La prochaine visite à Alger du président russe Dmitri Medvedev mercredi prochain pourrait sceller définitivement le sort de l’opérateur de téléphonie mobile Orascom Télécom Algérie (OTA). En effet, si l’on en croit le journal en ligne TSA-Algérie, les discussions vont bon train entre les représentants russes et algériens sur un éventuel achat d’OTA par le russe Vimpelcom. Pour un économiste ayant requis l’anonymat, le rachat d’OTA par Vimpelcom constituerait, pour ce dernier, une « chance inespérée pour pénétrer le marché maghrébin, un marché émergent considéré comme la fenêtre du continent africain ».
Selon TSA, la transaction entre OTA et Vimpelcom s’inscrit dans le cadre d’accord global concernant de nombreux contrats stratégiques qui seront signés entre l’Algérie et la Russie, tels que la livraison de système antibrouillage, l’accord stratégique avec le géant Gazprom, ou encore, l’affaire des Mig défectueux vendus en 2007 à l’armée de l’air.
Toujours selon notre interlocuteur, « Les deux pays pourraient très bien trouver un accord à tous ces dossiers, si ce n’est pas déjà fait », ajoutant au passage que l’opérateur égyptien qui exploite la marque commerciale Djezzy « ne pourrait pas s’opposer à ce rachat vu qu’il n’a pas vraiment de marge de manœuvre d’autant que, selon certaines sources, la partie russe compte casser sa tirelire pour permettre à Vimpelcom d’étendre son positionnement géostratégique sur le marché mondial de la téléphonie mobile ». Suite « et fin » du « roman-feuilleton » égyptien le 5 octobre prochain.
Selon TSA, la transaction entre OTA et Vimpelcom s’inscrit dans le cadre d’accord global concernant de nombreux contrats stratégiques qui seront signés entre l’Algérie et la Russie, tels que la livraison de système antibrouillage, l’accord stratégique avec le géant Gazprom, ou encore, l’affaire des Mig défectueux vendus en 2007 à l’armée de l’air.
Toujours selon notre interlocuteur, « Les deux pays pourraient très bien trouver un accord à tous ces dossiers, si ce n’est pas déjà fait », ajoutant au passage que l’opérateur égyptien qui exploite la marque commerciale Djezzy « ne pourrait pas s’opposer à ce rachat vu qu’il n’a pas vraiment de marge de manœuvre d’autant que, selon certaines sources, la partie russe compte casser sa tirelire pour permettre à Vimpelcom d’étendre son positionnement géostratégique sur le marché mondial de la téléphonie mobile ». Suite « et fin » du « roman-feuilleton » égyptien le 5 octobre prochain.
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