Le ministère de la poste et des technologies de l'information et de la communication n’a selon un responsable pas l’intention de demander au groupe canadien « Research in motion » qui fabrique le Smartphone « Black Berry », de fournir « les donnés cryptés des algériens abonnés à la messagerie et la messagerie instantanée, comme l’ont fait de nombreux pays».
Cette déclaration fait suite à l’information rapportée par Reuters selon laquelle l’Algérie ferait partie des pays qui voudraient faire pression sur le fabriquant canadien afin d’obtenir les données cryptées de ses abonnés algériens, à l’instar de l’Arabie Saoudite, des Emirats Arabe Unis et du Liban.
Réfutant par ailleurs l’existence d’éventuels entretiens entre le gouvernement algérien et la société canadienne, il considère que cela relève des opérateurs de téléphonie mobile « Djezzy, Nedjma et Mobilis », et qu’une telle démarche nécessiterait une coordination avec ces derniers, sachant que ce sont eux et non les autorités publiques qui sont lié au fabriquant canadien par un accord de fournitures du service de « messagerie instantanée cryptée ».
Le ministère de la poste et des technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi avait pour rappel assuré que « Si le gouvernement détermine qu'il y a un danger pour notre économie ou notre sécurité, nous y mettrons fin ».
Cette déclaration fait suite à l’information rapportée par Reuters selon laquelle l’Algérie ferait partie des pays qui voudraient faire pression sur le fabriquant canadien afin d’obtenir les données cryptées de ses abonnés algériens, à l’instar de l’Arabie Saoudite, des Emirats Arabe Unis et du Liban.
Réfutant par ailleurs l’existence d’éventuels entretiens entre le gouvernement algérien et la société canadienne, il considère que cela relève des opérateurs de téléphonie mobile « Djezzy, Nedjma et Mobilis », et qu’une telle démarche nécessiterait une coordination avec ces derniers, sachant que ce sont eux et non les autorités publiques qui sont lié au fabriquant canadien par un accord de fournitures du service de « messagerie instantanée cryptée ».
Le ministère de la poste et des technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi avait pour rappel assuré que « Si le gouvernement détermine qu'il y a un danger pour notre économie ou notre sécurité, nous y mettrons fin ».
Source : Journal El Khabar du 14/08/2010
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