Ces mêmes sources ont indiqué que l’opération de remboursement d’une bonne partie de cette somme, se ferait au début de l’année prochaine, mais qu’il lui serait impossible de rembourser 5 à 6 milliards, au regard de sa situation, particulièrement en ce qui concerne les entreprises dissoutes, les piratages, ou certains litiges qui tarderaient à être réglés.
Rappelons qu’Algérie Telecom bénéficie de procédures et de mesures spéciales, comme la circulaire Ouyahia dans laquelle il rappelait l’obligation qu’avaient les ministères de rembourser leur dette envers Algérie Telecom, estimée entre 15 à 20 milliards, et qui serait directement prélevée sur leurs budgets, comme paramètre servant aux différentes entreprises à respecter leurs engagements vis-à-vis de leur partenaire qui fait face à des défis et enjeux requérant une restructuration, une réorganisation et un renforcement de sa place sur le marché. Ce qui nécessite des ressources financières considérables.
Les mêmes sources ont par ailleurs indiqué que le groupe « France Telecom » attendait toujours une réponse aux suggestions d’élargissement et de renforcement de sa collaboration avec Algérie Telecom dans différents domaines comme la formation et l’accompagnement technologique. Cette idée ne fait pas l’unanimité au sein de l’entreprise, en raison d’une absence de réponse claire de la part de l’Algérie. L’entreprise « British Telecom » a, elle aussi, décidé de différer ses projets en Algérie comme la réalisation d’un institut de formation, pour la même raison.
Source : Journal El Khabar au 08/10/2009
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire