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Source : Tout Sur l'Algérie au 30/11/2011
Orange a annoncé une augmentation du débit de son réseau 3G+ via des améliorations apportées aux infrastructures, ce qui permet de passer le débit maximum théorique à 42 Mbit/s contre 14,4 Mbps auparavant. « Depuis le 24 novembre, 50% de la population est couverte par cette montée des débits 3G+, dont 9 des 12 villes les plus peuplées de France » a récemment expliqué Orange.
Une bonne nouvelle sauf que pour le moment, tous les abonnés Orange n’ont pas droit de profiter de cette augmentation, car comme toujours, cette innovation d’Orange est réservée dans un premier temps aux professionnels, titulaires d’un forfait Business Everywhere Premier. Pour les autres forfaits Business Everywhere, il faudra passer par une option à 4 € HT / mois pour passer à ces débits, alors que pour les clients classiques, ce n’est pas pour tout de suite ! Notez également que pour bénéficier de ce HSPA+ à 42 Mbit/s théoriques, Orange proposera bientôt la clé 3G+ Huawei E372 qui est compatible avec la technologie Dual-Carrier.
Source : Journal du Geek au 30/11/2011
En effet, dans un communiqué transmis à notre rédaction hier, la direction générale de Huawei indique qu’«elle ne s’est jamais opposée aux droits des travailleurs qui sont des acquis inaliénables et encore moins au droit de grève, même si celle-ci a été déclenchée de manière hâtive, à notre avis, en brûlant les étapes de négociation et de conciliation sous l’égide de l’inspection de travail afin de trouver un règlement juste.»
Pour rappel, les travailleurs contestataires ont motivé leur action par la non-prise en charge de leurs revendications par la direction de l’entreprise. Ils ont dénoncé, dans nos précédentes éditions, le refus de l’administration de procéder à des négociations sérieuses, le recours à de la main-d’œuvre étrangère non autorisée et le licenciement abusif d’employés ayant travaillé de 4 à 7 ans au sein de l’entreprise. La direction générale de Huawei a précisé qu’elle «n’a jamais fermé la porte aux représentants des travailleurs afin de discuter de leurs revendications. Huawei s’est toujours conformée aux lois du pays où elle exerce ses activités».
En revanche, la section syndicale, de son côté, fait part dans un communiqué rendu public hier, «d’actions agressives menées par l’employeur, notamment le recours à la justice afin de casser ce mouvement». «En dernier recours, l’employeur a essayé de provoquer et d’intimider les employés en affichant une note, non officielle, informant le personnel de la décision prise par le tribunal avant même sa notification par huissier. L’employeur a même interdit aux employés grévistes l’accès aux bureaux», ont dénoncé les rédacteurs du communiqué.
«Tant que la section syndicale n’a pas reçu le jugement final par le biais d’un huissier de justice, la grève continue», ont-ils précisé.
En tout cas, les travailleurs algériens de cette entreprise sont plus que jamais déterminés à poursuivre leur mouvement de protestation et à ne pas céder «aux abus de pouvoir de l’employeur».
Les autorités en charge de ce dossier, dont le ministère des Finances, éprouvent de plus en plus de difficultés à élucider le mode procédural menant vers la reprise et/ou la vente de Djezzy à Vimpelcom, nouveau propriétaire d’Orascom Telecom Holding (OTH). Les nombreux détours, les flottements de la position algérienne qui tantôt se réclame irrévocable en s’agrippant à la décision de ne négocier qu’avec OTH et tantôt s’oriente, à voile et à vapeur, vers les investisseurs russes de Vimpelcom, font apparaître chaque jour un peu plus nettement un manque de transparence dans la gestion de ce dossier.
Le dernier épisode en date d’une chronique «scandaleuse» évoque ce énième propos du ministre des Finances : «L’évaluation de la valeur de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy bute sur la conclusion d’un accord de confidentialité entre les autorités algériennes et Vimpelcom.»
Il y a à peine une année, Karim Djoudi, approché par les journalistes dans les coulisses de la Chambre basse du Parlement, un jeudi 21 octobre, avait annoncé : «L’Algérie ne négociera le rachat de Djezzy qu’avec les responsables du groupe égyptien Orascom Telecom Holding (OTH).» Le 16 octobre dernier, le même ministre annonçait qu’il allait rencontrer le PDG de Vimpelcom et les entretiens devaient «porter sûrement sur le dossier d’Orascom Telecom Algérie (OTA)».
Au lendemain de cette entrevue surprise, mais qui aura été imposée par le fait que Vimpelcom soit désormais le propriétaire d’OTH, le grand argentier du pays semble se rendre à l’évidence que les marchés et les règles de la finance internationale ont leur mot à dire.
Le casse-tête Djezzy n’est plus cantonné dans le giron politique où il est né, mais a gagné le terrain économique.
Pris en tenaille entre cette nouvelle donne imposée par l’arrivée de l’invité surprise sur l’échiquier et l’importance de sauver les meubles en imposant la règle de préemption, le gouvernement semble n’avoir de choix, tout compte fait, que de partager la poire en deux. OTH, lui, s’était retiré tranquillement sur son Aventin. Les responsables algériens se sont ainsi retrouvés face à un «honteux» remake de l’affaire Lafarge qu’ils peinent encore à digérer. Le ministre des Finances a usé, lundi dernier, d’un langage trop technique pour expliquer à la collectivité que l’évaluation de Djezzy, confiée au cabinet d’affaires français Sherman Sterling LLP, n’a pas encore abouti «parce que pour pouvoir faire une évaluation, il faut qu’on ouvre les data-rooms et pour ouvrir les data-rooms, il faut un accord de confidentialité et cet accord est tributaire d’un accord entre les deux parties».
Dans cet accord de confidentialité, les autorités algériennes et le groupe russe Vimpelcom, nouveau propriétaire de Djezzy, «vont s’engager à ne pas dévoiler les contenus de la négociation ou de l’arrangement s’il y a un arrangement et les propositions y afférentes», a expliqué à l’APS un haut responsable financier qui a requis l’anonymat. Les autorités algériennes ont-elle peur de la transparence ?
Pour le groupe russe coté en Bourse, il serait si hasardeux d’occulter cette transparence réclamée comme condition sine qua non pour l’accès aux marchés financiers.
La confidentialité, telle que décryptée par les experts anonymes de l’APS, va concerner, en plus des propositions des deux parties, la cotation de l’action Djezzy sur le marché et l’évaluation patrimoniale.
Une question s’impose : pourquoi le gouvernement s’applique-t-il à entretenir le flou autour de cette transaction et de la valeur patrimoniale de Djezzy ? Si Vimpelcom décide
de s’accrocher aux règles de transparence imposées par les marchés, le gouvernement n’aura de solution que d’attendre la sentence de l’arbitrage international.
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Source : Algérie Telecom au 29/11/2011L’État algérien va‑t‑il céder face à la menace d’un arbitrage international dans le dossier Djezzy ? L’évaluation de l’opérateur n’a toujours pas abouti mais les deux parties – l’État algérien et l’opérateur russe Vimpelcom – semblent avoir atteint un stade avancé dans les discussions. « L’aspect légal, sur lequel achoppe l’évaluation, est de savoir si l’Algérie allait détenir la totalité du capital Djezzy ou seulement sa majorité, qui est de 51 % », selon un « un haut responsable financier » qui a requis l’anonymat, cité ce lundi 27 novembre par l’agence APS. Comprendre : l’État algérien a abandonné l’option d’un rachat total de Djezzy. C’est la première fois depuis le début de la crise que l’option d’un rachat de 51 % de l’opérateur est publiquement évoquée par les autorités algériennes.
Quatre candidats sur cinq ont obtenu le droit de développer un réseau LTE: aux côtés des traditionnels Proximus, Mobistar et Base, BUCD joue la quatrième roue du carrosse.
La mise aux enchères des licences 4G a pris fin aujourd’hui et a révélé quatre gagnants.
KPN a réagi avec ce très bref communiqué : « KPN se réjouit d’avoir obtenu une licence pour l’exploitation de 2x15MHz (30MHz) dans la bande de fréquences des 2,6GHz en Belgique pour un montant d’EUR 15 millions. Avec ces fréquences élevées, KPN sera en mesure de poursuivre le déploiement de son data mobile à haute vitesse, en ce compris les services reposant sur la prochaine génération de technologies mobiles (LTE) à terme, et de satisfaire les besoins de ses nombreux clients et partenaires en Belgique. La licence sera disponible le 1er juillet 2012 et expirera en 2027 ». Une aubaine pour Base qui dispose toujours d’un réseau 3G particulièrement parcellaire en dehors des centres urbains.
Du côté de Mobistar, on « compte investir plus de 100 millions d’euros dans le déploiement de la technologie LTE sur son réseau dans les années à venir » avec l’espoir d’une croissance de 50% dans les revenus du data mobile jusqu’en 2025. Des tests menés en Belgique et au Luxembourg ont permis d’atteindre les 100mbps en réception et 33mbps en envoi de données pour un ping de 20ms, ce qui reste globalement nettement meilleur que les connexions ADSL offertes par l’opérateur.
Pour justifier le montant plus élevé de la licence par rapport à Base, « Belgacom a sécurisé l’acquisition de la partie basse des fréquences celles-ci étant plus favorables en termes de limitation des interférences, entre autres, avec les systèmes radar. » L’opérateur assure également qu’il « lancera une offre commerciale dès que l’offre d’appareils compatibles 4G et la demande de la part du grand public et des entreprises seront suffisantes. » Selon Proximus, la 4G est déjà arrivée dans la bande des 1800MHz en juin 2011. Une notion technique qui apporte beaucoup de confusion, notamment sur le marché américain, et qui pousse les vitesses de téléchargement sans toutefois atteindre les performances de la technologie LTE et de ses 2600MHz.
L’unique perdant de cette séance de distribution des autorisations est Craig Wireless qui n’a pas souhaité pousser son offre vers les 15 millions d’euros pour devenir actif sur le marché belge. Reste un inconnu notable: BUCD bvba, une entreprise derrière laquelle se cache le chinois Datang. L’acquisition de la licence et le temps imparti pour démarrer les opérations commerciales permettra certainement à ce nouvel entrant de démarrer une campagne de communication.
L’autre information de taille est l’absence de Voo et de Telenet qui loupent le train de la 4G. Etrange comportement pour deux acteurs majeurs des télécoms belges qui viennent pourtant de placer une somme astronomique sur un nouveau réseau 3G dont encore aucune antenne n’est sortie de terre et dont la rentabilité est très loin d’être garantie.
L’octroi des licences a rapporté exactement 77.790.000 euros à l’Etat.
Ce système, appliqué depuis trois mois déjà, permet "exclusivement" aux clients de la BDL, personnes physiques et morales, de gérer leurs avoirs à distance, 7/7 jours et 24/24 heures, faire des virements, consulter l’historique de leurs opérations sur un mois et leurs soldes et transférer des soldes de sous-comptes au compte principal, ont indiqué lundi des cadres de la banque lors d’un séminaire de vulgarisation du nouveau produit.
L’accès à ce service, disponible à l’adresse URL : ebanking.bdl.dz et qui se fera via un abonnement annuel de 400 DA appelé à baisser, est "hautement sécurisé", a assuré le PDG de la banque M. Mohamed Arslane Bachtarzi.
"Nous avons mis du temps pour lancer ce système parce que nous avons pris le temps nécessaire pour s’assurer de sa sécurité", a-t-il argué.
Pour accéder à ce service, l’agence de la BDL communique à son client, dans une première étape, un identifiant et un mot de passe. Une fois l’accès à "e-bdl" est fait avec succès, la banque demande au client, via sa page électronique, de définir sa propre "signature électronique" qu’il gardera évidement secrète, une mesure qui vise une sécurisation maximale de l’opération, expliquera M. Toumi Nabil, directeur des moyens de paiements à la BDL.
Lors des débats animés à cette occasion, des interrogations se sont posées sur l’aspect réglementaire de l’utilisation de la signature électronique en Algérie, surtout que l’ ARPT (Agence de régulation des poste et télécommunications) n’a pas encore sélectionné un bureau de certification agréé en Algérie.
"La signature électronique dispose de l’ancrage juridique en Algérie, c’est vrai que l’ARPT a opté pour une technologie de certification internationale mais ça s’est fait conformément à la réglementation en la matière qui autorise cette agence de régulation à choisir des producteurs de certificat étrangers", a expliqué M. Toumi.
Le nouveau canal de communication entre la BDL et ses clients assurera plus de rapidité, de sécurité, de confort et de simplicité, s’est-il réjoui. Une simulation d’accès à "e-bdl" a été faite avec succès devant la presse et les cadres présents.
Par ailleurs, le PDG de la BDL a annoncé que les produits de la bancassurance, lancés en partenariat avec l’assureur français Macif via la nouvelle filiale d’assurance SAPS, seront disponibles à travers les agences de la banque à "compter du 31 décembre au plus tard".
Interrogé par l’APS si l’évaluation, confiée au cabinet d’affaire français Sherman Sterling LLP, a été achevée, le ministre a répondu ’’bien sûr que non, parce que pour pouvoir faire une évaluation, il faut qu’on ouvre les data room, et pour ouvrir les data room il faut un accord de confidentialité et cet accord et tributaire d’un accord entre les deux parties".
M. Djoudi s’exprimait en marge de la réunion à Alger du groupe d’action financière du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (Gafimoan). "Les deux parties ne se sont pas encore entendues sur l’accord de confidentialité, la conclusion a buté sur certaines contraintes d’ordre légal", a précisé le ministre qui s’est abstenu de fournir des détails sur ces difficultés.
"L’affaire Djezzy n’est pas un dossier simple, si elle l’était les choses seraient terminées depuis longtemps", a relevé le ministre qui a souhaité une conclusion rapide de l’accord de confidentialité. Dans cet accord de confidentialité, les autorités algériennes et le groupe russe Vimpelcom, nouveau propriétaire de Djezzy "vont s’engager à ne pas dévoiler les contenus de la négociation ou de l’arrangement s’il y a un arrangement, et les propositions y afférantes" a expliqué à l’APS un haut responsable financier qui a requis l’anonymat.
La confidentialité va concerner en plus des propositions des deux parties, la cotation de l’action Djezzy sur le marché et l’évaluation patrimoniale, a précisé la même source. Quant aux contraintes légales qui entravent la conclusion de l’accord de confidentialité, elle se rapportent notamment à la règle 49%-51% relative à la répartition du capital en cas de cession de participations des actionnaires étrangers ou au profit d’actionnaires étrangers, a expliqué la même source.
"L’aspect légal, sur lequel achoppe l’évaluation est de savoir si l’Algérie allait détenir la totalité du capital Djezzy ou seulement sa majorité qui est de 51%", a-t-il dit.
Mais l’Algérie avait déjà affirmé qu’elle voulait exercer son droit de préemption sur la totalité du capital de Djezzy, alors que le groupe russe avait émis le souhait de conserver en cas de rachat de Djezzy par l’Algérie 49% du capital.
Certaines sources proches du dossier à Alger ont confirmé au mois d’octobre dernier ’’le souhait de l’opérateur Russe d’abandonner l’option de l’arbitrage international contre une solution à l’amiable qui va permettre à l’Algérie de prendre une participation majoritaire de 51% dans le capital de Djezzy.
Le 16 octobre dernier, le ministre des finances avait rencontré à Alger le nouveau PDG du groupe russe Vimpelcom Jo O. Lunder, mais rien n’a filtré sur le contenu de ces discussions, menées dans la plus grande discrétion.
En mai dernier, l’Algérie par la voix de son Premier ministre M. Ahmed Ouyahia, avait réaffirmé qu’elle était décidée à racheter Djezzy. Vimpelcom a racheté en mars dernier le groupe italien Wind Telecom qui détenait 51% d’Orascom Telecom Holding (OTH), propriétaire d’Orascom Telecom Algérie.