Des experts suggèrent le rachat des équipements d’AnwarNet et le développement d’un réseau WiMax propre à Algérie Télécom. Au ministère des TIC de trancher…
Une commission chargée d’évaluer un projet de partenariat entre l’opérateur privé AnwarNet et Algérie Télécom portant sur le développement de la technologie WIMAX qui a été bloqué par une instruction du conseil d’administration de l’opérateur public, a remis son remis son rapport au ministère de la poste et des nouvelles technologies de l’information.
Le rapport, élaboré par une équipe de cadres d’Algérie Télécom, comporte, selon des sources proches de ce dossier, plusieurs propositions portant notamment sur le règlement du litige entre les deux opérateurs après l’annulation du contrat de partenariat.
Les experts d’Algérie Télécom proposent le rachat des équipements Wimax de l’opérateur privé AnwarNet et le redéploiement d’un réseau propre à l’opérateur public. Ils ont procédé également à une estimation des coûts des équipements d’AnwarNet. Selon nos sources, ces équipements ont été estimés 600 000 Euros. Une estimation que ne partage pas l’opérateur AnwarNet qui a installé plus de 20 stations de base radio (BTS) Wimax.
Le Conseil d’administration a annulé le projet de partenariat car, indique-t-on, il n’en avait pas été informé au préalable. Dans un entretien avec l’hebdomadaire les Afriques, le ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Hamid Bessalah a indiqué que « le conseil d’administration d’Algérie Télécom a été informé tardivement du partenariat avec AnwarNet. Ce conseil a pris, par la suite, la décision d’arrêter ce partenariat».
Un contrat engagé sans l’aval préalable du Conseil d’administration
Hamid Bensalah a précisé qu’il avait saisi, bien avant, « en tant que ministre, Algérie Télécom pour demander plus de précisions sur ce contrat de partenariat signé avec AnwarNet».
Le contrat de partenariat signé avec l’opérateur privé AnwatNet avantage en tout état de cause de l’opérateur historique. Il stipule en effet qu’en cas de rupture tout revient à Algérie Télécom dont le label commercial Mawdjat et le portefeuille client. , dira Moussa Benhamadi PDG du groupe Algérie Télécom.
Un autre grief a motivé l’annulation de partenariat. AnwarNet avait une autorisation pour développer le WiMax dans les limites de la Wilaya d’Alger. L’opérateur, lui, a installé ses équipements sur l’ensemble du territoire.
Pour le PDG d’Algérie Télécom, Moussa Benhamadi, le « partenariat avec AnwarNet est limité dans temps car l’objectif est de former une équipe et de rentabiliser notre investissement. Nous avons constitué un noyau d’équipe spécialisée WIMAX».
Il souligne qu’il avait trouvé en arrivant à la tête du groupe des équipements WIMAX non utilisés achetés chez Nokia Siemens pour une valeur de 6,5 millions de dollars. « Nous avons examiné la possibilité d’exploiter ces BTS pour développer le WIMAX».
Le contrat de partenariat annulé a été signé en septembre 2008 après de longues négociations. AnwarNet disposait, déjà à l’époque, de 60 abonnés et possédait 20 BTS Nokia Siemens identiques à celles d’AT. Il disposait aussi d’une équipe commerciale bien formée.
En dépit de la décision du Conseil d’Administration, Moussa Benhamadi, a qualifié, il y a quelques mois, l’accord avec AnwarNet d’expérience den « très positive. On a pu générer un chiffre d’affaires d’un million de dollars en l’espace de quelques mois d’activités».
Selon ses estimations, si le contrat n’avait pas été arrêté, il aurait généré un chiffre d’affaires de 400 millions de DA à fin 2009.
Le rapport, élaboré par une équipe de cadres d’Algérie Télécom, comporte, selon des sources proches de ce dossier, plusieurs propositions portant notamment sur le règlement du litige entre les deux opérateurs après l’annulation du contrat de partenariat.
Les experts d’Algérie Télécom proposent le rachat des équipements Wimax de l’opérateur privé AnwarNet et le redéploiement d’un réseau propre à l’opérateur public. Ils ont procédé également à une estimation des coûts des équipements d’AnwarNet. Selon nos sources, ces équipements ont été estimés 600 000 Euros. Une estimation que ne partage pas l’opérateur AnwarNet qui a installé plus de 20 stations de base radio (BTS) Wimax.
Le Conseil d’administration a annulé le projet de partenariat car, indique-t-on, il n’en avait pas été informé au préalable. Dans un entretien avec l’hebdomadaire les Afriques, le ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Hamid Bessalah a indiqué que « le conseil d’administration d’Algérie Télécom a été informé tardivement du partenariat avec AnwarNet. Ce conseil a pris, par la suite, la décision d’arrêter ce partenariat».
Un contrat engagé sans l’aval préalable du Conseil d’administration
Hamid Bensalah a précisé qu’il avait saisi, bien avant, « en tant que ministre, Algérie Télécom pour demander plus de précisions sur ce contrat de partenariat signé avec AnwarNet».
Le contrat de partenariat signé avec l’opérateur privé AnwatNet avantage en tout état de cause de l’opérateur historique. Il stipule en effet qu’en cas de rupture tout revient à Algérie Télécom dont le label commercial Mawdjat et le portefeuille client. , dira Moussa Benhamadi PDG du groupe Algérie Télécom.
Un autre grief a motivé l’annulation de partenariat. AnwarNet avait une autorisation pour développer le WiMax dans les limites de la Wilaya d’Alger. L’opérateur, lui, a installé ses équipements sur l’ensemble du territoire.
Pour le PDG d’Algérie Télécom, Moussa Benhamadi, le « partenariat avec AnwarNet est limité dans temps car l’objectif est de former une équipe et de rentabiliser notre investissement. Nous avons constitué un noyau d’équipe spécialisée WIMAX».
Il souligne qu’il avait trouvé en arrivant à la tête du groupe des équipements WIMAX non utilisés achetés chez Nokia Siemens pour une valeur de 6,5 millions de dollars. « Nous avons examiné la possibilité d’exploiter ces BTS pour développer le WIMAX».
Le contrat de partenariat annulé a été signé en septembre 2008 après de longues négociations. AnwarNet disposait, déjà à l’époque, de 60 abonnés et possédait 20 BTS Nokia Siemens identiques à celles d’AT. Il disposait aussi d’une équipe commerciale bien formée.
En dépit de la décision du Conseil d’Administration, Moussa Benhamadi, a qualifié, il y a quelques mois, l’accord avec AnwarNet d’expérience den « très positive. On a pu générer un chiffre d’affaires d’un million de dollars en l’espace de quelques mois d’activités».
Selon ses estimations, si le contrat n’avait pas été arrêté, il aurait généré un chiffre d’affaires de 400 millions de DA à fin 2009.
Source : maghreb emergent au 27/03/2010
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