« L’Algérie veut choisir ses partenaires étrangers en matière d’investissements. Le gouvernement peut au choix racheter la totalité de Djezzy puis céder 49% du capital et le management à un opérateur étranger ou participer à un montage impliquant un autre opérateur étranger mais pas forcément MTN ou Vivendi avec lesquels discutent actuellement Orascom Telecom. Cela pourrait être Itissalat, l’opérateur émirati, un pays avec lequel l’Algérie entretient de bonnes relations», précise notre source. « Orascom Telecom veut partir, c’est son choix et son droit. Mais il ne doit pas nous imposer un partenaire qu’il aura lui-même choisi », ajoute-t-elle. Selon elle, cette ligne de conduite a été décidée par la présidence de la République et appliquée par le gouvernement.
Cette position constituera l’essentiel du message qui sera délivré à Naguib Sawiris par le gouvernement lors d’une prochaine rencontre qui pourrait intervenir dans quelques jours à Alger. Aucune date n’a cependant été fixée pour cette rencontre.
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