gouvernement », a-t-il ajouté.
Notre interlocuteur dément également les informations concernant une crise gazière entre l’Algérie et l’Egypte. « Ce sont les médias égyptiens qui font parfois dans la surenchère. Il n’y a jamais de problème avec l’Egypte concernant le gaz. Nous continuons à lui vendre normalement ».

Source : Tout Sur l'Algérie au 18/02/2010

Qtel Projet de lancement de Mobile Money


Les nouveaux services vont supporter les opérations de paiement, de rechargement de crédit et de transfert monétaire international dans la région MENA et Asie.

Le groupe Qtel a annoncé au Congrès Mondial du Mobile 2010 (Barcelone) un projet de lancement d’un nouveau service monétaire dénommé « Mobile Money ». Ce service sera destiné aux clients ainsi qu’à toutes les filiales du groupe.

Avec 53 millions de clients présents dans 17 pays, le Groupe Qtel croit fermement que ces nouveaux services susciteront une forte demande. Les patrons de Qtel veulent faire de « Mobile Money » un outil performant pour pratiquer toutes les opérations monétaires via un téléphone portable. Ce service apportera, à leurs yeux, de nombreuses facilités d’ordre sociales et monétaires. Ceci, en considérant la forte croissance des transferts monétaires de la part des clients de la région du Golfe vers les pays asiatiques, transferts estimés à des millions de dollars annuellement.

Parmi les services monétaires qui seront proposés par Qtel le service de transfert monétaire international sécurisé via téléphone portable, le service de paiement et le service de rechargement de crédit à travers le téléphone portable.

A ce sujet, le Directeur exécutif du groupe Qtel, Dr. Nasser Marafih, a déclaré: « Il existe un échange commercial et économique croissant entre les pays du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et d’Asie, ce qui permettra aux services « Mobile Money » de jouer un rôle de haute importance dans ces échanges. Avec notre forte présence dans la région et nos relations solides avec les marchés de transfert monétaire tels que l’Inde et les Philippines, nous sommes certains que le rôle du Groupe Qtel sera de premier ordre dans la fourniture des services « Mobile Money » de manière remarquable et à des prix abordables ».

D’autres parts et selon ‘’Gartner Market Research’’, pas moins de 3 milliards d’adultes dans le monde auront la possibilité d’effectuer des opérations électroniques via le téléphone portable ou à travers Internet d’ici 2014. Par conséquent, le développement des activités commerciales, monétaires et les opérations de paiement seront plus accessibles via le téléphone portable.

Il est à rappeler que la région du Moyen-Orient connait une grande activité de transfert monétaire vers l’Asie et le sous-continent indien à cause de la forte présence d’émigrés venus de ces deux régions pour y travailler. Pour de nombreux clients émigrés, les transferts monétaires constituent un gage de stabilité pour leurs familles et leur offrent de nombreux avantages économiques. Le communiqué de Qtel ajoute que l’Inde est considérée comme l’un des pays qui reçoit le plus grand volume de transfert monétaire avec la Chine. En effet, le volume global des transferts d’argent vers l’Inde ont atteint 50 milliards de dollars à la fin 2008. Celui des transferts vers les Philippines s’est élevé à 16,4 milliards de dollars.

Le groupe Qtel est fier de son réseau de filiales activant dans les marchés du Golfe, d’Afrique du Nord, du Sud-Est asiatique et du sous-continent indien et reste serein quant à ses capacités à offrir des services promotionnels à des coûts abordables et à introduire de nouveaux services développés grâce aux techniques et moyens disponibles.

Dr. Nasser a conclu : «Le groupe Qtel a parfaitement compris les besoins et attentes de ses clients et nos différentes études ont démontré que les services « Mobile Money » sont les plus demandés par les clients dans nos différents marchés. Et notre objectif est de devenir l’une des entreprises leaders dans ce domaine dans le futur proche car nous avons les capacités d’offrir les services « Mobile Money » à des millions de clients efficacement et à des prix abordables. »

Emirates Telecommunications Corp intéressé par un éventuel rachat de Djezzy


Emirates Telecommunications Corp (Etisalat) suit de près l'évolution du dossier Djezzy en Algérie. Son pdg, Mohamed Hassan Omran s'intéresse à une éventuelle vente de la filiale d'Orascom Telecom. Il l'a déclaré dans une interview au quotidien des Emirats Arabes Unis The National. « Etisalat est en excellente position, financièrement et opérationnellement, pour saisir cette opportunité », a-t-il ainsi affirmé, évoquant la vente possible par Orascom Telecom de sa filiale algérienne Djezzy.

"Cela dépend de la décision du gouvernement algérien. Nous avons entendu qu'il ne cherchait pas un investisseur étranger. Mais l'Algérie est un marché très important pour nous et a un fort potentiel de croissance", a ajouté Mohamed Hassan Omran.

Cette annonce s'inscrit dans la stratégie d'Etilasat, deuxième opérateur des télécommunications du Golfe, de développer ses positions au Moyen Orient et en Afrique du Nord après la perte de son monopole aux Emirats. Le groupe s'intéresse ainsi également à d'autres pays, comme le Maroc ou l'Irak.

Source : Tout Sur l'Algérie au 18/02/2009

mercredi 17 février 2010

Croissance WiMAX dans les décalages des États-Unis, la croissance mondiale explose


WiMAX est lente et constante expansion aux États-Unis grâce aux efforts de Clearwire, le principal fournisseur de Stateside WiMAX. Globalement, le WiMAX est sur une piste différente, présentant une croissance explosive avec l'Asie Pacifique et Europe en tête. Les chiffres, compilés par le Forum WiMAX, sont révélateurs:

  • Asie Pacifique: 237 millions de personnes couvertes par les déploiements de réseau 100
  • Europe: 115 millions de personnes couvertes par les déploiements de réseau 153
  • Centrale / Amérique latine: 113 millions de personnes couvertes 109 déploiements de réseau
  • Afrique / Moyen-Orient: 108 millions de personnes couvertes par les déploiements de réseau 142
  • Amérique du Nord: 47 millions de personnes couvertes par les déploiements de réseau 51

Bien que Clearwire est actuellement à la traîne au niveau mondial, il a fixé un objectif audacieux de inertage 120 millions de personnes d'ici la fin de 2010. S'il est atteint, Clearwire sera assis plutôt au sommet d'une grande base d'utilisateurs potentiels, tout son concours, à savoir Verizon Wireless, commence seulement à se déployer LTE commercialement sur une petite échelle. Rechercher des choses à obtenir des résultats intéressants en 2011 et au-delà, lorsque les deux technologies 4G commencer concurrentes tête à tête sur une base plus niveau.

Source : Boy Genius Report au 17/02/2010

Après les déclarations du patron d’Orascom Telecom : Des options envisagées


L’option d’une ouverture du capital d’Orascom Telecom Algérie est envisageable par le groupe égyptien.


Les dernières déclarations du patron du groupe égyptien Orascom Telecom Holding sonnaient comme une fin d’une époque pour sa filiale algérienne OTA. Eventuellement, le groupe égyptien procéderait dans les tout prochains jours à un nouveau mode managérial. Depuis Barcelone (Espagne), où se tenait le Mobile World Congress, le plus important Salon annuel du marché de la téléphonie mobile, Naguib Sawiris a déclaré au Wall Street Journal : « Nous avons besoin de comprendre si nos investissements y sont encore les bienvenus ou pas. Le cas échéant, nous serons dans l’obligation d’envisager d’autres options. » M. Sawiris a laissé la parenthèse grande ouverte. Possiblement, l’option d’une ouverture de capital d’Orascom Telecom Algérie est envisageable par le groupe égyptien qui semble faire de minutieux calculs afin de décider sur le sort de sa filiale algérienne OTA.

Ce n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’on sait que la filiale algérienne d’Orascom Telecom a généré, selon certaines informations, des revenus de 1,8 milliard de dollars en 2007. Dans son interview accordée au Wall Street Journal, le patron de la compagnie égyptienne de téléphonie, Naguib Sawiris, a laissé entendre donc que d’autres options sont envisageables. Selon un expert très au fait du marché de la téléphonie en Algérie : « Deux options pointent à l’horizon. Il s’agit d’abord de l’ouverture du capital de la compagnie Orascom Telecom Algérie à hauteur de 51% afin de permettre une prise de participation. » C’est une option qui n’a pas été trop évoquée jusqu’ici. L’option du rachat de OTA par d’autres compagnies, voire même par certains groupes industriels, a été la plus privilégiée ces derniers mois. Bien qu’Orascom Telecom Holding a eu à démentir les informations selon lesquelles OTA aurait négocié avec Cevital afin de vendre sa filiale Djezzy.

Pour mémoire, le groupe Orascom avait indiqué dans un communiqué de presse diffusé récemment que « Djezzy n’est pas à vendre et qu’aucun contact n’existe avec Cevital ». Une seconde option est également mise sur la balance des choix de la compagnie. « Il s’agit d’une cession de ses actifs. C’est une solution extrême qui pourrait intervenir si aucune des autres options ne s’avère possible en fin de compte », dira le même expert qui, « pour des raisons professionnelles », dit-il, préfère s’exprimer sous le couvert de l’anonymat. Notre interlocuteur estime que le retrait de la compagnie OTA et de sa marque Djezzy serait un scénario-catastrophe à exclure. Car, « sur le plan socioéconomique, ce serait un haut risque ». Pour ainsi dire, si décision il y a, ce serait soit l’ouverture du capital soit une cession au profit d’un repreneur. Le responsable de la communication au niveau d’Orascom Telecom Algérie, Hamid Grin, joint par téléphone, a déclaré qu’« il n’y a aucun commentaire » à faire à propos des dernières déclarations du patron du groupe Orascom. « Nous n’avons pas à commenter les propos de nos responsables », laissa-t-il entendre, préférant ne pas s’exprimer également au sujet des options d’ouverture de capital et de cession.

Pour mémoire, Orascom Telecom Algérie a été destinataire d’une notification de redressement fiscal de près de 600 millions de dollars. Le redressement en question concerne l’exercice 2005, 2006, 2007. Le groupe égyptien a indiqué qu’il avait « payé 20% (environ 120 millions de dollars) de la facture représentant le redressement fiscal afin de pouvoir faire un recours » auprès de l’administration fiscale algérienne.


Nedjma élu meilleur opérateur voix en Afrique du nord


Wataniya Telecom Algérie (WTA) a annoncé, mercredi 17 février, avoir reçu « le prix du meilleur opérateur voix pour la région Afrique du Nord pour l’année 2009 », lors de la 6ème édition de Africa Telecom People (ATP). La filiale de Qatar Telecom (QTel) qui exploite la marque commerciale Nedjma a déjà été primée en 2007 par le même organisme.
« Cette distinction est une reconnaissance pour les efforts consentis par Wataniya Telecom Algérie-Nedjma durant l’année 2009 pour offrir la meilleure qualité de service et des prestations à la pointe de la technologie », a indique WTA dans un communiqué.
« Ce prix remporté pour la deuxième fois en trois ans témoigne des énormes accomplissements réalisés par Nedjma en matière de télécommunications, pas seulement en Algérie, mais aussi en Afrique du Nord », a déclaré le directeur général de WTA, Joseph Ged qui a dédié le prix aux employés et clients de Nedjma. WTA qui dispose d’un réseau « hautement performant », entend poursuivre ses efforts pour « offrir la meilleure qualité de service à nos clients », selon M. Ged.

Algérie Télécom lance son offre de télévision sur internet


Algérie Télécom se lance dans le triple play : télévision, internet et téléphone IP. L’opérateur historique de télécommunication annonce le déploiement son offre « Safir », de télévision via Internet (IPTV), en collaboration avec le français Netgem.

« Safir » proposera un bouquet de 60 chaînes accessibles par l'intermédiaire des décodeurs et du logiciel Netgem, selon un communiqué de la société française. L’offre a été mise en place en collaboration avec la filiale algérienne de la société canadienne Spec-Com qui a assuré la partie intégration.

Aucune indication n’a été fournie concernant les modalités de commercialisation de Safir ni sur les chaînes de télévision qui composeront le bouquet. Les clients d’Algérie Télécom « pourront bénéficier en exclusivité du premier bouquet IPTV du pays lancé dès les premiers mois de l'année 2010 », a seulement précisé le communiqué de Netgem.

Source : TSA au 17/02/2010

Source : Netgem en pdf

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La télévision sur internet peut-elle fonctionner en Algérie?


Algérie Télécom a annoncé, mardi 16 février, le lancement d’une offre de télévision via internet (IPTV), en partenariat avec le français Netgem. De quoi s’agit-il ? Avec le développement du haut débit, internet est devenu un moyen de réception de la télévision au même titre que l’antenne parabolique. Au lieu d’acheter une parabole et un décodeur, le client se contentera de souscrire à l’offre de son opérateur. Ce dernier lui fournira alors une « box » (un boitier) pour recevoir ses programmes préférés via sa ligne téléphonique contre le paiement d’un abonnement mensuel.

Dans les pays occidentaux, ces offres ont été lancées pour répondre à une attente réelle à la fois des consommateurs et des acteurs de l’économie. Grâce à ces offres, les opérateurs de téléphonie ont réussi à trouver un relai de croissance et compenser les pertes engendrées par le recul du téléphone fixe. Ces offres ont également dynamisé l’industrie des contenus.

Mais en Algérie, quel est l’intérêt d’une telle offre ? Algérie Télécom a des priorités plus urgentes que la télévision sur internet. Aujourd’hui, il est toujours difficile d’avoir une ligne fixe, même à Alger. Le taux de pénétration est très faible (le pays compte moins de 4 millions d’abonnés) et le réseau internet connaît des perturbations régulières. Les prix d’accès à l’abonnement fixe et internet restent également prohibitifs.
Mais au lieu de s’attaquer à ces urgences, Algérie Télécom préfère se lancer dans l’aventure de la télévision via internet. Reste à savoir si l’opérateur est préparé pour lancer une telle offre. D’abord, le réseau de l’opérateur n’a pas été modernisé. Va-t-il pouvoir supporter un transport de données aussi importantes que celles de la IPTV ? Peu probable quand on connaît les fréquences de pannes qui surviennent le réseau ADSL.

Ensuite, il y a la question de la commercialisation : les agents d’Algérie Télécom, habitués à vendre des produits simples comme les abonnements au téléphone fixe et internet sont-ils formés pour commercialiser un bouquet de télévision ? Pourront-ils convaincre les clients et leur expliquer convenablement l’offre ? Dans les pays occidentaux, la mise en place de nouvelles offres a été accompagnée de processus de formation pour le personnel. De même, qui interviendra auprès des clients en cas de panne ? Les techniciens d’Algérie Telecom ont-ils été formés pour détecter les pannes sur les décodeurs Netgem ? Où bien est-ce Netgem qui assurera ce service ? Dans ce cas, on peut s’interroger sur la marge de rentabilité d’Algérie Télécom, d’autant que l’opérateur historique nous a habitués ces dernières années à lancer des offres qui se sont presque toutes soldées par des échecs.

Source : TSA au 17/02/2010

mardi 16 février 2010

Un Dual-Core dans votre mobile Android



Le U8500 de ST-Ericsson offre aux mobiles sous Android un véritable dual-core 1.2GHz ARM Cortex-A9. En effet ce nouveau processeur est annoncé comme maintenant parfaitement optimisé pour les appareils tournant sous l’OS Android de Google, en tirant parti du système Symmetric Multi Processing (répartition des tâches entre les 2 coeurs avec underclocking possible) on pourra voir un gain d’énergie offrant une plus grande autonomie à la batterie, sans sacrifice des meilleures performances.

Donc attendez vous à voir apparaitre ce processeur 1.2GHz dual-core dans la prochaine génération de mobiles !

Aussi, je vous parlais dans la news précédente du nouveau capteur de OmniVision, voilà donc la combinaison parfaite car ce U8500 promet de supporter une sortie HDMI et l’enregistrement vidéo 1080p, avec en bonus 120 heures

Source : Le Journal du Geek au 16/02/2010