jeudi 31 mars 2011

IEEE approuve la prochaine norme WiMax

l'Institute of Electrical and Electronics Engineers IEEE 802.16m a approuvé, la norme pour la prochaine génération de WiMax, qui peut fournir des débits en aval de plus de 300M bps (bits par seconde).

802.16m IEEE, également connu sous le nom WirelessMAN-avancée ou WiMax-2, a été développé comme la prochaine étape après 802.16e, la première norme mondiale pour le WiMax mobile. La nouvelle norme a été plus de quatre ans dans la fabrication, selon la norme IEEE, mais il arrive que le WiMax apparaît entouré et en infériorité numérique dans le monde mobile. Une grande majorité des transporteurs qui se sont engagés à construire soi-disant 4G (quatrième génération) ont choisi de réseaux LTE (Long-Term Evolution), qui partage certaines caractéristiques sous-jacentes avec le WiMax, mais provient d'un corps de normes différentes.

Lors du salon CEATAC à Tokyo l'année dernière, Samsung fait preuve d'un standard 802.16m réseau avant celui atteint une vitesse de 330 bps. La norme est conçue pour fournir des vitesses de l'ordre de 100M bps pour les utilisateurs finaux. Il peut utiliser plusieurs techniques pour surpasser la performance de la technologie WiMax en cours, y compris MIMO (multiple-in, out multiples) la technologie pour l'envoi de plus d'un flux de données. Il peut également être utilisé avec de petites stations de base appelé femtocells et avec les réseaux auto-organisés, selon la norme IEEE. La nouvelle norme est rétro-compatible avec le WiMax en cours.

L'an dernier, 802.16m obtenu la distinction d'être reconnue comme une véritable technologie 4G par l'ITU (International Telecommunication Union). Il se tenait aux côtés de LTE-Advanced, une version future de LTE que, de même n'était pas disponible dans le commerce, dans une définition qui jurait avec l'utilisation généralisée de la 4G à décrire les WiMax et LTE. Mais l'UIT tard détendue sa définition du terme , si bien qu'il a même ouvert la porte à des opérateurs comme T-Mobile USA décrivant des variantes de la technologie 3G comme 4G.

WiMax est utilisé pour le haut débit sans fil fixes ou nomades dans de nombreuses régions du monde. Le standard 802.16e mobile WiMax a été approuvé dans le milieu de la dernière décennie, bien avant LTE, et alimenté le premier réseau national aux États-Unis en utilisant une technologie de prochaine génération. Mais un gros équipement et de l'écosystème dispositif est maintenant de plus en plus autour de LTE, et même Clearwire, le plus grand fournisseur mondial de WiMAX mobile, a testé cette technologie.

Sprint Nextel, propriétaire majoritaire de Clearwire, a indiqué l'année dernière qu'il était intéressé à 802.16m , qui dit peut offrir 128M bps à 360M bps. Mais avec Clearwire à court d'argent pour étendre son réseau, de nombreux observateurs ont soulevé des questions sur les orientations futures technologies des deux sociétés.

Plus tôt cette année, des représentants de beaucoup de monde le plus grand combiné décideurs l' a approuvé la version finale de LTE-Advanced , qui selon eux aurait augmenter les vitesses de transfert à 1G bps.

Source : computerworld au 31/03/2011

زاهر متهم بتدبير رشق حافلة الخضر برعاية علاء مبارك / فيديو




كشف محمد عبد المنصف لاعب المنتخب السابق وحمادة شادي مسئول العلاقات الخارجية السابق بإتحاد الكرة، أن حادث الاعتداء الشهير علي حافلة المنتخب الجزائري في القاهرة كان مدبراً من سمير زاهر براعية من علاء مبارك.

  • وأكد شادي في برنامج " كوورة النهاردة" للمذيع أحمد شوبير، أن الاعتداء على حافلة الخضر فور تحركها من مطار القاهرة، كان مدبراً من رئيس إتحاد الكرة بالتعاون مع بعض الأشخاص المعروفين.
  • وأوضح أن حافلة الخضر قوبلت بوابل من الحجارة التي كانت تنهمر عليها كالمطر ، مضيفاً أنه كان بإمكان محمد روراوة رئيس الإتحاد الجزائري، عدم لعب المباراة واحتساب نتيجتها لصالح منتخب بلاده إلا أنه رفض وأصر علي خوض اللقاء.
  • وأتفق منصف وشادي في حديثهما التليفزيوني أن زاهر اتفق مع مجموعة من الشباب للاعتداء على حافلة المنتخب الجزائري فور وصولها إلي القاهرة ، وأكد منصف أنه يمتلك أدلة دامغة من هؤلاء الشباب علي اتفاقهم مع رئيس إتحاد الكرة.
  • ولفت شادي إلي أن كل ما حدث في السودان عقب اللقاء الفاصل بين المنتخبين كان "تمثيلية" من جانب زاهر برعاية علاء مبارك نجل الرئيس المخلوع ، مؤكداً أنه لم يتم الاعتداء علي أي مصري بالسودان سوي أن بعض الجماهير قامت بتحطيم زجاج الحافلات وإثارة الشائعات بأنه مُهددون.
  • وختم قائلاً "علاء مبارك نعت الشعب الجزائري بشعب المليون لقيط في موقف مؤسف وإساءة بالغة لشعب شقيق، وتسببت تصريحاته في احتقان كبير جعلهم يباركون الثورة المصرية الأخيرة للتخلص من جميع عناصر الفساد".





Source : Journal El Chourouk El Youmi au 31/03/2001

Alors que les Algériens attendent impatiemment sa mise en service : La 3G n’arrive pas à voir le bout du… fil


La mise en service de la téléphonie mobile de troisième génération en Algérie peine à franchir le stade de l’intention. Annoncée depuis quelques années déjà, elle n’arrive toujours pas à voir le bout du… fil, alors que la première démonstration, à titre expérimental, avait été effectuée en décembre 2004 et les licences devaient être vendues en 2007. Aux dernières nouvelles, son lancement est promis pour cette année…

Les Algériens qui se disent prêts à s’abonner à la 3G dès son lancement s’impatientent certes, mais ne désespèrent pas de pouvoir accéder à cette technologie révolutionnaire qui leur ouvrira un nouveau monde sur leur mobile. Actuellement, on en est à l’élaboration du cahier des charges, qui n’en finit pas d’être au stade de l’ébauche. Pourtant, le marché semble prêt, que ce soit du côté des opérateurs, qui ont déjà commencé à investir dans cette technologie, que du côté des clients, qui ont hâte à pouvoir jouir des nombreux avantages qu’offre la 3G. Des experts étrangers intéressés de très près par le lancement de la 3G en Algérie, qualifient le marché de suffisamment mature et d’intéressant en termes de consommation.

Une raison qui fait que la 3G n’intéresse pas seulement les opérateurs activant dans le secteur de la téléphonie mobile en Algérie. Elle intéresse également des opérateurs étrangers, lesquels ont déjà exprimé leur grand intérêt à décrocher une licence. Mais, en fait, combien de licences d’exploitation mettra-t-on en vente ? Seront-elles vendues aux seuls opérateurs exerçant déjà en Algérie ou la course sera-t-elle ouverte aux opérateurs étrangers ? La problématique du contenu sera-t-elle résolue à temps avec la promesse de la mise en service de la 3G dès cette année ? Autant de questions qui restent sans réponse. Quoiqu’il en soit, les avantages qu’offre la 3G, s’ils ne sont plus à démontrer sous d’autres cieux, se font désirer en Algérie.

Les potentiels futurs utilisateurs espèrent que cette année sera la bonne pour la téléphonie de troisième génération qui leur apportera un plus indéniable par rapport à l’utilisation classique de leur téléphone mobile. En effet, outre la réception et l’émission d’appels, de SMS, de MMS, il leur sera désormais possible de visionner leur correspondant au moment où ils lui parlent, d’avoir la visioconférence, de voir la télévision, d’avoir accès à des jeux en ligne, de télécharger des vidéos, de la musique, des films, etc., et cela seulement grâce à leur mobile.

Il faut dire qu’actuellement l’utilisation des TIC a fait son entrée, de façon irréversible, dans le quotidien des Algériens. Qui pouvait imaginer un jour que le téléphone mobile se démocratiserait autant ? Que l’Internet se généraliserait ? Les Algériens semblent, chacun à sa manière, attendre que cette technologie soit mise à leur disposition. Seul grand point qui les préoccupe : le coût qui leur sera exigé pour avoir accès à cette nouvelle technologie qui leur ouvrira une
nouvelle ère dans le monde de la téléphonie mobile. La 3G, un plus indéniable dans la vie de tous les jours.

C’est le cas de Rachid, journaliste de profession, qui est, comme il se qualifie, un «mordu grave» des NTIC. Il exploite sans se lasser tout ce qui est nouveau dans le domaine. «Vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’adore cela. Les nouveaux modèles de mobiles, le black berry, les IPhone, netbook, etc., font partie de mes loisirs favoris. Mais ce sont des loisirs qui me permettent de joindre l’utile à l’agréable, puisqu’ils me permettent tantôt de me distraire, tantôt de les utiliser dans le cadre de mon travail. Ce que j’attends avec le plus d’impatience, c’est de pouvoir visionner les matchs de football à la télévision quel que soit l’endroit où je me trouve, à partir de mon mobile», dit-il. Pour sa part, Hamid, jeune fonctionnaire, c’est plus pour sa mère qu’il souhaite l’arrivée de la 3G. «Comme je n’ai pas Internet à la maison, j’emmène ma mère dans un cyber pour discuter sur Skype avec mon frère qui ne vit pas en Algérie. S’il y avait la 3G, elle discuterait directement avec lui sur son téléphone à n’importe quel moment», déclare-t-il. Il avoue, ensuite, avec un certain embarras, qu’il est parfois un peu gêné quand sa vieille mère raconte sa vie à haute voix dans un cyber. «Imaginez un peu, tous les jeunes du quartier qui se trouvent au cyber savent ce que nous avons préparé à manger la veille, l’avant-veille, la semaine dernière. Ils sont au courant de nos petits différends, des fêtes qu’il ya eu dans la famille, des décès. Mais heureusement que je ne suis pas le seul à emmener ma mère dans ce lieu et que beaucoup de jeunes du quartier le font, pour les mêmes raisons», lâche-t-il avec un certain soulagement.

Samir et son «commerce électronique»
Samir est un jeune chômeur, mais il semble bien connaître la 3G. «Je suis certes chômeur, mais pas analphabète : je suis ingénieur polytechnicien sans emploi», rétorque-t-il.
Lui, il veut utiliser la 3G pour faire du «business» plus vite. «Je gagne ma vie grâce à ce que j’aime appeler le commerce électronique. J’achète de la marchandise via des sites d’annonces. Je repère ce qui me plaît et je contacte le vendeur par mail ou par téléphone. On se donne rendez-vous pour que je voie la marchandise et ensuite on discute, on négocie. Avec la 3G, je pourrais voir directement la marchandise et décider si je suis preneur ou non, sans avoir à prendre rendez-vous, à me déplacer… Cela me ferait gagner énormément de temps, et le temps c’est de l’argent», dit-il dans la langue de Shakespeare.

«Un œil sur mon fils»
Samira, médecin, affirme dans un premier temps que la 3G lui permettrait de suivre des visioconférences dans le cadre de son travail puisque, ayant une famille à charge, elle ne peut pas toujours effectuer des déplacements pour les activités qui se passent ailleurs qu’à Alger.
Mais au-delà du domaine professionnel, avoue-t-elle, après une certaine réserve, c’est sur son jeune fils, en première année au lycée, qu’elle aimerait avoir l’œil grâce à la 3G. «Quand je l’appelle, j’aimerai bien le voir et voir son environnement pour être sûre qu’il est dans son lycée et non avec ses copains dans une salle de jeux, au cinéma ou ailleurs. Il a une adolescence difficile et les études ne semblent pas trop l’emballer. Je dois avoir l’œil sur lui si je veux qu’il aille jusqu’à la 3e AS et qu’il décroche son bac».

Mohanned, Lamisse et les autres
Sabah, elle, est fan de feuilletons genre Lamisse, Mohanned, etc. Elle est responsable dans une entreprise et dispose d’un bureau, à elle seule. Avoir accès à la télévision sur son mobile ? Elle a bien l’intention d’en profiter une fois la 3G lancée. Avoir ses moussalssalète préférés disponibles sur son mobile ? Elle saute de joie rien que de savoir que cela lui sera désormais possible et échafaude déjà des plans : elle est bien disposée à changer son heure de pause pour suivre ses feuilletons favoris qui passent en début d’après-midi à la télé. Ainsi, elle n’aura plus à attendre la rediffusion, très tard le soir. Ainsi, à chacun ses raisons de vouloir voir arriver la 3G.

En attendant, les Algériens n’ont que la promesse que 2011 est l’année où ils l’auront. Ils ne demandent pas mieux que d’y croire. Mais ce énième rendez-vous sera-t-il le bon ?

Source : Quotidien Le Jeune Indépendant au 31/03/2011

Certaines d’entre elles ont été utilisées dans des attentats terroristes : 232 puces Mobilis commercialisées illicitement à Annaba

Mobilis et Algérie Télécom, qui ont fait l'objet d'une enquête effectuée par la section de recherches et d'investigation de la Gendarmerie nationale à Annaba, sont au cœur d'un nouveau scandale.

En effet, le dossier transmis au procureur de la République près le tribunal de cette ville fait apparaître que 232 cartes SIM (0661) sont enregistrées sous de faux noms, aux noms de personnes décédées ou à l'insu d’autres qui n'en ont jamais fait la demande.

L’enquête, qui avait été diligentée suite à des lettres anonymes faisant état d'un trafic à grande échelle de ces cartes, s’appuyait sur le nombre de factures non payées et dont le montant global dépassait plusieurs millions de dinars. Dans un premier temps, les enquêteurs avaient découvert qu'il y avait sept cas et que ceux-ci n’existaient pas physiquement.

Les documents fournis pour lesdits abonnements étaient faux, ils renvoient à des personnes décédées depuis des années ou à l’insu d’autres qui, convoquées et interrogées, avaient nié avoir souscrit un abonnement puisqu'elles n'avaient signé aucun contrat dans ce sens.

Cette situation a amené les enquêteurs à orienter leurs investigations vers les personnels chargés des abonnements ; les interrogatoires de ces employés ont permis de mettre au jour tout un trafic où sont impliqués plusieurs employés et cadres formant un réseau qui vendait ces lignes au prix fort sur la base d’un dossier qu’un complice travaillant au niveau d’une antenne relevant de l’APC d’Annaba constituait et fournissait à l’opérateur. Ainsi, des responsables actuels, mais aussi anciens et à la retraite, ont, à leur tour, été convoqués et entendus dans le cadre de cette affaire qui a défrayé la chronique à Annaba.

Des factures datant de plus de quatre ans et dont les montants se chiffrent à des millions de centimes sont restées impayées à ce jour, alors que, normalement, le non-paiement entraîne une suspension automatiquement en attendant la régularisation, ce qui n’avait pas été fait et les “heureux bénéficiaires” continuaient à en profiter puisque, selon nos informations, les cartes SIM leur avaient été vendues au prix de 100 000 DA l’unité. Le procureur de la République près le tribunal d’Annaba a ordonné un complément d’enquête pour situer les responsabilités, identifier les individus à l’origine de ce trafic qui menace la sécurité nationale et convoquer de hauts responsables, locaux et centraux, d’Algérie Télécom et de Mobilis, puisque certaines irrégularités remontent à 2006.

Source : Journal Liberté au 31/03/2011

mercredi 30 mars 2011

SIX MOYENS DE PAIEMENT : Réglez vos achats sans soucis


Au moment de passer à la caisse sur Internet, plusieurs moyens de paiement s'offrent à l'internaute, avec leurs avantages et leurs inconvénients. Revue de détail.

1/ LA CARTE PRÉPAYÉE

C'est le moyen de paiement utilisé le plus fréquemment par les internautes français : la carte bancaire sert à régler 83% des achats en ligne, selon les chiffres de la Fevad (Fédération d'e-cormierce et de vente à distance). Au marnent de payer, il faut taper le numéro de la carte, sa date de validité, ainsi que les trois chiffres imprimés à l'arrière, le «cryptogramme visuel».

Attention, certains sites gardent en mémoire les informations de la carte bancaire et, lors des visites ultérieures, proposent de «payer en un clic», sans avoir à saisir les informations de la carte. Pratique, mais potentiellement dangereux si plusieurs personnes utilisent le même compte sur le PC.

NOTRE AVIS : Simple et universelle

2/ LA CARTE PRÉPAYÉE


Dais certains cas, il est possible d'acheter des cartes prépayées dans les magasins pour ensuite payer sur Internet Deux secteurs surtout sont concernés : la musique en ligne (services Tunes, Fnac Music, VirginMega...), et les jeux vidéo (avec notamment les Microsoft Points et les Nintendo Points). On trouve de telles cartes en grandes surfaces (Carrefour, Auchan), ainsi que dans les magasins spécialisés (Micromania, Gare). La cale contient une zone à gratter qui cache un code à taper sur son clavier d'ordi pour créditer son compte.

NOTRE AVIS : Parfait pour les ados


3/ LE PAIEMENT 3D SECURE

Pour lutter contre la fraude à la carte bancaire, les banques ont mis en place le système 3D Secure, méconnu des consommateurs. Lors du paiement par carte, s'ajoute une étape de vérification. Après la saisie du numéro de la carte bancaire, de sa date de validité et du cryptogramme visuel, l'acheteur est redirigé sur une page de sa banque où figure le logo Verified by Visa ou MasterCarde SecureCode. Il doit alors taper un code 3D Secure pour s'identifier. A ne pas confondre avec le code de saisie de la carte, le code 3D Secure et son obtention varient en fonction des banques. Il peut s'agir d'un mot de passe choisi par l'intemaute à la première transaction 3D Secure, ou d'un code chiffré délivré par la banque par SMS ou par un boîtier électronique. Lorsqu'ils sont mal informés, les consommateurs pensent être victimes de phishing (mordre à l'hameçon), technique de piratage de vol d'identité et, du coup, laissent leur panier. A de rares exceptions près, les grands sites marchands renoncent pour l'instant à ce système. Les petites boutiques en ligne le proposent, car c'est imposé par leur banque.

NOTRE AVIS : Trop de sécurité tue l'achat

4/ LA CARTE BANCAIRE VIRTUELLE

Pour les consommateurs réticents à livrer les informations écrites sur leur carte bancaire, les banques proposent un service payait de carte bancaire virtuelle, appelée e-carte Bleue. Celle-ci fonctionne sur tous les sites marchands acceptant les cartes bancaires habituelles, y compris à l'étranger. Le consommateur souscrit au service auprès de sa banque, qui lui fournit un identifiant et un mot de passe. Il doit ensuite télécharger un logiciel spécial sur son ordinateur. Au moment de régler son achat en ligne, il se connecte au logiciel de la banque avec l'identifiait et le mot de passe. Puis précise le montait exact de la commande, éventuellement la devise. Après validation, le logiciel affiche en retour un numéro de carte, une date de validité et un cryptogramme visuel à recopier sur la page de transaction du cybemiarchand Attention, ce mode de paiement est inadapté dans certains cas, par exemple sur le site de la SNCF pour acheter des billets à retirer à une borne. Dans ce cas, il faut impérativement une carte physique.

NOTRE AVIS : Rassurant mais payant

5/ LE SERVICE PAYPAL

PayPal joue les intermédiaires financiers :
il permet de payer n'importe qui, particuliers ou professiomels, sans avoir à transmettre sans avoir à transmettre ses coomonnees bancaires. Lentreprise détient une licence bancaire, ce qui la soumet aux mêmes obligations de confidentialité et de sécurité que n'importe quelle banque. Concrètement, après création d'un compte PayPal lié à une adresse mail et à un mot de passe, l'intemaute y associe ses moyens de paiement habituels (une ou plusieurs cartes bancaires). Au moment de payer, le consommateur règle ses achats en tapant l'identifiait et le mot de passe de son compte PayPal. Quelque 25 000 sites commerciaux français, dont les plus fréquentés, proposent ce système. Depuis quelques mois maintenant, PayPal applique le principe du «remboursé si pas livré». Si le bien matériel acheté n'est pas livré ou conforme à la description initiale, l'internaute prévient PayPal du litige via son compte. L'entreprise demandera les justificatifs au vendeur et dans le cas où ce dernier est dans l'impossibilité de les fournir, remboursera l'acheteur.

NOTRE AVIS : Un bon intermédiaire

5/ LE CHÈQUE

Régler par chèque est possible, mais ce mode de paiement reste au bon vouloir du cybercommerçant, certain précisent d'emblée qu'ils le refusent. Le chèque souffre d'un inconvénient majeur : les cybermarchands attendent de le recevoir, voire de l'encaisser avant d'expédier le colis, ce qui allonge le délai de livraison. De plus, les cybermarchands peuvent exiger l'envoi de documents, comme une photocopie de la carte d'identité ou un justificatif de domicile.

NOTRE AVIS : Pas partout et très lent


Source : Magazine MicroHebdo N°675 Semaine du 24 au 30 mars 2011