jeudi 31 décembre 2009
Les puces de téléphonie mobile classées équipements sensibles en Algérie
mercredi 30 décembre 2009
État des lieux de la téléphonie mobile : Un marché en quête de régulation
L’élément dominant concerne le taux de pénétration qui se situe autour de 85%, soit un nombre d’abonnés supérieur à 29 millions et qui certainement clôturera l’année 2009 autour de 30 millions d’abonnés. Les moins de 13 ans qui représentent un grand pourcentage de la population ne sont pas abonnés au GSM. Cela veut dire qu’un grand nombre d’entreprises, d’organismes et d’institutions sont des utilisateurs massifs de ce produit. Le second élément de progrès concerne le taux de couverture du territoire et le taux de couverture de la population. Il y a aussi l’accès à l’internet mis en place par les trois opérateurs et la baisse importante des prix des terminaux correspondant de plus en plus aux possibilités des petites bourses et dans une certaine mesure la baisse des tarifs de raccordement et de communication. Au-delà de ces constats, il y a des insuffisances à relever et des retards, parmi ceux-ci, on peut citer l’adaptation de la législation et de la réglementation. L’évolution du marché de la téléphonie mobile a mis en relief les limites de la législation et de la réglementation en la matière en vigueur. « On peut citer l’incapacité des dispositifs existants d’assurer à l’ARPT et/ou à l’institution concernée de l’Etat la maîtrise du marché dans l’esprit et la lettre de la loi (par exemple article 13) ouvrant la voie à un comportement unilatéral de l’opérateur dominant marqué par des pratiques d’abus de position dominante caractérisée.
Il a refusé d’appliquer les décisions de l’ARPT en 2007, lorsqu’il prit des mesures unilatérales de baisse des tarifs de base d’environ 30% sans l’accord préalable de l’ARPT », dira le conférencier. Il précise que « les sanctions sont la suspension de la licence durant une période ou définitivement. Dans l’état actuel du marché et du poids de l’opérateur dominant, il semble que le ministère ne peut suspendre la licence de cet opérateur. Il aurait été utile que la législation prévoit des sanctions d’ordre inférieur qui porteraient notamment sur des sanctions d’ordre financier représentant différents taux sur le chiffre d’affaires (de 1 à 10 % par exemple) selon la nature et l’ampleur des fautes de l’opérateur ». L’ARPT est réduite ainsi à « encadrer les offres promotionnelles ». L’expert s’est demandé qu’est-ce qui empêche l’Algérie à aller vers la portabilité des numéros et l’itinérance nationale. La portabilité des numéros mobiles permettra à tout client d’un opérateur mobile GSM de changer d’opérateur et de conserver son numéro de téléphone mobile. L’itinérance nationale constitue une mesure technique qui garantie à l’usager, quel que soit l’opérateur auquel il est abonné, à disposer de la continuité de service, si pour des raisons diverses le réseau de son opérateur n’est pas en mesure d’assurer le service (zone non couverte, dérangement d’une station de base ou de la ligne de transmission).
Une autre observation a été citée : la non-mise en service de la technologie 3G et 3G+ pénalise les entreprises, freine la généralisation du haut débit et retarde la télévision mobile. Bref, elle éloigne notre pays de la société de l’information. L’ARPT a pourtant invité les entreprises désireuses d’établir et d’exploiter un réseau de téléphonie mobile 3G à le lui faire savoir au plus tard le 30 juin 2008. Les trois opérateurs ont opté pour des réseaux expérimentaux sur cette technologie mais depuis l’arrivée de Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, la 3G n’est plus une priorité, contrairement au développement de l’internet sur le fixe (ADSL). Le dossier est clos. Le gouvernement a-t-il fait marche arrière ? A-t-il été conseillé pour abandonner cette piste ? Nous trouverons des éléments de réponse dans la stratégie e-Algérie 2013. « Afin de gagner du temps et tenant compte des expériences vécues dans les autres pays étrangers, il serait plus approprié que l’Etat autorise directement les trois opérateurs existants à mettre en scène la 3G et/ou la 3G+ sans lancer d’appel d’offres. Il peut décider d’une contribution financière symbolique en tenant compte des capacités de l’opérateur le plus démuni », suggère le conférencier.
Source : Journal El Watan du 31/12/2009
mardi 29 décembre 2009
L’algorithme A5/1 prend du plomb dans l’aile
L’algorithme A5/1, ça vous dit quelque chose ? En fait, pour faire simple, cet algorithme protège les appels via GSM par un système de chiffrement. Sauf que depuis quelques jours,Karsten Nohl, un hacker visiblement assez balèze a annoncé avoir craqué l’algorithme. Et a en même temps annoncé que le code permettant de craquer l’algorithme en question est disponible sur divers réseaux Bitorrent.
Rhô, inutile de paniquer : l’algorithme A5/1 (64-bit) devrait être rapidement remplacé par l’algorithme A5/3 (128-bit). Enfin
Source : journal du geek au 29/12/2009
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GSM appeler le code de cryptage de craquage, publié pour le monde entier pour voir
Filiale d'Orascom et d'Egypt Telecom, Lacom perd sa licence en Algérie
La licence d'établissement et d'exploitation d'un réseau public de télécommunications et de fourniture de services téléphoniques fixes internationaux, interurbains et de boucle locale au public, octroyée à la CAT en 2008 est "définitivement retirée", précise le texte. La CAT avait décroché en 2005 la deuxième licence de téléphonie fixe pour 65 millions millions de dollars, mais elle n'a pas pu s'imposer sur le marché algérien. Elle a tenté sans succès de mettre en place un réseau de téléphonie sans fil (WLL).
Source : Tout Sur l'Algérie au 29/12/2009
APRÈS SA RENCONTRE DIMANCHE AVEC TAMER MEHDI : Serrar : “Je reprends avec Djezzy”
lundi 28 décembre 2009
ORASCOM DÉMENT REBRAB : "Djezzy n’est pas à vendre"
Hier lundi, en début d’après-midi, nous avons pris contact avec M. Issad Rebrab pour une éventuelle réaction au communiqué du groupe Orascom. N’ayant pas encore lu, en ce moment-là, ledit communiqué, M. Rebrab, par ailleurs occupé par une réunion de travail, nous a fait savoir qu’il préférait différer sa réponse pour fin d’après-midi. Au moment où nous mettons sous presse, le patron de Cevital n’avait pas encore réagi.
Orascom Telecom Algérie : « Djezzy n’est pas à vendre »
Orascom Telecom Algérie (OTA) a démenti hier avoir eu des contacts avec Issad Rebrab, le patron du groupe Cevital, en vue du rachat de Djezzy, compagnie de téléphonie mobile. « Nous tenons à affirmer que OTA n’est pas à vendre et que nous n’avons eu aucun contact avec le groupe Cevital concernant ce sujet », peut-on lire dans un communiqué, diffusé hier par l’opérateur Orascom Telecom Algérie, signé par son service presse. « M. Rebrab n’a aucun droit sur la société OTA, sinon celui de n’importe quel actionnaire algérien avec un pourcentage d’actions très faible », poursuit le communiqué qui est présenté comme une clarification après des déclarations à la presse faites par l’homme d’affaires algérien, Issad Rebrab, autour d’une éventuelle cession de parts de la société. Djezzy, marque commerciale d’OTA, dément également un quelconque échange à propos de cette cession en question, entre le patron de Cevital qui détient, il est utile de le souligner, 3,5% des actions d’OTA et qui souhaiterait en obtenir 51%.
Dans un entretien au quotidien économique français la Tribune, en date du 26 novembre 2009, Naguib Sawiris, le propriétaire de la société égyptienne Orascom Telecom Holding, avait déjà exprimé sa volonté de rester maître de son entreprise en Algérie. Même en étant très critique à propos des mesures décidées en Algérie à la faveur de la loi de finances complémentaire 2009 sur l’investissement étranger, le patron d’OTA a catégoriquement refusé l’idée de renoncer au marché des télécoms dans notre pays. Qualifiant OTA « d’une des plus belles ‘’success stories’’ d’Orascom et de l’Algérie », le patron d’Orascom Telecom Holding avait déclaré clairement que « Djezzy n’est pas à vendre », en réponse à une question à propos des informations faisant état des offres qui lui ont été faites pour l’achat de Djezzy. « Vivendi a déjà manifesté son intérêt par le passé, tout comme des hommes d’affaires algériens », reconnaît-il cependant dans cette interview accordée au journal français la Tribune.
Le groupe Orascom Telecom Holding a également annoncé, hier, avoir contesté officiellement par le biais d’une « réclamation contentieuse » la procédure de redressement fiscal décidée à son encontre par les autorités fiscales algériennes. Orascom Telecom Holding, dans un autre communiqué diffusé, hier, sur son site Internet, indique qu’elle a fait part de sa contestation des montants qui lui sont demandés par les services des impôts en Algérie. Avant de déposer sa réclamation, OTA s’est acquitté de 120 millions de dollars, soit l’équivalent de 20% des taxes et pénalités exigées par le fisc algérien et ce, « conformément aux lois en vigueur en Algérie », lit-on dans le communiqué en question. Il est à rappeler que Djezzy doit s’acquitter de près de 600 millions de dollars, selon le redressement fiscal décidé par les impôts. Une somme qui, a priori, ne sera pas négociable si on se réfère au discours de fermeté affiché par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, lors de ses déclarations à la presse.
Source : Journal El Watan du 29/12/2009
POUR NON-PAIEMENT DE LEURS REDEVANCES : L’ARPT menace de porter plainte contre 213 entreprises
Orascom Telecom Algérie fait appel de son redressement fiscal et dément des négociations avec Cevital
En attendant le règlement de cette procédure, qui sonne comme l'opération de la dernière chance pour Orascom, le groupe reste plus que jamais dans la tourmente. Non seulement les dividendes dégagées par Djezzy sont bloquées en Algérie, mais l’opérateur mobile est également devenu une cible pour un éventuel rachat, d'autant que le cours de l'action Orascom est au plus bas depuis plusieurs années.
Au premier rang des intéressés, Vivendi et Cevital, qui réfléchiraient ensemble à un plan de rachat de Djezzy, et dont les discussions seraient bien avancées selon le PDG du groupe Issad Rebrab, cité dans la presse algérienne et égyptienne. Cependant OTA a fermement démenti ce lundi dans un autre communiqué cette éventualité: " M. Rebrab a déclaré à la presse qu’il y avait des contacts ininterrompus entre les deux compagnies sur la vente d’OTA (...). Nous tenons à affirmer que OTA n’est pas à vendre et que nous n’avons eu aucun contact avec le groupe Cevital concernant notamment ce sujet", a expliqué Orascom.
Source : Tout Sur l'Algérie au 28/12/2009
dimanche 27 décembre 2009
Pour régler le litige avec les autorités algériennes : Djezzy verse 20% sur le montant réclamé
Pour sa part, Alex Chalabi, membre du Conseil d'Administration d'Orascom Telecom a indiqué que l'augmentation du capital aidera l'entreprise à procéder à l'expansion prévue dans sa stratégie 2010. Il a toutefois souligné que "la filiale Algérienne participe pour plus de 50% de flux de trésorerie d'Orascom".
Évoquant son litige avec le fisc algérien : Orascom obtient une exonération d’un mois de ses créanciers
Cette exonération est valable pour un mois et expirera le 26 janvier 2010, précise un communiqué rendu public par OTH. Cette faveur acquise par le groupe lui permettra de se concentrer sur son litige avec l’administration fiscale en Algérie, qui lui a notifié un redressement fiscal d’environ 600 millions de dollars. Le communiqué souligne que les prêteurs qui renonceront définitivement à leurs créances pourraient prétendre à l’achat des nouvelles actions émises par le groupe. D’ailleurs, il y est évoqué la possibilité d’« une solution à long terme » avec les créanciers auprès desquels OTH serait en négociations. Le conseil d’administration du groupe égyptien avait annoncé le 13 décembre dernier, dans un précédent communiqué de presse, son intention d’augmenter son capital par voie d’émission de nouvelles actions.
L’entreprise a soumis cette proposition à l’approbation des actionnaires lors d’une réunion extraordinaire qui s’est tenue hier. Elle a indiqué que le but de cette opération est de permettre à l’entreprise d’avoir plus de liquidités et de pouvoir ainsi disposer de capacités de financement pour le groupe, « dans le cas où il n’y a pas de résolution immédiate du litige fiscal en Algérie ». OTH espère lever 800 millions de dollars. Le groupe a fait appel à de nombreuses institutions financières à savoir Bank of America, Merrill Lynch, BNP Paribas, Citigroup Global Markets Limited, Credit Suisse Securities (Europe) Limited et EFG-Hermes pour l’accompagner dans cette augmentation du capital. Naguib Sawiris, président-directeur général d’OTH a relevé que « cette transaction permettra à la société de renforcer son bilan » du groupe qui œuvre pour le règlement du litige fiscal en Algérie. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avait indiqué récemment, en faisant allusion à OTH, que « le transfert de capitaux ne pouvant se faire sans acquittement des droits fiscaux ». Il avait tenu à préciser que « l’affaire remonte à 12 mois et ne date pas d’aujourd’hui ». « Seulement, l’opérateur lui-même a formulé le vœu que cette mesure de redressement ne soit pas rendue publique », avait-il expliqué lors d’une conférence de presse à l’issue des travaux de la tripartite.
« Cette entreprise a demandé aux autorités fiscales algériennes de ne rien dire (sur cette question) pour ne pas la gêner dans ses affaires internationales. Mais le jour où nous avons été accusés de ’piraterie’ concernant le transfert de capitaux à l’étranger, les autorités fiscales algériennes ont appliqué la réglementation en vigueur, le transfert de capitaux ne pouvant se faire sans acquittement des droits fiscaux », avait-il fait valoir. OTH a annoncé, le 18 novembre dernier dans un communiqué, que sa filiale algérienne OTA avait reçu une notification du département des grandes entreprises de la direction générale des impôts pour un redressement fiscal d’un montant de 43,9 milliards de dinars, soit 596,6 millions de dollars. OTA doit s’acquitter de cette somme au titre des exercices 2005, 2006 et 2007.
Source : Journal Liberté du 28/12/2009
samedi 26 décembre 2009
près le lancement de l’appel d’offres de Mobilis en octobre dernier : La course des distributeurs a commencé
L’on compte aussi, depuis 2007, un distributeur d’un tout nouveau type avec GSMA qui est un distributeur franchisé. Mobilis, pour sa part, a bien confirmé que l’ouverture des plis qui a eu lieu en début décembre a permis d’en éliminer cinq de la course pour en garder deux et donner un délai de 10 jours pour d’éventuels recours. Bien que sollicité, personne n’a été en mesure de nous confirmer s’il y a eu ou non des recours. Mais tout semble indiquer que c’est le cas, ce qui expliquerait la non-confirmation des attributions provisoires bien que le délai soit dépassé. Auprès de Mobilis, on préfère parler de procédure normale qui suit son cours et qui ne supporte aucune précipitation. Les indiscrétions, quant à elles, parlent de tiraillements entre distributeurs qui visiblement ne se font pas de cadeaux. Les responsables de Mobilis pourront-ils être au-dessus de certaines considérations et tenir compte uniquement des performances de chacun dans un marché à forte concurrence. Un aspect que l’opérateur public a quelques difficultés à s’imposer de manière percutante. Aujourd’hui, Mobilis compte 10 millions d’abonnés avec 650 000 abonnés postpaid (n°1 sur cette offre). Il n’en demeure pas moins que sur la copie de Mobilis figure la mention “peut mieux faire” avec des capacités telles qui auraient dû lui consacrer une bonne place sur le podium.
Certes que de chemin parcouru depuis août 2003, date qui correspond à l’entérinement de l’activité mobile d’Algérie Télécom qui a été filialisée et donner lieu à la création d’ATM Mobilis en tant que SPA. Mais aujourd’hui, les défis pour le secteur ne sont que plus grands pour des opérateurs qui devront revoir leurs cartes gagnantes de manière constante. Nedjma est bien allée jouer sur un terrain jusque-là conquis par Djezzy pour ce qui est du sponsoring dans le domaine sportif… récoltant un succès incontestable.
Mobilis devra aussi revoir sa politique en matière de distribution qui a toujours constitué son point faible et ne plus résonner en termes de nombre et tenir compte des capacités et du potentiel de ce type de partenaire. La concurrence entre ces derniers ne peut pas leur faire de mal dans la mesure où elle boostera les efforts de chacun pour plus de motivation au lieu de se contenter d’une simple opération de “troc”. Mobilis parle aujourd’hui de “rééquilibrage” et de “redynamiser” le marché en optant pour un nouveau distributeur qui ne pourra que donner un nouveau souffle et surtout permettre à Mobilis d’avoir les outils nécessaires pour afficher de nouvelles ambitions. Et la nouveauté dans le secteur des TIC ne s’arrête pas là.
Après le départ de Belharrat et son remplacement par Azouaou Mehmel à la tête de Mobilis, des sources proches du ministère parlent du retour sur la scène de El-Hachemi Belhamdi en guise de nouveau directeur des TIC au département de Bessalah avec lequel il aurait eu un long entretien la semaine dernière. L’information, loin d’être confirmée, ne serait toutefois une surprise pour personne compte tenu du parcours professionnel plus qu’honorable de celui qui bravant toutes les contraintes a su réellement donner existence à Mobilis. Gratifié de l’attribut de “l’homme de la situation”, la nomination de M. Belhamdi à ce poste ne serait d’ailleurs qu’un juste retour de celui qui a consacré sa vie au ministère en faisant carrière au sein de ce secteur.
jeudi 24 décembre 2009
CAN : Algérie Télécom participera au financement du voyage des supporters en Angola
Air Algérie a assuré qu’elle fera un autre effort pour transporter les supporters mais sans atteindre l’ampleur de l’opération de Khartoum du 18 novembre 2009. Des réductions sur les prix du billet seront faites grâce, notamment, aux soutiens des entreprises publiques et privées.
Source : TSA au 24/12/2009
Menacé de boycottage, Djezzy tente maladroitement de renouer avec les Algériens
Certes, Djezzy est dans une situation peu enviable : son propriétaire, Orascom Telecom, est un groupe dont les actionnaires possèdent des intérêts dans ce pays. « Si Djezzy s’engage en faveur de l’équipe nationale, les intérêts d’Orascom Telecom seront attaqués en Egypte », explique une source proche de l’opérateur. Comprendre : entre l’Algérie et l’Egypte, Djezzy a fait son choix…
Source : TSA au 24/12/2009
Conséquence du redressement fiscal en Algérie, Orascom Telecom soumis à la pression de ses créanciers
Par ailleurs, pour la première fois depuis l’annonce, le 17 novembre du redressement fiscal de sa filiale Djezzy, Orascom Telecom n’évoque pas dans son communiqué des négociations avec le gouvernement algérien en vue de trouver une solution. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia et le ministre des Finances Karim Djoudi ont exclu tout accord amiable dans ce dossier. Ils ont appelé Orascom Telecom à payer les sommes dues au fisc algérien.
Source : TSA au 24/12/2009
mercredi 23 décembre 2009
Un Égyptien décroche un contrat avec Mobilis : Le marché a finalement été résilié
Mais, une telle situation n’a pas laissé indifférente la hiérarchie qui a dû intervenir pour résilier ce marché décroché par l’opérateur égyptien grâce à des méthodes peu catholiques.
Ces mêmes méthodes ont d’ailleurs permis à cette entreprise d’accéder à des marchés similaires auprès des autres opérateurs de téléphonie mobile présents sur le marché algérien.
Sponsoring : Une nouvelle étoile pour la FAF et Nedjma
Hier, à l'hôtel Hilton, la FAF, représentée par son président, Mohamed Raouraoua, et Wataniya Telecom Algérie, représentée par son directeur général, Joseph Ged, ont signé un avenant relatif à la convention de sponsoring signée entre les deux parties en mars 2009. C'est ainsi que Nedjma conserve sa position de sponsor officiel de l'équipe nationale, mais aussi de l'image des joueurs.
Cet avenant porte sur une somme, pour la FAF et l'image des joueurs, de 68 milliards de centimes. 50 milliards pour la FAF et 18 milliards pour les joueurs. Il faut dire que la grande confiance liant la FAF et Nedjma a été derrière la grande réussite de l'équipe nationale qui se qualifie ainsi pour la 3e fois à un Mondial dans son histoire.
"Il faut applaudir chaudement la qualification de l'EN au Mondial après 24 ans d'absence. On est fiers et unis dans la joie derrière l'équipe nationale et ses supporters. On remercie tous ceux qui ont permis à l'Algérie de se hisser parmi les grandes nations du monde.
M'aâk ya El-Khadra est un cadeau de Nedjma et un prolongement de joie des Algériens et une réponse à tous ceux qui ont voulu dénaturer le succès de l'Algérie. Nedjma reste le sponsor N°1 des droit d'images de l'EN et des joueurs. On est fiers de contribuer à la consolidation de cette grande nation qui passe à la 26e place mondiale, gagnant ainsi 38 places en une année. Je suis persuadé que l'EN fera une bonne CAN et passera au 2e tour du Mondial sud-africain".
Lui emboitant la pas, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua dira : " Je remercie Joseph Ged, le directeur général de Wataniya Telecom Algérie (Nedjma) de la belle épopée que nous traversons, ensemble, depuis une année. C'est une entreprise citoyenne qui a fait un partenariat exceptionnel avec nous. Elle sponsorise notre football, mais aussi la Coupe d'Algérie.
A l'occasion, je remercie les joueurs, le staff technique, médical et administratif et tous les personnels pour tout le travail effectué à l'adresse de l'équipe nationale. On ne remerciera jamais assez le geste du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, pour avoir pu transporter plus de 10.000 supporters en un laps de temps très court. Il y a lieu de remercier Nedjma pour sa stratégie commerciale et de communication. Nedjma a confectionné pour l'EN une très bel uniforme, conçu en Italie, pour les sorties des "Verts".
Avant la signature officielle de l'avenant liant la FAF et Nedjma, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, dira que sa structure a eu une proposition de Mobilis de l'ordre de 46 milliards. C'est à dire bien en deçà de l'offre de Nedjma qui est de l'ordre de 68 milliards de centimes.
Puis, on a eu droit à des reportages vidéos sur le parcours des "Verts" conçu par Mourad Aït-Ouadah. ensuite, Kader Berdja, le conseiller du président de la FAF et Mahdjoub, expert de la FIFA, ont présenté le nouveau site de la FAF. La console a été lancée par Raouraoua en personne. Ce site, comme l'a confirmé Saïd Selhani, le responsable de la communication à la FAF, aura deux looks : l’un en français et l'autre en arabe. Il y aura de nouvelles rubriques avec vidéo et la recherche se fera rapidement. Un formulaire d'accréditation a été conçu pour faciliter l'accréditation des journalistes lors des grandes manifestations sportives internationales et même nationales.
l Aussi bien Raouraoua que le président de Nedjma, M. Joseph Ged, n'ont pas manqué de saluer la victoire de l'ESS qui a remporté la coupe de l'UNAF. C'est un autre grand succès pour le football algérien. Ged, cependant, n'a pas voulu divulguer le montant du contrat liant Nedjma à l'ESS.
"Il faudra demander le montant du contrat à Serar", a-t-il affirmé.
Source : Journal El Moudjahid du 24/12/2009
Renouvellement du contrat Wataniya - FAF : 68 milliards dans les caisses de la Fédération
Nedjma et la FAF ont reconduit le contrat qui lie les deux parties, lors d’une cérémonie organisée, hier, au Hilton. Joseph Ged, directeur général de Wataniya, et Mohamed Raouraoua, président de la FAF, ont paraphé le document en présence de leurs partenaires et d’invités de marque.
Dans son allocution, Joseph Ged a mis l’accent sur « l’excellence des relations entre la FAF et Nedjma, depuis l’engagement de l’opérateur avec cette institution. Nedjma partage un parcours extraordinaire avec la FAF ». « Je suis fier d’associer l’image de Nedjma à la FAF », a-t-il ajouté. Le patron de Nedjma a tenu à souligner les performances de l’équipe d’Algérie avec laquelle son entreprise fait le chemin depuis un an. « Merci à l’équipe nationale d’avoir concrétisé le rêve après une attente de 24 ans », a déclaré Joseph Ged. Pour lui, « le renouvellement du contrat a une grande signification pour nous. Nous nous sommes engagés dans un autre partenariat historique avec la FAF ». Par ailleurs, il n’a pas manqué de féliciter l’ES Sétif « pour sa belle victoire en coupe de l’UNAF, trois jours après la signature du contrat avec Nedjma ». Prenant la parole, après le PDG de Nedjma, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua a salué « le partenariat positif et exceptionnel avec Nedjma, un partenaire d’excellence qui permet à la fédération de concrétiser nombre de ses projets ». Dans la foulée, il a annoncé que « le montant du nouveau contrat est de l’ordre de 680 millions de dinars (68 milliards de centimes), donc il représente le double de celui signé l’an dernier ».
Dans un souci de transparence, et par respect aux autres parties qui ont fait acte de candidature, il a révélé que « Mobilis, que je salue au passage, a fait une offre de 460 millions de dinars, c’est-à-dire inférieure à celle de Nedjma qui reste aux côtés de la FAF ». Donc, pour la saison 2010, Nedjma restera le sponsor officiel de la fédération, de l’équipe nationale et de la Coupe d’Algérie, sans oublier celui de la Ligue nationale (LNF). Le président de la FAF a précisé que « Nedjma sponsorisera l’équipe nationale durant la CAN 2010, la Coupe du monde 2010 et les matches amicaux ». Ce chapitre englobe aussi le droit d’image au double titre collectif et individuel (joueurs). Répondant à une question sur ce point précis, Mohamed Raouraoua a indiqué : « Tous les joueurs internationaux seront liés par contrat pour le droit d’image. Ceux qui sont engagés avec d’autres parties rejoindront notre principal sponsor dès que leur contrat en cours arrivera à expiration ». Il a fourni quelques détails sur la ventilation des 68 milliards de centimes que Nedjma va verser à la FAF : « 50 milliards iront au fonctionnement de la FAF et des autres sélections et 18 milliards seront répartis entre les joueurs au chapitre de droit d’image. » Le président de la FAF a révélé aussi qu’« il y a des contacts avec d’autres partenaires ». Les succès de l’équipe nationale ont boosté les apports en faveur de la fédération.
Source : Journal El Watan du 24/12/2009
Nedjma renouvelle son contrat avec la FAF pour près de 10 millions de dollars et pousse Djezzy à la porte
mardi 22 décembre 2009
L’OPÉRATEUR HISTORIQUE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS TERMINE L’ANNÉE 2009 EN FORCE
lundi 21 décembre 2009
Mobilis : Azouaou Mehmel nouveau PDG
Il s’agit de Azouaou Mehmel, ancien directeur des transmissions, ex-conseiller à Algérie Télécom et chef de division des opérations au pôle Djaweb business et service. Cette décision a été prise suite à l’assemblée générale du conseil d’administration du groupe, présidée par Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. En fait, M. Belharrat n’a pas émis le vœu de continuer à exercer cette fonction depuis le mois d’août dernier, date de l’expiration de son contrat. L’entreprise tournait au ralenti depuis cette date dans un contexte de forte concurrence avec les deux autres opérateurs mobiles. M. Belharrat a succédé à M. Belhamdi, l’artisan d’un redressement spectaculaire de Mobilis qui est passé en un laps de temps relativement court de 1 à 5 millions d’abonnés. Il avait comme mission de stabiliser l’entreprise et d’assurer sa pérennité.
Les défis étaient de renforcer la couverture du réseau, la qualité de service technique et la qualité de la relation client, de gagner de nouveau clients, d’accroître les performances de l’entreprise et d’être au rendez-vous des nouvelles technologies. Le bilan semble satisfaisant dans l’ensemble, mais ce qu’on reproche à M. Belharrat est de ne pas avoir pu suivre la même cadence de développement que son prédécesseur, notamment dans la conquête de parts de marché. Mobilis a certes le meilleur réseau au niveau national, mais n’arrive pas à devenir leader. Mobilis est néanmoins en tête des opérateurs ayant le plus grand nombre de clients en post-payé avec un parc de 650 000 abonnés. Concernant le nombre d’abonnés prépayés, il s’élève à 9,2 millions de clients jusqu’à ce jour. Avec cette nomination, les pouvoirs publics veulent apporter un souffle nouveau au sein de Mobilis et motiver le personnel pour développer une attitude commerciale propre à améliorer les indicateurs de performance.
Source : Journal El Watan au 22/10/2009
Equipe nationale : la FAF reconduit le contrat de sponsoring avec Nedjma
Source : TSA au 21/12/2009
dimanche 20 décembre 2009
Avec 650 000 clients enregistrés à ce jour : Mobilis leader du post-payé en Algérie !
Interrogé sur le nombre de clients qui ont migré sur la plateforme Mobilis après les derniers évènements à savoir l’attaque sauvage menée par des extrémistes égyptiens contre les joueurs de l'équipe nationale de football, M Belharrath admet que les agences de Mobilis ont connu un grand engouement pendant une quinzaine de jours.
Sur un autre volet, notre interlocuteur précise que Mobilis a pu séduire, depuis la commercialisation de la clé USB Internet, quelques 35 000 clients; un résultat assez satisfaisant pour l'opérateur.
samedi 19 décembre 2009
Sponsoring : la FAF rappelle les clubs à l'ordre
La Fédération algérienne de football (FAF) a rappelé samedi dans un communiqué aux clubs de football que les droits de télévision ont été cédés à titre exclusif à l’entreprise algérienne de télévision (ENTV). L’instance dirigeante du football national a également précisé que la Coupe d’Algérie est sponsorisée exclusivement par l’opérateur de téléphonie mobile Nedjma.
La FAF a ajouté que les droits de publicité dans les stades ont été cédés à la société Pub Média. La FAF apporte
ces précisions en réponse aux déclarations de présidents de clubs et de partenaires économiques sur le sponsoring, le marketing et la publicité. « Les droits de télévision, de marketing et de publicité sont la propriété exclusive de la FAF. Par conséquent, tout contrat d’exploitation de ces droits doit être signé uniquement avec la Fédération », a précisé la FAF.
Six clubs de première division ont brandi la menace de boycottage de la Coupe d’Algérie après la décision de la FAF de leur imposer un sponsor unique alors qu’ils ont signé des contrats de sponsoring exclusifs avec l’opérateur Djezzy.
Source : TSA au 19/12/2009
OTA : Djezzy perd 5000 clients en un seul clic
La sauvagerie des égyptiens (à toutes les échelles de la société) est derrière cette réaction massive et hostile des algériens envers Djezzy. Les joueurs de l’équipe nationale de football, les supporters algériens, la communauté algérienne en Egypte et le drapeau algérien ont subit les affres sauvages d’une nation qui n’a pas encore digéré que l’Algérie représentera tout le monde arabe en coupe du monde.
vendredi 18 décembre 2009
NTT DoCoMo commence à déployer son réseau 4G (LTE) au Japon

NTT DoCoMo, le plus important fournisseur de téléphones cellulaires au Japon, a annoncé jeudi qu'il a commencé à moderniser son réseau à l'appui à grande vitesse, 4G Long Term Evolution (LTE) services de données. Les services 4G devrait être disponible avant la fin de 2010, et le fournisseur développe déjà de nouveaux WCDMA (3G) des stations de base qui contiennent des radios nouvellement mis au point à distance et permettant de soutenir l'actuel réseau WCDMA et le service LTE à venir. Ces centrales représentent environ la moitié de l'ensemble des stations de base initialement prévue LTE.
Les radios distants sont connectés aux stations de base autres établissements situés dans d'autres endroits en utilisant des câbles à fibres optiques. Cela permettra d'une station unique pour desservir une zone plus large sans élargir son empreinte. L'autre moitié des stations existantes seront ceux qui sont mis à niveau pour soutenir le réseau 4G nouvelles. Radios à distance ont également l'avantage d'une réduction du poids, la taille et la consommation d'énergie. Service LTE DoCoMo va utiliser la bande 2 GHz, une des deux bandes radio qu'elle utilise déjà pour le service 3G, pour les hybrides WCDMA / LTE service. Cela permettra de fournir aux utilisateurs avec la zone de couverture étendue de la 3G et les vitesses élevées offertes par la technologie 4G. Grâce à son réseau 4G, NTT DoCoMo promet d'offrir à terme des vitesses de téléchargement plus rapide que 300Mbps et ajouts de 75Mbps, soit près de 40 fois plus rapide que la vitesse de téléchargement actuel de l'offre actuelle du transporteur. Au début, le réseau offrira probablement une vitesse plus lente. A titre d'exemple, TeliaSonera a commencé à offrir des services commerciaux LTE à Stockholm et Oslo cette semaine, avec des vitesses maximales de téléchargement plus rapide que 80 Mbps.
Source : electronista.com au 17/12/2009
[FRANCE] 4e licence 3G mobile : L’ARCEP retient la candidature de Free Mobile
Par décision n° 2009-1067 du 17 décembre 2009, l’ARCEP a retenu la candidature de la société Free Mobile dans le cadre de la procédure lancée le 1er août 2009 tendant à l’attribution d’une autorisation, en France métropolitaine, d’un système de téléphonie mobile de troisième génération (" 3G ").
Cet appel à candidatures s’inscrit dans la suite de ceux lancés en 2000, 2001 et 2007. Lors des deux premiers appels à candidatures, trois des quatre licences 3G avaient été attribuées (SFR et Orange France en 2001 puis Bouygues Télécom en 2002). L’appel à candidatures mené en 2007 s’étant quant à lui avéré infructueux, une nouvelle procédure pour l’attribution d’une licence portant sur 5 MHz dans la bande 2,1 GHz a été lancée le 1er août 2009 par le Gouvernement.
Un dossier de candidature a été déposé par la société Free Mobile, filiale à 100% du groupe Iliad. Conformément à la procédure prévue, la candidature de Free Mobile a été examinée par l’ARCEP en trois phases : une phase de recevabilité, qui permet de vérifier si la candidature respecte les conditions de forme requises, une phase de qualification, qui permet de vérifier si la candidature respecte les critères d’éligibilité requis pour l’attribution d’une autorisation, et une phase de sélection, qui permet d’évaluer si le contenu du dossier de candidature est suffisant au regard des critères prévus par l’appel à candidatures. L’analyse de la candidature de Free Mobile et des engagements souscrits est présentée en détail dans le compte rendu annexé à la décision n°2009-1067 rendue publique aujourd’hui. C’est au regard de l’ensemble des critères applicables que la candidature de Free mobile a été retenue.
L’arrivée de ce nouvel acteur devrait avoir un effet favorable sur la dynamique du marché de la téléphonie mobile, et, plus généralement, devrait être un facteur positif pour le développement des services de communications électroniques.
Free Mobile envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature notamment à faciliter l’accès à l’Internet mobile.
Free Mobile prend également de nombreux engagements concernant l’accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO), sur les plans commercial, contractuel et technique. Il s’engage notamment à accueillir des MVNO " complets " (" full MVNO ") sur son réseau.
Free Mobile s’engage enfin à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l’autorisation et à couvrir, d’ici huit ans, au moins 90% de la population par son réseau 3G. Ainsi, dès 2012, les consommateurs verront leurs possibilités de choix élargies.
Ces nouvelles offres devraient ainsi stimuler les opérateurs existants dont la situation actuelle est pérenne et solide.
L’autorisation d’utilisation de fréquences sera délivrée par l’ARCEP à la société Free Mobile en janvier 2010. Le reliquat de fréquences dans la bande 2,1 GHz sera attribué dans le cadre d’un nouvel appel à candidatures, ouvert à tous les acteurs, qui sera lancé au premier semestre 2010. L’ARCEP prépare enfin, en vue d’un lancement au second semestre 2010, les procédures d’attribution des bandes 800 MHz et 2,6 GHz permettant le déploiement des réseaux mobiles de nouvelle génération à très haut débit.
Le dossier de Free a été évalué selon plusieurs critères, les plus importants étant les "cohérence et crédibilité du projet" et la "couverture du territoire". "C'est au regard de l'ensemble des critères applicables que la candidature de Free Mobile a été retenue", annonce l'Arcep."L'arrivée de ce nouvel acteur devrait avoir un effet favorable sur la dynamique du marché de la téléphonie mobile, et, plus généralement, devrait être un facteur positif pour le développement des services de communications électroniques", estime l'Autorité, qui a longtemps critiqué le manque de concurrence dans la téléphonie mobile.
TARIFS COMPÉTITIFS
Selon l'Arcep, Free "envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature, notamment pour faciliter l'accès à l'Internet mobile" et prend "de nombreux engagements concernant l'accueil des opérateurs mobiles virtuels", ces petits opérateurs qui n'ont pas de réseau mais achètent des minutes aux opérateurs en place pour proposer leurs offres. Free "s'engage enfin à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l'autorisation et à couvrir, d'ici huit ans, au moins 90 % de la population par son réseau 3G". Ce qui devrait lui permettre de proposer ses forfaits au plus tard au début de 2012, la licence, facturée 240 millions d'euros, lui étant officiellement attribuée à partir de janvier 2010. A cette date, "les consommateurs verront leurs possibilités de choix élargies", se félicite l'Autorité.
Alors qu'Orange (France Télécom), SFR et Bouygues Telecom ont déposé des recours devant Bruxelles et le Conseil d'Etat pour contester la procédure, l'Arcep juge au contraire que les"nouvelles offres [de Free] devraient stimuler les opérateurs existants, dont la situation actuelle est pérenne et solide".
Source : Journal Le Monde du 18/12/2009